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L’exercice stimule aussi la créativité

Une nouvelle étude trace un lien entre les performances créatives et l’activité physique, rapporte le Daily Mail (UK), et explique que cette dernière pourrait même venir à bout du fameux syndrome de la page blanche.

Une bonne nouvelle pour les penseurs, écrivains et rédacteurs de ce monde, même si cette catégorie de professionnels n’est pas toujours reconnue pour sa passion pour le sport.

Une bonne raison de s’y mettre, cependant, si l’on se fie aux conclusions de l’étude proposée par ces chercheurs de l’Université Leiden, aux Pays-Bas. Ceux-ci ont observé les capacités créatives et de réflexion de deux groupes de sujets, dont l’un pratiquait fréquemment des activités physiques, alors que l’autre pas, on aura compris.

Le groupe de sujets qui a ajouté l’exercice physique à sa routine hebdomadaire a démontré beaucoup plus d’habileté à trouver des réponses et des solutions créatives à des problèmes donnés et des questions précises, ce que les chercheurs attribuent à une meilleure « pensée convergente ».

La pensée convergente se définit par la capacité à trouver le plus de solutions possibles à un même problème, explique l’équipe de spécialistes, qui publie les résultats de cette étude sur la créativité dans journal scientifique Frontiers in Human Neuroscience.

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L’effet Facebook sur les troubles alimentaires

Plusieurs effets retour du plus important et populaire média social de notre époque, Facebook, commencent à faire leur apparition. Quelques études ont précédemment établi que, malgré ses avantages évidents, le système comprend quelques dangers pour la santé psychologique, notamment pour l’estime de soi.

Le Daily Mail (UK) en rapporte une nouvelle sur le sujet, alors que des chercheurs de l’American University, à Washington, constatent que Facebook peut avoir des effets néfastes sur la vision qu’ont d’elles-mêmes plusieurs jeunes femmes, pavant ainsi la voie à un déclenchement potentiel de certains troubles alimentaires.

Le web, on le sait, peut renvoyer une image irréaliste, alors que la majorité des personnes s’y décrivent et proposent des photos à leur avantage. Or, en regardant constamment des photographies d’autres jeunes femmes plus minces, plus « belles » ou plus heureuses, certaines seront enclines à désespérer sur leur sort et entrevoir des options néfastes pour la santé.

C’est ce que croient les chercheurs impliqués dans cette étude, qui analysait les comportements de 103 jeunes femmes volontaires. Cette recherche, tout de même sommaire, peut s’ajouter aux quelques-unes publiées précédemment pour proposer une solution plus qu’évidente : le temps passé sur les médias sociaux se doit d’être modéré… il en va de la santé mentale collective.

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Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

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Des notions de regrets bien différents chez les hommes que chez les femmes

Une équipe californienne a cherché à analyser les différentes réactions observables chez les hommes et les femmes en matière de comportement sexuel, rapporte Top Santé, et leurs premières conclusions se penchent davantage sur la notion de regrets.

Une notion amplement variable selon le sexe de la personne étudiée, constatent les chercheurs, alors que les hommes semblent regretter beaucoup plus de ne pas être passés à l’acte suite à une opportunité de relation sexuelle, et que les femmes regrettent plutôt d’avoir succombé à une situation similaire.

« Du point de vue de l’histoire de l’évolution, chaque occasion manquée de relations sexuelles avec une nouvelle partenaire est pour les hommes une chance perdue de se reproduire. Pour les femmes, la reproduction représente un investissement considérable, dont la grossesse, l’allaitement et l’éducation des enfants. Les conséquences d’un rapport sexuel occasionnel sont donc bien plus impliquantes pour les femmes que pour les hommes. »

« Cela entraîne naturellement une réaction émotionnelle beaucoup plus forte, chez la femme, au rapport sexuel. Ces réactions semblent toujours répondre, malgré les progrès sociaux, aux contraintes de reproduction du passé », peut-on lire en conclusion de l’étude proposée par les chercheurs de l’Université de Californie.

Plusieurs milliers sujets masculins et féminins ont pris part à cette étude, qui trace encore une fois une ligne marquée entre la psychologie féminine et masculine.

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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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Les femmes attirantes créent de meilleurs mariages

Voilà une étude qui en fera bondir plus d’un et plus d’une, alors que la psychologue Andrea Meltzer publie ses conclusions en matière de mariage, et croit que les femmes les plus attirantes créent des mariages plus heureux.

L’étude de Meltzer, rapportée par TheLoop.ca, se base sur les analyses effectuées auprès de 450 nouveaux couples mariés, sur une période de quatre ans.

La psychologue constate que les mariages impliquant de très belles femmes sont largement plus heureux, et que cette corrélation découle en fait du bonheur masculin. En effet, les femmes ne seraient pour leur part pas influencées par la beauté de leur époux en termes de « taux de bonheur » au sein du mariage, mais le seraient plutôt par celui de l’homme.

En clair, quand un homme est heureux, sa femme a beaucoup plus de chances de l’être, et pour qu’un homme soit heureux, il doit compter sur une belle épouse.

Ces résultats confirment donc une étude précédente sur le sujet, parue en 2008, qui affirmait que les hommes ayant épousé une jolie femme se voyaient plus enclins à être fidèles et à s’engager véritablement dans leur relation.

Ces deux études ne tracent donc pas un portrait très profond de l’homme moyen, qui semble prisonnier de sa passion pour la beauté féminine, un facteur essentiel à son bonheur, semble-t-il.

L’étude de la Dre Andrea Meltzer a été publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology.

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L’humain serait plus honnête le matin

Serait-on plus enclin à l’honnêteté le matin que le reste de la journée?

Ce qui semble difficile à croire et de prime abord dénué de logique est pourtant l’affirmation de chercheurs américains qui démontrent leur théorie par le biais d’une étude, maintenant rapportée par Top Santé.

Initialement publiée dans le magazine scientifique Psychological Science, l’étude des chercheurs de Harvard et de l’Utah trace un parallèle entre le mensonge et l’heure de la journée, affirmant que l’humain serait plus tenté de mentir une fois l’après-midi arrivé.

Les chercheurs ont analysé les réactions d’étudiants placés dans différentes mises en situation, le matin et l’après-midi. Les résultats sont étonnants, alors que les mêmes étudiants qui disaient la vérité au lever, par exemple dans le contexte d’un examen, d’un jeu d’argent ou d’une simple question, changent carrément de comportement et de réponse en après-midi!

Encore plus aberrant, un simple exercice visant à former un mot avec les suffixes « rale » et « que » démontre que les sujets de l’étude changent avec les heures qui passent. Le matin, les étudiants ont formé des mots tels qu’« éthique » et « morale », mais des mots complètement différents étaient formés plus tard dans la journée.

L’étude sympathique permet de constater que l’heure de la journée influence nos comportements et que, possiblement, le sommeil permet de retrouver ses bases en matière de morale et d’éthique.

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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

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Ce que votre cerveau ne vous dit pas

Une nouvelle étude démystifie l’incroyable capacité du cerveau à « cacher » certaines informations pour ne filtrer que ce qui est nécessaire, rapporte Top Santé. Mais que vous cache donc votre organe le plus important?

Des ombres et des silhouettes, notamment, ainsi que des informations qu’il juge non pertinentes à la compréhension d’un tout ou d’une situation, selon ce que l’on comprend des informations présentées dans l’étude.

« Si le cerveau a choisi de priver le sujet de certaines informations, ce n’est pas une perte de ressources, bien au contraire. Comme le cerveau traite énormément d’informations, il a évolué et a appris à analyser les plus importantes. »

« Il ne renvoie que les messages essentiels à une prise de conscience de l’environnement visuel dans l’intérêt de notre survie, probablement. Cela nous permet de ne pas nous noyer sous une masse floue d’informations. »

« Par exemple, il serait difficile d’imaginer être capable de traverser la rue sans risque en percevant toutes les ombres chinoises existantes… », explique l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, par ailleurs basée en Arizona, aux États-Unis.

Si certains doutent maintenant la loyauté de leur cerveau, les autres seront plus en mesure de comprendre à quel point l’organe cérébral est une machine sophistiquée, alors que l’étude démontre sa capacité à prendre de véritables décisions.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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La dépression affecterait directement les cellules

Une nouvelle étude hollandaise révèle que les cellules sont directement affectées à la suite d’une dépression nerveuse, rapporte le Daily Mail (UK).

Les chercheurs affectés à cette nouvelle recherche ont observé les transformations observables sur les structures cellulaires appelées télomères, et les impacts subséquents sur la santé et l’organisme des individus découlant de la dépression.

L’équipe hollandaise conclut que la dépression ne fait pas que laisser des traces sur le plan psychologique, mais qu’elle contribue au vieillissement prématuré des cellules, et donc du corps.

L’étude, qui analysait plus de 2400 cas, remarque une accélération du processus de vieillissement des cellules, ce qui pourrait se traduire par une moyenne de quatre à six ans.

Les résultats de cette recherche, par ailleurs publiée dans le magazine Molecular Psychiatry, amènent les spécialistes à s’inquiéter du phénomène, et ils rappellent qu’il est important d’être vigilant afin d’éviter de sombrer dans une dépression.

Une surcharge de travail, une mauvaise alimentation, un manque de luminosité, une épreuve difficile ou des troubles du sommeil, entre autres, sont autant de facteurs qui peuvent mener à la dépression. On suggère d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, et de ne pas hésiter à consulter lors de l’apparition des premiers symptômes d’une dépression ou de troubles de l’humeur.