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Le traitement précoce de la dépression réduit les risques d’AVC

Il existe un lien connu des spécialistes entre la dépression et un risque accru d’accident cardiovasculaire, rapporte The National Library of Medicine, et une nouvelle étude vient maintenant donner l’espoir de combattre le phénomène.

Ce sont des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, en analysant les impacts de deux types de traitement de la dépression sur la santé cardiovasculaire et les risques d’AVC.

235 personnes ont participé à l’étude, dont la moitié a bénéficié d’un traitement précoce de la dépression composé d’antidépresseurs et de psychothérapie. La deuxième portion du groupe a dû se contenter d’un traitement « standard » choisi par un médecin praticien.

En comparant les résultats après une période de suivi de huit longues années, les chercheurs de l’Indiana ont constaté une baisse significative des risques d’AVC liés à la dépression chez les patients du premier groupe.

« Ultimement, cette ligne de recherche pourrait produire une nouvelle approche en prévention des maladies cardiovasculaires », croit l’auteur de l’étude, Jesse Stewart.

L’étude initiale se voulait davantage une analyse des traitements contre la dépression, mais ses résultats pourraient contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire des patients qui en souffrent, en plus de celle des patients à la santé cardiaque fragile.

Ces résultats sont considérés comme préliminaires, mais ouvrent la porte à de nouvelles révélations et percées en matière de prévention des AVC et des maladies cardiovasculaires.

L’étude de Jesse Stewart a été publiée dans l’édition de janvier du Psychosomatic Medicine.

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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.

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Le Centre de prévention du suicide de Québec lance un site web pour les hommes

La Presse et Radio-Canada rapportent la mise sur pied d’un site web destiné à venir en aide aux hommes victime de détresse et de pensées suicidaires, une initiative largement saluée par de nombreux observateurs et spécialistes de la santé.

Créé par le Centre de prévention du suicide de Québec et destiné à répondre à un besoin criant au sein de la population du Québec, le site internet a été inauguré jeudi (6 février).

« Plus de 7000 personnes ont déjà consulté le site jusqu’à maintenant. Ça démontre qu’il y a un réel besoin », lance la directrice générale du Centre de prévention du suicide de Québec, Lynda Poirier.

En utilisant des formules comme « allume » et « laisse faire l’orgueil », le slogan officiel du projet, les instigateurs du projet souhaitent interpeller les hommes en détresse et ainsi les convaincre de quérir de l’aide.

Plusieurs outils se retrouvent sur le site, ainsi qu’un questionnaire et des liens qui mènent aux différentes ressources possibles pour les hommes en détresse et en proie à des troubles de santé psychologique.

Pour mieux connaître le projet et ce qu’il propose, visitez le www.allume.org.

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Les clés d’une communication saine dans le couple

Webmd.com rapporte quelques conseils en matière de communication au sein du couple, une lacune fréquente qui peut mener à d’éventuelles et probables séparations.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Chicago qui ont décidé de se pencher sur le sujet, et qui proposent les résultats de leurs observations effectuées sur des couples de longue date.

Les chercheurs estiment d’abord que les personnes impliquées dans une relation amoureuse croient trop souvent à tort que comme elles sont ensemble depuis longtemps, leur partenaire sait exactement comment elles se sentent ou ce qu’elles pensent.

Il est donc primordial d’éviter ce genre d’acquis ou de pensée magique, et plutôt tenter d’exprimer les choses d’une façon claire. Pour les chercheurs de l’étude, il est d’autant plus important de s’exprimer pour valoriser l’autre et souligner ce qu’on aime chez notre partenaire, au lieu de constamment communiquer lorsque des situations négatives se présentent.

L’utilisation d’une formule positive plutôt que négative est également essentielle en communication, et il serait aussi très important d’être spécifique, croient fermement les chercheurs américains.

En terminant, l’équipe de l’Université de Chicago conclut que les disputes de couple ne seraient pas réellement une mauvaise chose, et résultent souvent d’une bonne communication. Selon eux, les couples qui expriment leur mécontentement survivent plus longtemps que ceux qui affichent une passivité ou une intériorisation de leurs émotions.

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Commotions cérébrales : un risque accru de décès prématuré

Une nouvelle étude vient jeter de l’huile sur le feu dans le dossier des commotions cérébrales, rapporte Santé Log, et ajoute au sentiment d’urgence dans cette affaire.

En provenance de l’Université d’Oxford et de l’Institut de Karolinska, les données et conclusions proposées révèlent et confirment que les personnes souffrant ou ayant souffert de commotions cérébrales au cours de leur vie sont à risque de voir baisser leur espérance de vie ou d’un décès prématuré, si vous préférez.

On parle d’un risque accru de décès prématuré parfois jusqu’à trois fois plus élevé que chez les autres personnes, selon les cas et leurs gravités, mais on précise que de « légères » commotions peuvent également avoir un impact sur la santé et la longévité, à long terme.

Pire encore, les commotions cérébrales augmenteraient jusqu’à deux fois les risques de suicides chez les sportifs qui en souffrent…

Ces conclusions en rajoutent donc, à l’heure où le débat entourant la violence dans le sport est à son comble, notamment en ce qui concerne le football et le hockey, et tendent à confirmer qu’il est urgent d’agir.

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Les acteurs sont-ils de « sains psychotiques »?

En cette journée de dévoilement des nominations aux Oscars et dans la foulée de la saison des festivals de cinéma un peu partout dans le monde, une étude intrigante fait son apparition et soumet le concept que les acteurs seraient en faits… des psychotiques.

De « sains psychotiques », cependant, s’il l’on en croit les propositions du professeur Gordon Claridge et de son équipe, basés à l’Université d’Oxford en Angleterre.

« Les éléments créatifs nécessaires pour être acteur et faire de l’humour sont très semblables à ceux qui caractérisent la signature cognitive des personnes souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire », lance le professeur Claridge, des propos rapportés par Top Santé

Ce dernier et ses collègues ont analysé les comportements de 523 comédiens et acteurs locaux, mais aussi en provenance des États-Unis et de l’Australie. En leur soumettant un test destiné aux personnes saines chez qui on souhaite déterminer la présence de comportements psychotiques, les chercheurs ont découvert une foule de similitudes entre la pathologie et les personnes exerçant le métier d’acteur.

« C’est cette structure de personnalité hors du commun qui permet d’expliquer la capacité des acteurs à divertir », conclut Claridge, qui croit que cette formule s’applique aussi à bien des créatifs de ce monde.

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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.

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Les couples sans enfant seraient plus heureux que les autres

Voici une étude qui risque de faire jaser, alors qu’on trace un parallèle entre la décision d’avoir des enfants et le taux de bonheur du couple, une recherche rapportée par Top Santé, notamment.

C’est une équipe de l’Open University qui s’est penchée sur la question, à savoir si les enfants pouvaient être une cause de problèmes conjugaux, et si l’absence de descendance pouvait avoir un impact positif sur la vie d’un couple.

Il semble que oui, si l’on se fie aux résultats découlant d’analyses effectuées auprès de 5000 sujets en couple. Baisse du rythme et de la qualité de la vie sexuelle, augmentation du stress, baisse des attentions romantiques l’un envers l’autre, voilà autant de raisons qui expliqueraient pourquoi les couples avec enfants ont semblé afficher moins de bonheur que les autres répondants sans progéniture.

Bien que l’on peut facilement croire ces « révélations », l’étude ne se penche cependant pas sur les bonheurs individuels d’avoir un enfant, et des émotions découlant de ce miracle que seuls les parents ayant vécu l’expérience peuvent bien comprendre.

Il s’agirait donc d’un sacrifice de soi et du couple, au profit d’une expérience qui procure une tout autre gamme et palette d’émotions. Il s’agit aussi d’un choix personnel, et il y a fort à parier que les traits de personnalités (égocentrisme, individualisme, maturité, etc.) et le choix du partenaire sont aussi des facteurs qui feront varier la relation du couple, post-naissance.

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Des femmes veulent sensibiliser à la cause de la dépression post-partum

Le mois de janvier est un mois idéal pour parler de certains troubles de l’humeur et de santé mentale et psychologique, alors que plusieurs journées ou semaines officielles sur le sujet se déroulent à travers le monde.

Ici, on peut notamment penser à l’initiative de Bell On Cause Pour la Cause, qui connaît beaucoup de popularité et qui vise à sensibiliser la population aux troubles de santé mentale.

En Saskatchewan, c’est le mois officiel de la sensibilisation à la dépression post-partum, un mal qui frappe plusieurs femmes à la suite d’un accouchement. Pourtant, peu de gens acceptent d’en parler même aujourd’hui, et le phénomène est considéré à tort comme marginal.

Stéphanie Grand, rapporte Radio-Canada, est de celles qui cherchent à faire connaître ce mal et ses conséquences sur la santé mentale, physique et même sociale.

« Je n’ai pas dit à qui que ce soit que j’étais dépressive. Je croyais avoir échoué dans mon rôle de mère, comme si j’étais une mère indigne », lance Stéphanie Grand, qui veut maintenant convaincre d’autres femmes de chercher de l’aide.

L’exemple de Grand est repris par Tania Bird, une auteure qui signe The Smiling Mask, un livre qui relate sa propre dépression post-partum, et qui déconseille vivement le réflexe qu’ont plusieurs femmes de « cacher leur détresse derrière un sourire ».

Bird et Grand en appellent aux femmes dépressives à demander de l’aide, mais aussi aux conjoints et maris de celles-ci, qui sont, selon elles, les premiers témoins des signes précurseurs et des symptômes du trouble.

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Les femmes de carrière dépriment-elles les hommes?

Top Santé dévoile les résultats d’une étude psychosociale qui trace un parallèle entre le salaire et le rythme de vie professionnel des femmes, et les impacts sur l’humeur de leurs amoureux.

Selon les chercheurs de l’Université de Gand, en Belgique, les hommes seraient généralement affectés par le statut professionnel et le salaire de leur partenaire de vie. Si on peut croire que ceux-ci préfèrent voir leur copine et épouse travailler dur et ramener elle aussi le plus d’argent possible à la maison, il semble que ce soit plutôt le contraire.

En fait, les observations effectuées auprès de plus de 1000 couples révèlent que les hommes subissent une baisse de moral et ressentent un certain sentiment de déprime lorsque leur compagne gagne plus d’argent qu’eux. Cela devient bien pire pour les hommes lorsque cela signifie en plus qu’ils devront effectuer plus de tâches ménagères à la maison!

Une tendance qui ne serait pas observable chez la femme, parait-il.

« Dans les ménages à deux revenus, le fait que la femme travaille à temps plein peut provoquer plus d’agitation et une moins bonne santé mentale chez son partenaire, et ce, d’autant plus si elle perçoit un salaire plus élevé que lui. Nous avions décidé de mener cette étude afin de démontrer que nous étions sur la voie d’une société égalitaire entre les sexes. Mais nous en sommes encore loin », tranche Piete Bracke, professeur et auteur de l’étude.

Si les clichés ont parfois la vie dure, il semble que l’orgueil et l’instinct masculin aussi.