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Michel Courtemanche: «Je suis tombé en psychose»

Michel Courtemanche était invité sur le podcast de Maxim Martin, Deal avec!, où il discutait de divers aspects de sa vie, notamment de ses déboires passés.

Capture podcast Deal avec!

Rappelons que ce dernier a traversé une période très sombre durant sa carrière, confronté à d’importants problèmes de toxicomanie et d’alcoolisme.

Ainsi, une fois de plus, il se confie sur ce sujet, révélant les raisons qui l’ont poussé à entreprendre une cure de désintoxication, ainsi que les cocktails de substances qui auraient pu être dangereux et s’avérer fatals, mais aussi sa psychose en cure.

C’est principalement l’inquiétude et le regard de ses proches qui l’ont incité à chercher une solution pour mettre fin à sa consommation. Il a d’abord tenté de s’en sortir seul, mais réalisant que cela ne fonctionnait pas, il a plus tard opté pour une thérapie.

«J’absorbais tellement une grosse quantité de toute, que j’étais intuable…», explique Michel Courtemanche.

Suite à ses paroles, il évoque d’ailleurs un souvenir frappant d’une soirée où il a non seulement consommé de grandes quantités d’alcool, mais aussi diverses substances telles que la cocaïne et des «pilules».

De plus, en compagnie de Maxim, il se confiait sur ses dernières heures avant d’entamer sa cure de désintoxication qui auraient pu être très dangereuses, car, comme il l’explique, il a consommé une très importante quantité de drogue juste avant de rejoindre sa thérapie.

«M’a faire le party toute la semaine pour dire dire bye bye à mes chums de brosse (…) 9 grammes à peu près… et là, j’étais couché dans le lit et il ne fallait pas que rien me touche», explique le talentueux homme de scène dans un moment de vulnérabilité unique.

Une thérapie qui a finalement été déterminante pour son rétablissement, mais qui n’a pas été sans difficultés. En effet, il a même été confronté à l’éventualité d’être renvoyé car sa présence effrayait les autres patients.

«Je suis tombé en psychose… ton corps est en manque (…) Il veut sa dose, il veut l’alcool, il veut tout. Donc, je suis tombé en psychose. Je sautais sur le lit toute la nuit, puis je criais. C’était vraiment le bordel (…)», témoigne Courtemanche.

Heureusement, aujourd’hui, Michel se porte bien et est toujours sobre.

Parions que ce moment au podcast de Maxim Martin en inspirera plusieurs.

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Dépression et psychose : Florence K se confie

Suite à une terrible dépression, Florence K se confie sur le chemin qui l’a mené là, et celui qu’elle a dû prendre pour s’en sortir, dans son nouveau livre intitulé Buena Vida.

Dépression, anxiété, idées suicidaires, automutilation, l’artiste raconte comment une vie pourtant bien bâtie a pu se transformer en cauchemar, rapporte le Journal de Québec

«J’ai écrit ce qui se passait dans ma tête à l’époque», dit-elle en entrevue.

«C’est pour ça que j’ai écrit le livre au présent. Plein de souvenirs de cette période me sont revenus pendant l’écriture. Des trucs que j’avais dû réprimer. Je me disais: Oh, my God, c’est arrivé pour vrai!»

Après avoir été hospitalisée et traitée, Florence K se porte aujourd’hui très bien et se dit beaucoup mieux outillée pour faire face aux problèmes de la vie.

«J’ai les outils pour ne pas que ça se transforme en anxiété. Les peurs, je les gère. Comme je le dis à la fin du livre, j’ai probablement une prédisposition. Ce n’est pas tout le monde qui se rend à la psychose», croit Florence K.

Le livre Buena Vida sort aujourd’hui, le 14 octobre. Au printemps prochain, Florence K lancera également un album dans lequel elle interprète des classiques de jazz.

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Les traumatismes de l’enfance reliés à une éventuelle psychose

Selon Medical News Today, ces psychoses sont dues à des anomalies du cerveau, changements physiologiques apportés par les traumas vécus surtout pendant la petite enfance.

La recherche se base sur 125 autres études effectuées dans les 10 dernières années. Elle réfute la pensée traditionnelle selon laquelle les différences du cerveau observées chez les sujets atteints de schizophrénie n’ont rien à voir avec le vécu de l’individu.

En fait, les mêmes anomalies observées chez le schizophrène ont été détectées chez les enfants ayant subi des agressions et/ou négligences importantes.

Les spécialistes du Royaume-Uni, de la Norvège et des États-Unis ont uni leurs forces pour éplucher 10 ans de données et ont conclu : « Les gens aux prises avec une psychose devraient recevoir de l’aide psychologique spécifiquement adaptée à leurs besoins et leurs difficultés, en relation avec ce qu’ils ont vécu ». Ils croient fermement que les changements apportés au cerveau sont réversibles.

Le professeur John Read a ajouté qu’il espérait ainsi que les spécialistes s’intéressent désormais plus au vécu de leurs patients, plutôt que de « traiter leur mal-être et leurs symptômes comme une maladie que l’on peut supprimer avec de la médication ».

Les résultats seront publiés dans la revue bimensuelle Neuropsychiatry.

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Les acteurs sont-ils de « sains psychotiques »?

En cette journée de dévoilement des nominations aux Oscars et dans la foulée de la saison des festivals de cinéma un peu partout dans le monde, une étude intrigante fait son apparition et soumet le concept que les acteurs seraient en faits… des psychotiques.

De « sains psychotiques », cependant, s’il l’on en croit les propositions du professeur Gordon Claridge et de son équipe, basés à l’Université d’Oxford en Angleterre.

« Les éléments créatifs nécessaires pour être acteur et faire de l’humour sont très semblables à ceux qui caractérisent la signature cognitive des personnes souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire », lance le professeur Claridge, des propos rapportés par Top Santé

Ce dernier et ses collègues ont analysé les comportements de 523 comédiens et acteurs locaux, mais aussi en provenance des États-Unis et de l’Australie. En leur soumettant un test destiné aux personnes saines chez qui on souhaite déterminer la présence de comportements psychotiques, les chercheurs ont découvert une foule de similitudes entre la pathologie et les personnes exerçant le métier d’acteur.

« C’est cette structure de personnalité hors du commun qui permet d’expliquer la capacité des acteurs à divertir », conclut Claridge, qui croit que cette formule s’applique aussi à bien des créatifs de ce monde.