Une nouvelle étude trace un lien entre les performances créatives et l’activité physique, rapporte le Daily Mail (UK), et explique que cette dernière pourrait même venir à bout du fameux syndrome de la page blanche.
Une bonne nouvelle pour les penseurs, écrivains et rédacteurs de ce monde, même si cette catégorie de professionnels n’est pas toujours reconnue pour sa passion pour le sport.
Une bonne raison de s’y mettre, cependant, si l’on se fie aux conclusions de l’étude proposée par ces chercheurs de l’Université Leiden, aux Pays-Bas. Ceux-ci ont observé les capacités créatives et de réflexion de deux groupes de sujets, dont l’un pratiquait fréquemment des activités physiques, alors que l’autre pas, on aura compris.
Le groupe de sujets qui a ajouté l’exercice physique à sa routine hebdomadaire a démontré beaucoup plus d’habileté à trouver des réponses et des solutions créatives à des problèmes donnés et des questions précises, ce que les chercheurs attribuent à une meilleure « pensée convergente ».
La pensée convergente se définit par la capacité à trouver le plus de solutions possibles à un même problème, explique l’équipe de spécialistes, qui publie les résultats de cette étude sur la créativité dans journal scientifique Frontiers in Human Neuroscience.