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Comment intégrer les légumes dans l’alimentation de l’enfant avant 2 ans

Le projet que rapporte Top Santé s’intitule HabEat. Il a été réalisé en partenariat avec de nombreux instituts et scientifiques. Il en ressort que les habitudes alimentaires de l’enfant se forgent pour la plupart dans les 2 premières années de vie.

Ainsi, introduire des légumes après cette période risque d’être plus laborieux pour les parents. Si l’enfant résiste ou refuse un nouveau légume, il suffit de le lui présenter à plusieurs reprises. Il finira par s’y habituer. Autrement, on peut le faire choisir entre deux légumes, une méthode qui s’avère apparemment efficace.

D’autre part, vous aurez plus de chances si, dès le départ, lorsque l’enfant mange de la purée, vous l’habituez au goût des différents légumes. Si les pots pour bébé sont limités, n’hésitez pas à faire vos propres purées.

Ce sont 18 000 mères et leurs enfants qui ont participé à cette étude d’envergure, échelonnée sur 4 ans. Le projet HabEat sera transposé en guide alimentaire pour les parents ainsi que les différents intervenants auprès des enfants.

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Préparer vous-même les purées de bébé, c’est facile!

Lorsque bébé commence à manger de la nourriture solide, un monde de possibilités s’ouvre à lui. Plutôt que d’aller vers la facilité (les pots de bébé) et de nourrir votre enfant avec des agents de conservation, trop de sel et de sucre, prenez une journée du weekend pour préparer 1 mois de repas en un tournemain.

Pour les purées de légumes, c’est simple, il s’agit de les faire bouillir jusqu’à tendreté et de les passer au robot ou au pile pommes de terre, si vous souhaitez un peu de texture. Prenez des patates douces, carottes, courges, pois, ou encore des épinards. Utilisez le jus de cuisson pour ajuster la texture et, surtout, pour conserver les vitamines.

En ce qui a trait aux purées de fruits, utilisez des pommes, pêches, mangues, poires et bananes. Internet regorge de sites qui peuvent vous donner des trucs, des combinaisons de certains aliments, etc. Certains peuvent être écrasés directement, d’autres doivent être cuits légèrement.

Parents Canada suggère de toujours prendre des légumes et fruits de saison afin qu’ils soient frais. Rien qui est en conserve ou surgelé. Par la suite, vous versez des portions dans des moules à glaçons, puis vous transférez dans des sacs de congélation lorsque gelés. Vous pouvez même utiliser un appareil pour les sceller sous vide, ils décongèleront plus rapidement et resteront frais plus longtemps.

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Grossesse : une alimentation variée pour un bébé pas compliqué

Pour éviter que votre enfant soit un mangeur méticuleux, il semble qu’il faut l’exposer à des goûts, des aliments et des odeurs variés dès les premières semaines de sa vie, et même lorsqu’il est dans l’utérus, stipulent plusieurs recherches.

Selon Benoist Schaal de l’Université de Bourgogne à Dijon, qui a exploré l’effet de l’odeur dans et à l’extérieur de l’utérus, « pendant la grossesse, l’utérus est relativement perméable, et dans ce que la mère consomme, une certaine dose va au fœtus. Lorsque certaines choses sont consommées, notamment lorsque le cerveau est formé, cela peut influencer les goûts des enfants, à long terme ».

Il ajoute : « Une étude argentine a montré que les bébés dont les mères ont bu pendant la grossesse léchaient leurs lèvres à l’odeur de l’alcool ».

C’est donc en donnant une certaine quantité de bonbons et de biscuits à saveur d’anis à un groupe de femmes, quelques jours avant qu’elles accouchent, qu’il a été noté que lorsque leurs bébés sont nés, ceux-ci se retournaient et souriaient lorsqu’une branche d’anis était près d’eux.

L’expérience n’a pas testé si les enfants aimaient automatiquement l’anis. Cependant, comme le parfum est un contributeur majeur à notre sens du goût, il est probable qu’ils aiment, a confirmé l’étude.

Il a été également prouvé que la période pendant laquelle un bébé est sevré pour manger des aliments solides peut également influer sur les goûts de l’enfant plus tard. Varier les sortes de purées quotidiennement favoriserait le développement du goût.

De plus, les femmes qui allaitent et qui aiment manger épicé ne devraient pas s’inquiéter pour la santé de leur bébé si elles mangeaient déjà enceintes ce style de nourriture.

Il semblerait également que les goûts que nous développons bébé nous suivent pendant des décennies.

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Sevrage : favoriser le solide à la purée

Radio-Canada rapporte que selon la Pre Ellen Townsend et son équipe de l’Université de Nottingham, les aliments solides présentent deux avantages pour les bébés.

Les enfants qui mangeront de petits morceaux solides plutôt que de la purée auront tendance à adopter un comportement alimentaire plus sain et ils risqueront moins le surpoids que ceux nourris à la cuillère avec des aliments en purée.

Cet énoncé fait un lien également avec une étude récente qui affirmait que laisser son enfant en bas âge manger avec ses doigts plutôt qu’avec des ustensiles pouvait favoriser un bon équilibre alimentaire et une bonne santé.

Celui qui mange avec ses doigts serait davantage porté à sélectionner ses aliments dans son assiette et même choisir plus de glucides que celui qui est nourri à la cuillère par ses parents avec de la purée.

Parus dans le British Medical Journal, les résultats de l’étude de l’Université de Nottingham tendent à prouver que le mode de sevrage peut influer sur les préférences alimentaires et l’indice de masse corporelle (IMC), et ce, dès la petite enfance.

Les auteurs de cette étude ont analysé le cas de 155 enfants âgés de 20 mois à 6 ans et demi, sur le questionnaire rempli par les parents quant au mode d’alimentation de leur bébé et sur la méthode de sevrage utilisée.

Comme la plupart des études antérieures, cette dernière n’a pas permis de connaître quel était l’âge parfait pour introduire les aliments solides dans le régime d’un enfant. Certains parents participants ont répondu qu’ils avaient laissé leur bébé se nourrir seul de petits morceaux solides dès l’âge de six mois.

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Cachez les légumes pour qu’il en mange plus

Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, il suffirait de cacher les légumes pour que notre enfant en mange plus. Des chercheurs de Penn State l’ont d’ailleurs démontré dans le cadre d’une expérimentation.

On a donc servi des petits plats rehaussés de légumes à 39 enfants âgés de 3 à 6 ans lors de 3 journées différentes. Les petits goûtaient par exemple du pain aux zucchinis le matin, des pâtes à la sauce tomate le midi et une casserole de pâtes au poulet le soir.

Par la suite, on ajoutait des purées de légumes à ces plats de façon à réduire leur nombre de calories de 15 à 25 %. Les résultats ont été probants.

Si les enfants ont trouvé les plats rehaussés de purées de légumes à la hauteur des recettes standards, ils ont pourtant abaissé leur apport calorique de 11 % en moyenne et ils ont presque doublé leur consommation de légumes.

Avec nos inquiétudes sur l’augmentation actuelle des cas d’obésité, il est certain que nous devrions aborder cette nouvelle voie afin d’améliorer la nutrition des enfants.

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Pots pour bébés ou purées faites maison?

Rapportée par le Daily Mail, l’information provient d’une nouvelle étude de chercheurs des universités de Montfort à Leicester, Bristol et Birmingham. Les résultats démontrent clairement que les enfants qui consomment des purées de fruits et de légumes concoctées par maman développent une plus grande acceptation des goûts.

Ainsi, dès l’âge de 7 ans, les enfants sont plus enclins à consommer et apprécier divers légumes et fruits. La raison est très simple : les purées commerciales ont toutes la même texture et, à peu de choses près, un goût similaire. Quant aux purées maison, elles conservent d’autant plus leurs vitamines et offrent des sensations différentes pour les papilles et le palais de l’enfant.
 
L’étude se base sur l’analyse de 7 866 mères dont les enfants sont nés en 1991 et 1992.
 
La docteure Helen Coulthard, de l’Université de Montfort, recommande fortement de faire nous-mêmes les plats de notre poupon.
 
« Dès leur plus jeune âge, les enfants se basent sur de nouvelles expériences sensorielles et en apprécient la diversité. Les différentes textures et goûts variés des plats maison assurent la diversité future de consommation de fruits et légumes », explique Coulthard.