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Marcus Foligno en furie après deux décisions douteuses des arbitres

Deux punitions plus que douteuses ont mené les Stars à une victoire de 3-2 sur le Wild dimanche soir pour égaliser la série à deux matchs chacun, le cinquième match revenant à Dallas mardi soir.

Les deux fois c’est Marcus Foligno qui a écopé de 2 minutes alors que franchement on cherche encore où était l’infraction, surtout sur la première.

L’appel fut obstruction alors qu’il se battait pour la rondelle avec le défenseur Jani Hakanpaa. Voyez par vous-mêmes.

Ensuite en 3e période, une punition pour avoir fait trébucher.

Le principal intéressé ne s’est pas gêné pour faire connaître le fond de ses pensées après le match alors qu’il a parlé de  »bullshit call » sur ses deux punitions qui ont mené à deux buts des Stars.

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Après le Canadien, au tour des Blue Jackets de pénaliser un joueur absent à une réunion

Récemment, l’attaquant Jonathan Drouin s’était retrouvé dans une mauvaise situation en lien avec une réunion d’équipe. 

Le numéro 27 s’était absenté, ce qui avait soulevé la colère de Martin St. Louis et il est ensuite demeuré cloué au banc pendant un match complet face à son ancienne équipe, le Lightning de Tampa Bay.

Aujourd’hui, nous avons appris que c’est maintenant au tour des Blue Jackets de Columbus de vivre une situation similaire.

Le jeune Trey Fix-Wolansky a manqué une réunion d’équipe et il risque de s’en souvenir pour un bon moment. 

Jarmo Kekäläinen
est furieux de la situation et a pris la décision de le retourner dans la LAH avec les Monsters de Cleveland. 

Fix-Wolansky était l’un des meilleurs pointeurs de la Ligue américaine de hockey avant d’être rappelé pour les Jackets. 

Il totalisait 26 buts ainsi que 67 points en 54 rencontres. 

Voyez la publication plus bas :

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Choisir une punition adaptée et la maintenir

Top Santé rappelle cependant d’éviter les punitions trop longues lorsque l’enfant est petit et de demeurer dans la simplicité (assis sur une chaise sans bouger). Au contraire, plus l’enfant grandit, plus il doit être privé pour comprendre.

Jamais 2 sans 3

Ne répétez jamais plus de deux fois avant de sévir, au risque de perdre votre crédibilité. La 3e fois, c’est la punition illico.

Comprendre la raison

Donner une punition sans avoir au préalable informé l’enfant de ce qui se passerait « si » laissera le jeune dans la perplexité. Punir sans expliquer n’enseigne rien.

Vous n’êtes pas le gros méchant loup

Selon la psychologue Etty Buzyn, il est important de parler au nom des deux parents pour que l’enfant comprenne qu’il y a consensus et qu’il a dépassé les limites de l’un et de l’autre.

S’il est fâché, c’est non seulement normal, mais nécessaire pour qu’il retienne la leçon. Il apprendra aussi à gérer ses émotions.

Évidemment, l’humiliation et la gifle sont à proscrire, mais dans un excès, sachez présenter vos excuses.

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Comment faire la discipline à la maison?

Comment faire pour obtenir une meilleure écoute et un meilleur comportement de la part de ses enfants? Le site Parenting Squad tente de mettre fin aux confrontations et impasses interminables entre parents et enfants.

Si vous dites que vous allez punir votre enfant, faites-le. La menace non exécutée va transformer vos petits en monstres qui n’ont peur de rien.

Contrôlez vos émotions. Crier ne fait pas nécessairement plus peur. Être clair, froid et strict a souvent plus d’effet. Soyez cohérent, si vous chicanez une fois pour cela et que ça se reproduit, chicanez à nouveau et, surtout, faites-le avec tous les enfants de la famille. L’égalité et la justice des réprimandes doivent régner.

Vous n’êtes pas le seul parent à devoir faire la pluie et le beau temps à la maison, demandez conseil à votre entourage et des spécialistes. Comparez, mais soyez surtout prudent dans vos dires, car certaines personnes pourraient vous juger.

Mettre dans un coin, priver votre enfant de dessert, de console de jeu ou d’amis, lui demander de s’excuser… Gardez un esprit ouvert et adaptez-vous, car la discipline devra se faire selon l’intelligence, la personnalité et le niveau de confort de chaque jeune.

Une fois que la punition ou la confrontation est terminée et que l’environnement est revenu calme, analysez le comportement et le langage de votre enfant. Quelle a été la réaction à la punition? Immédiatement après l’interaction avec le bambin, obtenez une foule d’informations et ajustez ou modifiez votre punition une prochaine fois. Ce ne sont pas toutes les transgressions qui méritent la même punition, et pour une prochaine fois, le plan de match devrait déjà être réfléchi et établi dans votre tête. Si tout est prêt à être mis en exécution, la discipline sera davantage couronnée de succès.

Finalement, vous pouvez également essayer de récompenser au lieu de punir. Pour exemple, si votre enfant a l’habitude de sortir du lit 10 fois après le coucher, proposez-lui sa friandise favorite ou de se coucher 15 minutes plus tard lorsqu’il passe une soirée sans se lever.

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Les enfants reçoivent la fessée de plus en plus tôt

La recherche a été menée par l’équipe de l’Université du Michigan, en collaboration avec le professeur Lawrence Berger de l’Université du Wisconsin. Ils ont observé 2788 familles de milieux urbains.

Les enfants ont été suivis de 1 an à 5 ans. Parmi les familles, au moins 10 % ont reçu la visite du CPS (Child Protective Service) pendant l’étude.

« Des études ont démontré que la fessée est reliée à de nombreux comportements problématiques plus tard chez l’enfant. Notamment, l’agressivité et la dépression », ont écrit les auteurs de cette recherche.

De plus, chez les bébés, la punition physique est « particulièrement malavisée et potentiellement dangereuse, et peut déclencher une foule de comportements parentaux inappropriés ». C’est ce que confient les spécialistes Shawna Lee et Andrew Grogan-Kaylor.

Selon thebump.com, au cours de la recherche, les experts ont surtout été déroutés par l’absence de connaissance de méthodes alternatives à la fessée. Lee suggère aux parents de parler avec un pédiatre, une infirmière ou un travailleur social avant d’en arriver là.

L’étude a été publiée dans la revue Child Abuse & Neglect.

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4 astuces pour entretenir une relation saine avec votre ado

Certains parents sont fermés à l’aide extérieure et aux conseils. Mais si vous faites partie de ceux qui ressassent les vieilles disputes et qui prennent le comportement de leurs ados comme des affrontements personnels, mieux vaut chercher quelques outils, comme le propose SheKnows.

L’ABC de la réprimande – Agissez comme un policier. Acceptez les insultes en demeurant de glace, donnez la punition, puis poursuivez vos activités sans vous engager dans une joute verbale colorée. Difficile, mais essentiel si vous souhaitez éviter d’envenimer les choses.

Rendez-vous en tête-à-tête – Peu importe à quel point vous êtes débordé, vous devez accorder un moment exclusif régulier à votre enfant. Une marche, un dîner, tant que vous êtes ouvert. Ne le pressez pas de questions. Écoutez. Surtout, pas de cellulaire admis pendant cette rencontre.

Évitez la spirale négative – Les adolescents, lorsqu’ils se confient à un psychologue, disent souvent que les discussions avec les parents sont basées sur ce qu’ils font de négatif et ce qu’ils doivent améliorer. À chaque discussion que vous avez avec lui, trouvez quelque chose de positif à lui dire.

Pensez à long terme – Les punitions sont difficiles à maintenir. Ne cédez pas, même pour acheter un moment de paix. Pensez au bienfait éventuel, puisque vous souhaitez ainsi transmettre vos valeurs et principes. Vous tenez le rôle ingrat, mais un jour, il vous remerciera.

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Mon enfant ne cesse de me défier

Tous les enfants ne sont pas sages et dociles. Nous-mêmes avons possiblement bravé nos parents de temps à autre. Cependant, quand c’est à notre tour de faire face à ce type de comportement, nous ne savons pas toujours comment le gérer.

Sur le site PsychologyToday, on cite le livre du Dr Jeffrey Bernstein, 10 Days To A Less Defiant Child, et mentionne 4 importantes améliorations à faire soi-même pour modifier le comportement de nos enfants.

D’abord, il importe de comprendre la raison du comportement de notre enfant. Comme toute chose, quand on comprend la cause, le problème est plus simple à régler.

De plus, bien que cette réaction soit commune, crier ou donner de grosses punitions peut parfois s’avérer totalement inefficace. En fait, vous risquez surtout de mettre de l’huile sur le feu. En général, vous aurez de meilleurs résultats en parlant calmement. En donnant l’exemple, votre enfant ne sentira pas autant le besoin de hausser le ton.

Quant à la fameuse guerre de pouvoir, elle serait futile. L’enfant se croyant au même niveau d’autorité que vous, il ne servirait à rien de bon de vous battre pour lui montrer votre supériorité.

Finalement, le renforcement positif est une technique qui a fait ses preuves. Encourager les bons comportements des jeunes limiterait leur besoin de la mauvaise attention qu’ils recherchent en vous défiant.

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Laissez la vieille école derrière et parlez plutôt à vos enfants

En se basant sur ces souvenirs, où la punition suivait inévitablement les disputes, les mauvais coups, les bévues, soyons plus attentifs et communiquons. C’est la meilleure méthode pour obtenir la collaboration de nos tout-petits.

Comme nous sommes encore aujourd’hui tiraillés entre la punition, pour discerner ce qui est bien ou mal, et des façons plus positives et plus modernes d’agir, voici quelques trucs trouvés sur Psychology Today.

L’exemple donné se réfère à une enfant de 3 ans qui vient de recevoir un bâton de baseball en plastique. Elle passe dans la cuisine et frappe accidentellement sa mère au genou.

– Évitez de vous concentrer uniquement sur l’événement ou le comportement. Essayez de comprendre. Elle vient de recevoir ce cadeau et est probablement très excitée.

– Fixez donc les limites pour la prochaine fois : pas de bâton à l’intérieur. Donnez l’exemple de ce qui vient de se passer : « Quelqu’un pourrait être blessé ».

– Plutôt que d’effrayer l’enfant en réagissant de façon colérique, expliquez-lui que vous comprenez qu’il s’agit d’un accident. Mais suggérez-lui une façon de régler la situation. Par exemple, en s’excusant ou en faisant un câlin.

– Dirigez immédiatement l’enfant vers une autre activité. Elle a compris qu’elle a fait une erreur, mais elle peut jouer avec autre chose.

Sans même vous en rendre compte, vous enseignerez les bonnes manières à votre enfant, et vous serez en mesure de réagir calmement à ce genre de situation.

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Les bébés comprennent la punition

Des chercheurs de l’University of British Columbia viennent de faire une découverte des plus impressionnantes sur les bébés. Il semble que les enfants âgés d’à peine huit mois soient en mesure de reconnaître un comportement antisocial.

Ils souhaiteraient même qu’un tel comportement ne soit pas toléré et que la personne responsable en reçoive une punition, lit-on dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

On avait déjà démontré que les bébés préféraient les actes de bonne intention. Cette fois, on ajoute qu’ils acceptent qu’un comportement négatif soit dirigé vers ceux qui ne sont pas agréables ou méchants.

Ainsi, on remarque que des enfants de quelques mois sont déjà en mesure de poser une évaluation sociale complexe. Ils sont aussi capables d’avoir une perception nuancée de la réciprocité.

Cela suggère que nous pouvons instinctivement reconnaître les êtres autour de nous qui pourraient représenter un danger. Il s’agit donc d’une avancée quant aux théories de l’évolution.

Les expérimentations de cette étude ont été faites à l’aide de marionnettes, lesquelles agissaient positivement ou négativement. Plus de 100 bébés ont participé à cette recherche.
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La punition corporelle, néfaste pour l’intellect

Bien que ce ne soit plus très courant, l’usage de la punition corporelle à l’école existe encore.

Or, une récente étude ayant été menée au sein de deux écoles privées de l’Afrique de l’Ouest fait état de répercussions insoupçonnées de ce type de punition.

C’est que les enfants qui fréquentent une école faisant usage de punitions corporelles ont eu des résultats nettement plus faibles en ce qui a trait à certains processus psychologiques. Parmi eux, on note la planification et la pensée abstraite.

De plus, les chercheurs soutiennent qu’un enfant qui se développe dans un tel environnement pourrait vivre des effets à long terme sur son intelligence verbale et ses aptitudes d’exécution.

Conséquemment, il se trouve plus à risque d’avoir des problèmes de comportement.

Les résultats complets de cette étude ayant porté sur 63 enfants sont parus dans Social Development.