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Marcher favoriserait la créativité

La marche rendrait créatif, selon une nouvelle étude américaine. Top Santé, qui rapporte cette nouvelle recherche, explique que le simple fait de marcher pourrait s’avérer le meilleur moyen d’assurer une créativité optimale.

Ce sont des chercheurs californiens basés à l’Université Santa Clara qui tirent ces conclusions, après avoir suivi 176 sujets lors de l’étude. Soumettant ces derniers à divers tests de créativité, ils ont conclu que la marche comprend des bienfaits presque inégalés en la matière.

« Marcher a vraiment un effet bénéfique sur la créativité. La plupart des participants ont vu leur créativité augmenter de 60 % lorsqu’ils marchaient à l’intérieur comme à l’extérieur. Et les volontaires se sont montrés plus stimulés et avec de meilleures idées lorsqu’on a fait de nouveaux tests après », mentionne l’un des auteurs de l’étude, le professeur Marily Oppezzo.

Cette étude va donc de pair avec celles qui vantent les bienfaits de la marche pour la santé physique et mentale, et qui mettent en garde contre les dangers de trop longues périodes passées en position assise.

Les résultats de l’étude californienne ont été publiés dans le Journal of Experimental Psychology.

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Le rire serait similaire à la méditation

Le processus du rire serait similaire à celui de la méditation au niveau du cerveau, et aurait par conséquent des impacts du même ordre, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude en question, proposée par des chercheurs californiens, estime que le rire et l’humour stimulent largement et de façon bénéfique le cerveau et ses ondes gamma, qui se retrouve dans toute la région cérébrale.

« Ce que cela signifie est que l’humour engage en fait tout le cerveau. C’est une expérience cérébrale complète, similaire à la méditation. On appelle ça “être dans la zone” », explique le directeur de la recherche, le professeur Lee Berk.

L’étude a été effectuée avec l’aide de 31 sujets volontaires, à qui l’on a demandé de visionner différents types de vidéos, dont certaines humoristiques, bien entendu. Les résultats démontrent des niveaux élevés d’activité des ondes gamma en situation de rire, les mêmes observables lors de périodes de méditation.

Comparant le rire à un « véritable entraînement du cerveau », M. Berk croit que l’humour cache des vertus insoupçonnées pour le cerveau et la santé psychologique.

Les résultats de l’étude seront présentés dans lors de la réunion annuelle Experimental Biology  qui se tient à San Diego.

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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L’intimidation laisse des traces tout au long de la vie

Une nouvelle étude rapportée par La Presse trace un bilan très sombre du phénomène de l’intimidation et des séquelles à long terme qui s’y rattachent.

Il s’agit de la première recherche exhaustive du genre à analyser les impacts de l’intimidation sur un individu tout au long de sa vie. Ce sont des chercheurs du King’s College de Londres qui se sont penchés sur le dossier, en analysant les cas de 7771 enfants tout au long de leur vie… jusqu’à l’âge de 50 ans.

Une étude spectaculaire, en somme, qui demandait d’abord aux parents d’enfants touchés par l’intimidation entre l’âge de 7 et 11 ans de fournir des informations relatives à leur expérience.

Selon le Dr Ryu Takizawa qui pilote l’étude, les résultats sont clairs : un individu victime d’intimidation à un jeune âge se verra confronter à des obstacles sociaux et économiques plus importants au cours de sa vie.

Plus encore, ces sujets ont démontré plus de problèmes de santé que les autres, notamment à l’approche de la cinquantaine. Même chose sur le plan psychologique, alors que l’on note un risque accru de dépression, d’anxiété et de suicide.

Même l’aspect cognitif des sujets de l’étude a semblé en souffrir au cours de l’analyse, ce qui fait dire aux observateurs que l’intimidation n’est pas un phénomène à prendre à la légère.

Heureusement, la sensibilisation au phénomène est bien entamée, mais il reste encore pas mal de travail à faire.

Les conclusions de l’étude du Dr Takizawa ont été publiées dans l’American Journal of Psychiatry.

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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).

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Du sucre pour un couple en santé

Avec toute la mauvaise presse que doit subir le pauvre sucre, il était temps que quelqu’un lui trouve un bénéfice, histoire de déculpabiliser un peu.

Top Santé rapporte maintenant une nouvelle étude américaine qui vante les mérites du sucre sur la santé… du couple!

Selon des chercheurs basés à l’Université d’Ohio, le manque de sucre rend plus agressif et enclin aux conflits. On conseille donc aux couples partageant plusieurs moments de la journée de ne pas constamment se priver de sucre.

C’est en étudiant 107 couples mariés durant 21 jours que les chercheurs ont pu constater les effets bénéfiques du sucre sur la relation de ceux-ci. Les sujets ont reçu des poupées vaudou, rien de moins, et un assortiment d’épingles.

Les chercheurs analysaient alors les taux de sucre dans le sang de chacun, tout en leur demandant d’exprimer leur niveau de colère envers l’époux.

« Plus le taux de sucre était bas, plus le nombre d’épingles plantées était élevé. Et le lien entre taux de glycémie et degré de colère persistait même en prenant en compte le fait que le couple se déclare satisfait de cette union », concluent sans hésiter les chercheurs américains.

On rappelle l’importance de consommer du sucre avec modération, mais il semble que le fait d’être en couple accorde quelques passe-droits.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

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Dépression dans les facultés de droit

On pourrait croire que d’être admis à l’université afin de poursuivre des études supérieures en droit serait suffisant pour contribuer au bonheur de ces élus, mais une spécialiste dévoile plutôt le côté sombre de la chose et rapporte de nombreux cas de dépression chez ces étudiants.

Les propos de la professeure Marilyn Poitras, rapportés par Radio-Canada, ont de quoi surprendre.

« Certains étudiants nous disent qu’ils voudraient mourir. D’autres vomissent régulièrement avant les examens. Pour d’autres encore, tout s’effondre à la venue des examens, et les familles se désagrègent », explique Mme Poitras.

Cette dernière croit donc qu’il est important d’accompagner et d’offrir de l’aide à ces étudiants, une pratique peu commune sur les différents campus.

Ce sera cependant le cas de l’Université de Saskatchewan, qui lance l’initiative Droit et bonheur, un séminaire qui propose aux étudiants de l’aide afin de traverser leurs études et de faire face adéquatement aux problèmes de dépression et de dépendance auxquels ils peuvent être confrontés.

« Droit et bonheur est devenu un événement où les étudiants peuvent parler de ce qu’ils vivent. C’est devenu un groupe tissé très serré », lance Marilyn Poitras.

La professeure et ses collègues souhaitent maintenant que l’idée fasse des petits un peu partout, en entend même mettre sur pied un programme qui viendrait en aide aux juges et aux avocats.

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La dépression est un facteur de risque d’insuffisance cardiaque

Alors qu’on pourrait croire que la dépression et les troubles dépressifs nous font tourner au ralenti et que, par conséquent, ils nous éloignent de la crise ou du problème cardiaque, il semble que ce soit le contraire.

Une nouvelle étude dévoile des statistiques alarmantes en la matière, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs norvégiens évaluent la hausse du risque d’insuffisance cardiaque à 40 % chez les personnes dépressives.

« Nous avons constaté une relation entre les symptômes dépressifs et le risque de développer une insuffisance cardiaque. Cela signifie que le plus vous vous sentez déprimé, plus vous êtes à risque d’infarctus » explique l’infirmière Lise Tuset Gustad.

C’est en évaluant 1500 cas d’insuffisance cardiaque au cours de l’étude que les chercheurs ont découvert que 40 % d’entre eux vivaient des problèmes de dépression. On recommande maintenant aux personnes qui se sentent déprimées de consulter rapidement un spécialiste.

« Les personnes qui ont perdu tout intérêt pour les choses auxquelles elles prenaient plaisir, comme lire ou regarder une série télévisée, peuvent présenter les premiers signes de la dépression. C’est une bonne idée de les inciter à consulter le médecin pour obtenir quelques conseils sur la façon de réduire le niveau de dépression », estime Mme Lise Tsuet Gustad.

Les conclusions de l’étude ont été présentées dans le cadre de l’EuroHeartCare, un congrès annuel de la Société européenne de cardiologie.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.