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La déception reliée au sexe de bébé

La déception est un phénomène normal et courant, semblable à celui que l’on vit pour toute autre situation qui ne correspond pas à nos attentes. Dans la grande majorité des cas, cette déception s’estompe, et elle ne signifie en rien que vous n’aimerez pas votre bébé.

« Bien des déceptions se guérissent avec la réalité du bébé », explique la psychologue spécialisée en périnatalité, Séverine Dagan-Berteau. « Le nouveau-né est suffisamment séduisant et gratifiant pour que ses parents le trouvent formidable! »

Le véritable problème, c’est plutôt lorsque la déception ne passe pas. Dans ce cas, dit la psychologue, elle cache probablement une souffrance beaucoup plus profonde, sur laquelle la mère devra travailler.

Par exemple, une femme qui est terrorisée à l’idée d’attendre un garçon a peut-être vécu une relation tyrannique avec son frère, ou encore une future mère qui ne réussit pas à se faire à l’idée d’avoir une fille ne s’est peut-être jamais sentie aimée par sa propre mère.

Si la déception nuit à l’attachement envers le bébé une fois qu’il est là, il vaudrait mieux consulter.

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Quoi faire quand son enfant ment

Quand ne pas réagir
 
Il est primordial de laisser à son enfant un « jardin secret », c’est-à-dire lui donner le droit de ne pas tout vous dire. Certains mensonges sont également normaux et font partie de son développement, ceux qui relèvent de ses petites fabulations, par exemple. D’autres mensonges « utilitaires » qui ne sont pas inquiétants : ceux pour se défendre (il ment pour ne pas révéler qu’il a eu une mauvaise note à l’école) ou de mise en valeur.
 
Il ne faut pas faire un drame de ces mensonges, s’ils sont occasionnels. Si les parents réagissent trop fortement à un mensonge de défense, par exemple, l’enfant sera poussé à cacher la vérité à nouveau.
 
Quand réagir
 
Ça peut devenir plus inquiétant si en plus des mensonges, l’enfant ne réagit pas, ne dit rien, a perdu son sens de l’humour… On peut lui demander directement ce qui ne va pas, ou utiliser des exemples fictifs pour essayer de le faire parler plus de son problème.
 
Si l’enfant fait des mensonges répétés qui transgressent les règles, cela peut aussi dénoter un problème de communication avec autrui, indique Mme Castro.
 
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Les parents ont tendance à minimiser les inquiétudes de leurs enfants

Selon une étude menée auprès de plus de 500 enfants âgés de 4 à 11 ans, les parents auraient systématiquement tendance à considérer que les enfants sont moins inquiets et plus optimistes qu’ils ne le sont vraiment.

Les chercheurs ont d’abord interrogé les parents à l’aide d’un questionnaire leur demandant d’évaluer l’anxiété et l’optimisme de leurs enfants, puis ils ont demandé aux enfants eux-mêmes de se prononcer sur différentes questions, en utilisant une échelle faite de différentes images.
 
Les questions posées étaient variées, portant par exemple sur la peur du noir ou encore l’inquiétude devant la possibilité que quelque chose arrive à un être cher.
 
Cette étude donne une perspective intéressante, car le consensus en psychologie veut que les enfants de moins de 7 ans ne soient généralement pas en mesure de bien exprimer leurs émotions et leurs états d’âme. Les psychologues et intervenants se fient donc souvent aux réponses des parents.
 
L’auteure de l’étude, la psychologue Kristin Lagattuta, affirme que les résultats indiquent qu’il faut peut-être faire attention en présence d’évaluations indirectes d’enfants, réalisées par leurs parents ou par d’autres adultes.
 
Idéalement, l’évaluation psychologique d’un enfant devrait provenir de sources multiples, incluant les réponses de ce dernier, a-t-elle ajouté, selon le Science Daily.
 
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L’hypersexualité démystifiée

Une panoplie de chercheurs de toutes spécialités ont joint leurs forces afin de boucler une étude qui démystifierait une fois pour toutes le concept vague connu sous le nom d’« hypersexualité ».

L’étude s’est effectuée sur 207 patients âgés de 18 ans ou plus qui avaient recours à des soins en santé mentale, rapporte Santelog.com. Du nombre, 152 avaient consulté pour des problèmes de sexualité trop présente dans leur vie.

L’équipe de chercheurs, composée de psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux (et autres thérapeutes), a alors tenté de s’entendre sur les notions de symptômes et de diagnostics dans le cas de l’hypersexualisation.

Les résultats de ce système de « jury » démontrent que ce n’est pas tous les patients qui étaient en problème réel. Du lot, 32 patients ont été gardés en observation, et seulement 29 (sur 207 au début) ont officiellement reçu un diagnostic de trouble d’hypersexualité.

Les symptômes « officiels » qui découlent de l’étude sont donc : fantasmes récurrents et intenses, violents, accompagnés de pulsions qui prennent trop de place dans la vie quotidienne, au point de nuire au développement social. Réagir au stress par des comportements sexuels est aussi du nombre.

Aussi, si une personne tente de maitriser ses pulsions et problèmes et qu’elle en est incapable, ou qu’elle a des comportements sexuels extrêmes sans aucune notion de danger ou de préjudice physique, elle est touchée.

Au final, les chercheurs préfèrent parler de « trouble de la personnalité » plutôt que de dépendance.

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Des secrets de l’hypnose révélés

Des tests de résonnance magnétique effectués sur des patients sous hypnose révèlent certains secrets de cet art, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il appert que le cerveau des gens qui sont sensibles à l’hypnose est différent de celui de ceux qui ne sont pas « hypnotisables », affirme cette étude récente.

Les chercheurs ont utilisé des tests de résonnance magnétique (MRI) afin d’examiner l’activité de trois zones du cerveau sur 12 adultes réceptifs à l’hypnose, et sur 12 qui ne le sont pas.

Les trois zones, ou réseaux, du cerveau analysées étaient le mode « pause », le mode « exécutif », utilisé lors d’une prise de décision, et le mode « saillie », utilisé lorsque l’on veut choisir entre deux options.

Ainsi, on a constaté que les deux groupes avaient le même système cérébral de « pause », mais que ceux qui s’avéraient de meilleurs sujets d’hypnose avaient des systèmes « exécutif » et de « saillie » plus coopératifs.

L’hypnose permet d’aider les gens aux prises avec des problèmes de douleur, d’angoisse, de stress et phobiques.

Le Dr David Spiegel conclut : « Jamais une signature cérébrale d’hypnose n’a été obtenue, et nous sommes sur le point d’y arriver ».

Un tel accomplissement pourrait jeter beaucoup de lumière sur l’obscur processus de l’hypnose sur le cerveau humain.

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10 trucs pour que les enfants obéissent mieux

1. Rester calme : Les enfants sont nos miroirs; on s’énerve, eux aussi. Il est important d’apprendre à maîtriser ses émotions.

2. Ne pas chercher la paix à tout prix : Il faut savoir dire non même si on est fatigué, occupé et qu’on n’a pas envie de gérer une crise.

3. Oser être autoritaire : Il y a des limites à ne pas transgresser, et des choses non négociables.

4. Ne pas envenimer les choses : Il est parfois mieux de laisser les enfants ou les ados se calmer sans renchérir pour faire retomber la tension.

5. Faire des promesses que l’on peut tenir : On doit éviter les promesses, et aussi les menaces, en l’air.

6. Permettre, mais avec un cadre : On peut donner une permission spéciale, mais uniquement en échange d’une tâche à faire ou d’un comportement à adopter.

7. Respecter l’âge : N’ayez pas des demandes irréalistes face aux très jeunes enfants.

8. Encourager : Un enfant ne se sentira jamais trop aimé, valorisé et encouragé.

9. Compter : La bonne vieille technique du « 1… 2… 3… » fonctionne assez bien, en général. Il n’écoute pas? Une conséquence immédiate, mais pas trop sévère.

10. Isoler : Laisser les enfants seuls dans leur chambre quelques minutes, c’est parfois la meilleure solution lorsqu’ils deviennent incontrôlables.

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Comment interpréter les dessins de bébé

Suivez l’évolution fascinante des dessins de votre bébé… La psychologue Roseline David explique les différents stades, tels que rapportés par Infobébés.

La tache : Avant douze mois, les bébés font des taches sur le papier avec de la peinture ou parfois même avec des aliments.

Les premiers gribouillis : À partir d’un an, bébé gribouille, faisant des traits dans tous les sens. À ce stade, l’enfant « fait une projection de lui-même », explique Mme David.

Le griffonnage : Vers deux ans, le griffonnage commence. L’enfant fait maintenant des dessins « intentionnels ». Il essaie aussi d’imiter l’écriture, même si son attention est encore très limitée.

Le bonhomme : C’est autour de 3 ans qu’apparaissent les fameux bonshommes. Au début, ceux-ci sont très simples, avec un rond pour la tête et des lignes pour les bras et les jambes. Le bonhomme devient plus élaboré avec le temps, et vers 6 ans, l’enfant dessine un corps articulé.

Le portrait de famille : Lorsqu’il commence à mieux maîtriser le dessin, l’enfant d’âge préscolaire fait souvent des portraits de sa famille, une façon de se représenter dans son environnement.

L’artiste en herbe : Progressivement, la créativité explose, et l’enfant dessine toutes sortes d’objets, explore les couleurs et les formes, etc.

Le plus important, selon la psychologue, c’est de laisser l’enfant s’exprimer, d’écouter l’histoire qu’il raconte et de ne pas lui poser trop de questions sur son oeuvre.

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La personnalité directement liée au succès social

Des études effectuées sur des humains ainsi que sur des babouins démontrent clairement que le succès social découle de la personnalité de chaque individu… ou singe, selon ce que rapporte Radio-Canada.

De plus, il semble que des effets de longévité et une meilleure santé peuvent être observés chez ceux qui entretiennent des amitiés ou un réseau social actif.

Robert Seyfarth et Dorothy Cheney, respectivement psychologue et biologiste, tirent les mêmes conclusions des études proposées. D’abord, certains singes se font des amis plus facilement, ce qui augmente leurs chances de se reproduire. C’est le même phénomène chez les humains.

Pour en arriver à des résultats clairs, les chercheurs ont étudié les liens génétiques et sociaux d’un groupe de babouins de la réserve Moremi Game, au Botswana.

Il ressort de cette étude que le succès reproductif n’est pas tant lié à la domination, au fait d’être chef de son groupe social, mais plutôt à celui de parvenir à conserver les liens créés avec les autres.

Et tout cela, en fin de compte, découle du type de personnalité de l’individu. On note des femelles babouins très solitaires, mais se reproduisant beaucoup, alors que d’autres sont constamment entourées de leurs pairs, sans toutefois avoir de progéniture.

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Les femmes prendraient moins de risques en présence d’un bébé

Contrairement aux hommes, qui ne réduisent pas les risques qu’ils prennent en présence d’un bébé, les femmes ont tendance à être significativement plus prudentes en présence d’un poupon ou d’un jeune enfant.

Les chercheurs de l’Université de Warwick et de l’Université de Basel croient que ce pourrait être un exemple de forces évolutives au travail.

« Notre attitude face au risque forme une grande part de notre personnalité et détermine nos gestes dans toutes sortes de domaines », selon le docteur au Département de psychologie de l’Université de Warwick, Thomas Hills.

En fait, les hommes seraient plus compétitifs et rechercheraient plus le risque, alors que la femme chercherait, par instinct maternel, à protéger ses enfants.

Une seconde étude a aussi démontré que les hommes prenaient encore plus de risques lorsqu’ils étaient en équipe avec d’autres hommes.

Cela vient confirmer que les hommes, une fois en couple ou avec une famille, sont moins portés à être en compétition entre eux.

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Un enfant en santé ne guérit pas automatiquement une fausse couche

Le triste souvenir d’une fausse couche que vivent certaines mamans n’est pas nécessairement effacé par l’arrivée d’un nouveau-né, selon une étude menée par la Avon Longitudinal Study of Parents and Children publiée par le British Journal of Psychiatry en Angleterre.

Sur 13 000 femmes britanniques, l’étude a remarqué que pour 2 800 d’entres elles ayant eu une fausse couche ou un bébé mort à l’accouchement, la naissance subséquente d’un enfant en santé ne les a pas empêchées de traîner avec elles des symptômes de dépression ou d’anxiété, au contraire.

Ces symptômes seraient en effet demeurés jusqu’à trois ans après la naissance de cet enfant en santé.

La professeure Jean Golding de l’Avon Longitudinal Study of Parents and Children a déclaré : « L’étude est importante pour les familles des femmes qui ont perdu un enfant, parce que trop souvent, on assume à tort qu’elles se remettent de cet incident rapidement, alors qu’il est clairement démontré que ce n’est pas du tout le cas. »

Toujours selon l’étude, de 50 à 80 % des femmes qui perdent un enfant tombent de nouveau enceintes.