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La solitude, nocive pour la santé

Les personnes âgées qui ont un réseau social limité ou qui éprouvent fréquemment un sentiment de solitude ont tendance à être en moins bonne santé, nous apprend une nouvelle étude.

Près de 3 000 Américains âgés de 57 à 85 ans ont évalué divers aspects de leur état de santé et les chercheurs de l’Université Cornell à Ithaca ont ensuite comparé les résultats à leur réseau social.

« La majorité des personnes âgées vont voir leurs relations avec les autres changer à cause de plusieurs évènements, comme la retraite ou un deuil », a fait savoir l’un des auteurs, la Dre Erin York Conwell.

Si la scientifique conçoit que certaines personnes s’accommodent bien de la solitude, elle croit que ce sont les sujets bien entourés et qui s’ajustent bien aux changements de leur vie sociale percevront être en meilleure santé que les autres.

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La psychothérapie la plus efficace

Une étude allemande, dont les résultats complets sont publiés dans le Journal of the American Medical Association, nous apprend que les psychothérapies qui durent plus d’un an sont plus efficaces que celles qui sont brèves et à court terme.

Selon Falk Leichsenring, un chercheur de l’Université de Giessen, il ne fait pas de doute que les symptômes psychologiques s’estompent selon la durée de la psychothérapie.

« La psychothérapie qui dure plus longtemps a de meilleurs résultats que celle à court terme, tant au niveau de l’efficacité, de la résolution de problème et de l’amélioration des troubles de la personnalité », a précisé le Dr Leichsenring.

Cette conclusion est particulièrement vraie lorsque le patient souffre de troubles mentaux complexes, comme la dépression et l’anxiété, qui ne peuvent être traitées en quelques semaines seulement.

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Encore du chemin à faire en matière de santé mentale

Une récente enquête menée pour le compte de l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale auprès de 450 entreprises canadiennes nous apprend que 80 % des employeurs accordent plus d’importance à cet aspect qu’il y a trois ou cinq ans.

Ce sont toutefois les cadres oeuvrant dans les départements de ressources humaines qui se préoccupent davantage de santé mentale. Seulement 13 % des autres cadres supérieurs se sont dits très sensibles aux répercussions des problèmes de santé mentale sur une entreprise.

De plus, parmi les répondants qui n’indiquait aucune ou qu’une certaine sensibilisation chez les hauts dirigeants, 47 % d’entre eux n’envisageaient aucune solution concrète pour apporter des améliorations pour la santé mentale des employés.

« Le fait que l’on ne se soucie pas suffisamment de mesurer les répercussions des problèmes de santé mentale sur le travail, afin d’effectuer une analyse de rentabilisation qui justifierait les moyens à prendre pour les régler, constitue le plus grand obstacle à l’appui des dirigeants », a souligné Anne Nicoll, l’auteure de la recherche.