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Une étude estime que les carnivores sont plus en santé que les végétariens

Des chercheurs autrichiens risquent de soulever l’ire des végétariens et de donner des munitions aux mangeurs de viande avec la parution de cette nouvelle étude qui compare les deux habitudes alimentaires.

Selon les chercheurs de l’Université de Graz en Autriche, les carnivores auraient une longueur d’avance sur les végétariens en matière de santé, rapporte Top Santé

Ceux qui estimeront qu’il ne peut s’agir d’une étude exhaustive devront se raviser, puisque les chercheurs autrichiens auraient analysé 15 000 dossiers pour en arriver à de telles conclusions.

« Nous avons commencé notre étude avec 15 000 études de cas et avons divisé les témoins en groupes alimentaires. Nous avons sélectionné 343 végétariens et avons ensuite examiné leur âge, leur sexe et leur origine sociale et économique, qui comprenait le niveau d’éducation, le revenu et leur carrière. Nous avons ensuite comparé les végétariens avec des personnes aux caractéristiques similaires dans les trois autres groupes d’aliments », précise la coauteure de l’étude, Nathalie Burkert.

Au nombre des observations, on remarque qu’un grand nombre de végétariens déclarent ne pas se sentir en bonne santé, souffrir d’allergies et même ressentir des lacunes sur le plan social.

Nathalie Burkett souligne cependant qu’elle ignore si le choix du végétarisme est la cause de ces symptômes, ou si l’inverse serait vérifiable.

Elle croit cependant que l’étude démontre clairement encore une fois que le meilleur choix de diète demeure la méditerranéenne.

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Une crise de colère augmente les risques de crise cardiaque

Apprendre que le fait de piquer une colère peut causer une crise cardiaque n’est pas une nouvelle qui en surprendra plusieurs, mais il est intéressant de savoir qu’il existe encore un risque accru au cours des heures suivant une colère.

Ces observations sont celles publiées dans une étude en provenance de Harvard (School of Public Health), menée par l’équipe de la Dre Elizabeth Mostofsky.

Cette dernière explique que même si les risques de crise cardiaque causée par un seul épisode isolé de colère demeurent faibles, il est important de savoir que ces risques demeurent plusieurs heures après l’incident. Et plus une personne est colérique, plus elle serait sujette à ce type d’accident cardiovasculaire.

L’arythmie cardiaque peut aussi devenir un problème chez les personnes colériques, et on estime le pic de risque de crise cardiaque à environ deux heures suivant un épisode de colère intense, rapporte The National Library of Medicine.

Dre Mostofsky croit qu’il est somme toute important de questionner les patients sur leurs émotions et leur relation avec la colère, afin de prévenir les risques chez les patients plus colériques ou stressés.

Les observations de l’étude ont été publiées dans l’European Heart Journal.

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Les chiens réagissent de la même façon que nous à la voix humaine

Le chien est véritablement le meilleur ami de l’homme pour plusieurs fans et défenseurs des canidés, et une intéressante étude vient corroborer cette théorie.

Il s’agit d’une recherche effectuée par des chercheurs du MTA-ELTE Comparative Ethology Research Group, en Hongrie, qui se penchait sur les réactions cérébrales du chien face aux intonations de la voix humaine.

Après avoir « testé » les chiens, 11 en tout, en les plaçant de façon immobile devant des enregistrements de voix humaines, les chercheurs hongrois ont remarqué que ceux-ci réagissaient de façon similaire à l’homme devant la voix humaine.

On a pu observer, en comparant les résultats avec ceux obtenus sur les 22 sujets humains de l’étude, que c’est la même zone du cerveau qui réagit face à la voix chez le chien que chez l’humain.

« L’emplacement de cette activité dans le cerveau de chien est très similaire à l’endroit où nous l’avons trouvée dans le cerveau humain. Cette découverte est une vraie surprise. C’est la première fois que cette observation est constatée chez un non-primate. Nous pensons que les chiens et les humains ont un mécanisme très similaire pour traiter l’information émotionnelle », résume et explique Attilda Andics, auteur de l’étude.

Cette découverte expliquerait donc partiellement et de façon préliminaire l’un des aspects qui permettent cette si belle complicité entre les chiens et les humains.

Les résultats de ce test canin ont été publiés dans le magazine Current Biology.

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Les meilleurs souvenirs confinés aux 25 premières années d’une vie?

Est-ce que les meilleurs souvenirs d’une vie entière se cacheraient presque tous au cours des 25 premières années? C’est ce que semble laisser entendre une nouvelle étude sur la mémoire et le comportement, rapporte The National Library of Medicine.

Cette étude menée par Kristina Steiner et en provenance de l’Université du New Hampshire analysait la vie et les réponses de 34 sujets volontaires qui devaient raconter leurs parcours. Ceux-ci ont majoritairement repris des événements qui s’étaient déroulés entre l’âge de 17 et de 25 ans.

« Quand les gens regardent leur vie et qu’ils doivent choisir des souvenirs importants, la plupart divisent les histoires par chapitres, définis par des moments importants qui sont universels : l’amour, l’entrée à l’université, un premier emploi et les enfants.

Comme ces grands changements et événements surviennent pour une majorité de gens avant l’âge de 25 ou 30 ans, les chercheurs américains remarquent que bien peu de souvenirs des périodes entre 30 et 70 ans refont surface lorsqu’ils questionnent leurs sujets.

Est-ce là une réaction normale ou devrions-nous nous assurer de nous créer des souvenirs aussi magiques qu’à 25 ans, une fois la trentaine passée? L’étude de Kristina Steiner a de quoi faire réfléchir.

Les résultats ont été publiés dans le journal Memory.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Prendre une marche bénéficie aussi au cerveau

Les amateurs de promenades et de longues marches connaissent bien les avantages de cette activité physique simple. L’air frais, la découverte de nouveaux lieux, la complicité à partager avec une autre personne, l’activité physique, une meilleure digestion, bref, les bienfaits connus de la marche sont nombreux.

Mais selon une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), la marche aurait également des bénéfices secrets pour le cerveau.

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le fait de s’adonner à trois marches hebdomadaires de 40 minutes aurait un impact direct sur le cerveau et l’hippocampe. Cette zone grossirait au gré de ces marches de santé, ce qui pourrait prévenir de certaines maladies comme l’Alzheimer, croient les chercheurs américains.

« Vous n’avez pas besoin d’une activité physique hautement vigoureuse pour observer ces effets. Ça peut sembler modeste comme somme (d’exercice), mais ça permet d’inverser l’horloge de l’âge de quelques années », croit le Dr Kirk Erickson, chercheur en chef de l’étude à l’Université de Pittsburgh. 

Bien qu’il spécifie également que la marche, ou une autre activité physique, ne constitue pas une « baguette magique » contre les maladies dégénératives comme l’Alzheimer, le Dr Erickson reste convaincu qu’il s’agit de l’un des meilleurs moyens de garder son cerveau vif et en santé.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.