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Quand les enfants sont endeuillés

Si votre enfant perdait un ami, sauriez-vous être à son écoute et répondre à ses questions? Voilà de quoi parle la thérapeute Heather Edwards sur le site PsychologyToday.com.

Elle explique que le processus de deuil des enfants est similaire à celui des adultes et qu’ils doivent comme nous vivre leurs émotions, les comprendre, en parler, etc.

En tant que parents, il peut être dur de voir son enfant vivre une telle tristesse. Que ce soit un camarade de classe, un membre de la famille ou un animal domestique, l’enfant aura grand besoin de soutien et de réconfort.

Mme Edwards souligne l’importance d’expliquer à l’enfant endeuillé qu’il est tout à fait normal de pleurer, que ça fait partie du processus de guérison. Ensuite, vous pouvez aider l’enfant à mieux comprendre ce qu’est la mort en lui répondant franchement, mais avec finesse.

Encouragez l’enfant à se remémorer les beaux souvenirs associés à la personne ou l’animal décédé. Cela lui permettra entre autres de réaliser que même après la mort, une partie reste, en dedans de nous, et que nous pouvons la faire revivre par nos souvenirs.

Finalement, tentez le plus possible de conserver leur routine habituelle; école, repas, devoir et sport. Vous lui offrirez ainsi un sentiment de sécurité et de normalité, chose nécessaire pour un enfant vivant un tel événement.

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Combattre la migraine chez l’enfant par la thérapie

Selon TopSanté.com, des séances de thérapie cognitivo-comportamentale seraient une bonne alternative aux traitements médicamenteux pour les enfants souffrant de migraine.

L’Institut National de la Santé (Inserm) nous informe que la prise de médicaments pour combattre les épisodes migraineux chez les jeunes entraine une accoutumance doublée d’une résistance accrue à la médication.

Le 25 décembre dernier, les résultats d’une recherche intéressante sont parus dans un article du Journal of the American Medical Association.

Les chercheurs du Centre de la migraine de l’hôpital de Cincinnati, aux États-Unis, ont soumi 135 migraineux chroniques âgés de 10 à 17 ans à un traitement médicamenteux. Ceux qui avaient aussi participé à des séances de thérapie cognitivo-comportementale ont montré de meilleurs résultats que ceux n’ayant eu que le médicament.

Pour le docteur Luigi Titomanlio, pédiatre et neurologue à l’hôpital Robert-Debré de Paris, il s’agit d’une excellente nouvelle. Il explique au journal Le Figaro qu’il est démontré scientifiquement que l’appréhension de la crise de migraine fait que l’enfant se concentre sur la douleur, ce qui en amplifie l’intensité.

La thérapie aide à gérer les craintes et diminue donc l’intensité. Par la bande, on prévient ainsi l’abus de médicaments antalgiques.

Il reste à savoir si c’est un moyen qui pourrait aussi être utilisé par les adultes.

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Les bienfaits de l’adaptabilité chez les jeunes

Dans une société comportant un haut taux de décrochage comme la nôtre, cet article est fort intéressant. Les jeunes facilement adaptables seraient plus susceptibles de mieux participer en classe, d’aimer l’école davantage et d’avoir une meilleure estime de soi.

C’est ce que suggère une première étude du genre. À la suite de l’observation de 969 élèves australiens du secondaire provenant de neuf écoles différentes, les chercheurs de la Faculté de l’éducation et du travail social à l’Université de Sydney ont constaté combien la capacité de s’adapter à des situations et des conditions nouvelles et changeantes est essentielle pour leur bien-être.

L’auteur principal de l’étude, le professeur Andrew Martin, indique que les résultats, publiés dans le Journal of Educational Psychology, prouvent que la capacité à faire face à un monde en perpétuel changement est une aptitude essentielle pour les jeunes de demain.

« En identifiant les composantes de l’adaptabilité et de ses effets, nous sommes dans une bonne position pour aider les jeunes à faire face aux aléas de la vie. On peut leur enseigner à voir les choses différemment, comment modifier leur comportement et ajuster leurs émotions. Lorsque nous les aidons sur ce plan, nous développons leur adaptabilité, ainsi que leur futur », conclut le Pr Martin.

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Ordre et désordre : l’effet sur votre cerveau

Dis-moi comment est ton bureau et je te dirai qui tu es! C’est un peu ce que nous dit cette nouvelle étude menée par l’Université du Minnesota.

L’étude, publiée dans la revue médicale Psychology Science, a démontré que les gens gardant un bureau en ordre sont plutôt généreux, traditionnels et feraient des choix alimentaires plus sains pour la santé. Les gens étant plus désordonnés sont pour leur part plutôt créatifs et à l’esprit d’entreprise.

Pour arriver à ces résultats, Kathleen Vohs et ses collègues de l’université ont passé un questionnaire à plusieurs participants qui étaient placés dans un bureau propre et rangé ou dans un bureau en désordre où tout traînait.

On leur a ensuite demandé de faire un don à une œuvre de charité, avant d’avoir la permission de manger une barre chocolatée ou une pomme. La compilation de leurs choix a permis de conclure les énoncés ci-haut.

L’auteure explique aussi que le désordre favorise l’imagination, tandis que l’ordre favorise plutôt la sécurité, et ce, peu importe l’endroit où se trouvent les gens.

Finalement, les résultats ont aussi démontré qu’on pouvait être tout à fait fonctionnel dans un milieu désordonné, ce qui est contraire à la croyance populaire.

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L’orgasme : un excellent moyen d’exercer le cerveau

Barry Komisaruk du Département de psychologie de l’Université Rutgers au New Jersey partage les résultats d’une étude récemment conduite sur les bénéfices de l’orgasme.

Pour arriver à ces conclusions, le professeur, qui a passé plus de 50 ans à étudier le plaisir sexuel féminin, a examiné l’activité cérébrale de femmes qui, confinées dans un scanneur en milieu médical, atteignaient l’orgasme.

Lorsqu’un sujet s’adonne à des exercices mentaux tels que des mots croisés ou des sudokus, quelques parties du cerveau seulement seraient activées. Or, l’orgasme à lui seul activerait absolument tout.

Se confiant à The Times, le chercheur de 72 ans dit : « Durant l’orgasme, c’est un incroyable flux sanguin qui se produit vers le cerveau. Je crois donc que ça ne peut être une mauvaise chose. Ça apporte tous les nutriments et l’oxygénation nécessaires ».

Il suggère également que ce type d’évènement pourrait bloquer la douleur et donc être utilisé notamment pour soulager celle de l’accouchement. Ou encore, il mentionne qu’en arrivant à exploiter le mécanisme de production du plaisir, on pourrait en faire bénéficier les gens atteints de dépression, d’anxiété et de toxicomanie.

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Le Ritalin : Mode d’emploi

Il est maintenant commun d’entendre que les enfants hyperactifs ou ayant des difficultés d’apprentissage sont mis sous médication.

Alors que le débat est encore bien chaud à savoir ce qui est normal ou pas, acceptable ou pas, si la médication est choisie comme solution aux troubles d’un enfant, il est impératif de savoir exactement ce à quoi votre enfant sera exposé.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier une brochure d’information à destination des patients et de leur entourage afin de bien comprendre les médicaments à base de méthylphénidate, utilisés pour traiter les troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus. Cette voie devrait être considérée uniquement lorsque les mesures psychologiques, éducatives, sociales et familiales se sont montrées inefficaces.

Un article du site Top Santé énonce les effets négatifs de la fameuse drogue. En effet, avec la prise de médicament comme le Ritalin, un enfant calme n’équivaut pas forcément à un enfant en santé.

Parmi les effets secondaires indésirables, on retrouve un risque de retard de la croissance, retard de la prise de poids, un risque pour les vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau, d’agitation, de risques d’apparition de tics moteurs et verbaux, d’hallucinations et d’anxiété.

Un contrôle serré de la prise de ces pilules doit être observé, et un suivi auprès du médecin est recommandé tous les 6 mois. Il pourra ainsi s’assurer que l’enfant jouit des bénéfices voulus et qu’il se développe normalement.

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Prédire la dépression postnatale

C’est dans le Journal of Psychiatry Research qu’ont été publiés les résultats fort prometteurs d’une nouvelle recherche concernant la prédiction de la dépression postpartum. Le nombre de femmes en souffrant est estimé à 1 sur 7.

Lors de leurs recherches, les spécialistes de l’Université de Warwick en Angleterre et des hôpitaux du NHS ont trouvé deux gènes identifiés comme étant impliqués dans la réponse au stress, GE et CRH-R1.

Les prélèvements sanguins de 200 femmes enceintes ont révélé deux modifications génétiques dans ces gènes, et il a été déterminé que les femmes portant ces mutations avaient un risque élevé de souffrir d’une dépression postnatale.

Lors de l’accouchement, il se produit un changement du taux de corticotrophine, une hormone produite par le placenta. Le tout vient déséquilibrer l’axe HHS, un réseau biologique constitué de glandes et d’hormones liées au stress.

Ce type de déséquilibre peut alors causer des symptômes dépressifs tels que l’anxiété, l’irritabilité, des pleurs sans raison et des difficultés relationnelles.

Heureusement, moyennant des recherches plus approfondies, une simple prise de sang pourrait déterminer les risques d’une future maman de souffrir de ce trouble malheureusement très commun.

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Gérer la perte d’un bébé

Voilà un évènement qu’on ne souhaite à personne. Bien sûr, les hommes sont aussi affectés, mais une étude s’est penchée sur l’expérience émotionnelle des femmes à la suite d’une fausse couche ou de l’accouchement d’un enfant mort-né.

Conduite par l’Université d’Adélaïde en Australie et expliquée sur le site MedicalXpress, l’étude avait pour but de mieux comprendre l’état de deuil et la tristesse quotidienne encourue ainsi que l’impact sur leurs relations.

« La majorité des recherches jusqu’alors effectuées portaient surtout sur les troubles mentaux associés à la fausse couche, alors que le deuil et la tristesse quotidienne étaient mis de côté », explique Catherine Collins, étudiante en psychologie clinique.

Elle ajoute : « Nos recherches visaient l’expérience émotionnelle des femmes après la fausse couche et l’accouchement d’enfants mort-nés, l’impact sur les relations avec leur partenaire et leurs autres enfants, et leur expérience avec le support du système de santé ».

Les résultats ont entre autres révélé que plus de 29 % des femmes ayant accouché d’un enfant mort-né divorçaient par la suite. Le chiffre est à 24 % pour les victimes de fausse couche.

« Ceci démontre d’importants troubles émotionnels après la perte d’un bébé. Malgré certaines recherches, l’incidence de ces évènements, l’intensité et la durée du deuil sont encore trop peu comprises. Les détails de cette recherche nous aideront à mieux comprendre ces femmes et leur offrir une meilleure assistance », conclut Collins.

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Comment se rapprocher de ses enfants

Alors que le rôle de parent veut souvent dire de causer des déceptions et frustrations chez nos enfants (refus de sortie, imposition de règles, désaccords, etc.), il est aussi de notre devoir d’équilibrer le bonheur de nos petits.

Sur le site PsychologyToday, on fait mention d’une recherche qui aurait déterminé que pour chaque échange négatif, il en faudrait 5 positifs pour équilibrer une relation.

Ceci dit, si vous êtes à court d’idées sur comment embellir votre relation parent-enfant, on vous en mentionne une vingtaine. En voici quelques-unes qui sont fort simples et qui pourraient être appliquées tous les jours :

– Les câlins du matin. Réveiller son enfant en le câlinant, quelle belle façon de commencer la journée!

– Glissez une petite note positive dans sa boîte à lunch.

– Dites à votre enfant qui s’en va quelque part de s’amuser plutôt que de ne pas faire de bêtises.

– Chantez ensemble. Si votre enfant chatonne une chanson que vous connaissez, joignez-vous à lui!

– À l’heure du souper, demandez à chaque membre de la famille le point fort et le point faible de leur journée. Surtout, écoutez.

– Riez de ses blagues, même si elles sont franchement mauvaises.

– Finalement, si vous le pouvez, éteignez votre téléphone dès que vous en avez la chance. Personne n’aime parler à quelqu’un qui a le nez dans son cellulaire.

 

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Bâtir l’estime de notre enfant

Bien que majoritairement dits de façon inconsciente, tous les commentaires désobligeants que nous exprimons à nos enfants ont souvent un impact important. Heureusement, le contraire est aussi vrai.

Sur le site PsychologyToday, on conseille de pratiquer le renforcement positif et de travailler à éviter les mots blessants. Vous contribuerez ainsi à la bonne estime de votre enfant. Pour ce faire, encouragez les petites victoires telles que d’avoir tout rangé sans se plaindre, d’avoir lu un petit livre en entier, etc.

Vous pouvez également l’aider à résoudre des problèmes plutôt que de le blâmer quand ils se présentent. Par exemple, s’il a oublié de faire une tâche, travaillez ensemble pour trouver une solution pour qui n’oublie pas la prochaine fois.

Ne laissez jamais votre enfant se dénigrer. Si pendant le coloriage, il n’a pas réussi à rester à l’intérieur des lignes, ne le laissez pas se déprécier s’il se dit mauvais ou nul en coloriage. Expliquez-lui qu’on devient bon avec la pratique.

Une autre chose qui est excellente, c’est de laisser votre enfant vous entendre parler de lui en bien. Vous parlez à une amie ou à votre conjoint. Dites-lui combien votre enfant a été bon dans une activité ou combien vous êtes fier de lui. Sourire assuré!