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Ne plus punir les garçons?

Une chercheuse de l’Observatoire international de la violence à l’école, Sylvie Ayral, a déposé une thèse stipulant que l’on ne devrait pas punir les garçons, peut-on lire sur Ouest-France.

Selon elle, la punition aurait l’effet inverse à celui attendu. Les garçons seraient en fait encouragés à récidiver lorsqu’on les punit.

Ces derniers auraient en fait besoin de faire les fanfarons pour affirmer leur virilité. Les punir n’aurait pour effet que de renforcer ce type de comportement.

Tous les garçons tendraient à vouloir être punis, selon madame Ayral. Ils seraient confirmés dans leur rôle de chef en recevant une punition devant les autres.

D’autre part, il semble que ce serait encore plus compliqué pour les femmes, car les garçons se construiraient aussi une identité en rejetant tout ce qui est féminin.

La chercheuse recommande donc d’adopter des méthodes autres que celles employées couramment. Il faudrait initier les enfants à l’identité masculine dès la maternelle par des ateliers de sociologie.

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La punition des parents actuels : pas d’Internet!

On entend de plus en plus « Pas d’Internet pour une semaine! » au lieu de « Pas de télévision pour une semaine! » de la part des parents d’aujourd’hui.

C’est la conclusion de chercheurs de l’Université du sud de la Californie (Centre de l’avenir numérique) à la suite d’un sondage réalisé en avril 2010 auprès d’environ 2 000 Américains.

Les deux tiers des parents donnent comme punition l’interdiction de regarder la télévision à leurs enfants.

Il semble pourtant que la punition classique des dernières années soit en mutation. En effet, si 32 % défendaient l’accès à l’ordinateur en 2000, ils représentent désormais 57 % des parents.

De plus, il semble que cela dérange moins les parents que les plus jeunes passent du temps devant l’écran de l’ordinateur plutôt que celui du téléviseur.

Pour 71 % des parents interrogés, le temps passé sur Internet par leurs enfants serait « juste correct », contre 51 % en ce qui concerne la télévision.

Il semble donc que les parents modernes font de moins en moins la distinction entre la télévision et l’Internet.