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La marijuana chez l’adolescent diminuerait son QI

Selon des chercheurs du National Institute of Drug Abuse (NIDA), les effets à long terme de la consommation de pot sont bien moins reluisants que ceux qui sont immédiats. La pensée critique est compromise, ainsi que la mémoire, et ce, pendant plusieurs jours dans certains cas.

Ce qui est pire encore, rapporte le Daily Mail, c’est que l’étude ajoute une nouvelle conséquence, particulièrement chez les adolescents. Leur QI serait diminué par cette drogue. Même s’ils cessent de fumer, les effets demeurent.

« Il est important d’alerter le public. L’utilisation de la marijuana pendant les années d’adolescence apporte son lot de risques académiques, sociaux et de santé. » La directrice du NIDA, Dre Nora D. Volkow, ajoute : « Les spécialistes de la santé devraient intervenir en informant les familles des conséquences de la marijuana, notamment au niveau des développements cognitifs et sociaux ».

Les chercheurs tiennent à sensibiliser les jeunes au fait que les nombreuses variétés de marijuana aujourd’hui disponibles augmentent de beaucoup les risques de dommages associés.

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Un nouveau test pour dépister les enfants à risque de développer un QI inférieur

Ce pourcentage représente le nombre d’enfants qui naissent avec une prédisposition 4 fois plus élevée de se retrouver avec un QI inférieur à 85.

Ceux qui sont dans cette catégorie présentent un trouble de la glande thyroïde, en plus d’une anomalie génétique de l’enzyme déiodonase. Cette enzyme est impliquée dans le traitement des hormones thyroïdiennes à l’intérieur des cellules.

La recherche, effectuée par les experts de l’Université Cardiff et l’Université de Bristol, a été présentée à la Society for Endocrinology Annual BES Conference.

Les données génétiques de 3123 enfants de 7 ans ont été analysées, et leur QI testé. Les chercheurs ont réalisé que seule la combinaison d’un niveau d’hormones thyroïdiennes plus bas que la normale et de la variante génétique du déiodonase-2 affectait le QI.

Les données se sont avérées inchangées malgré l’ajout des facteurs environnementaux et socio-économiques.

« Si d’autres études confirment nos résultats, il faudrait réfléchir aux avantages reliés à un test génétique pratiqué en même temps que la vérification de la glande thyroïde à la naissance. Nous serions à même d’identifier les enfants le plus à risque », a expliqué le Dr Peter Taylor, responsable de la recherche.

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Risque accru de démence chez les adolescents au faible QI

La recherche comprenait les données de 1,1 million de jeunes hommes suédois. Selon les résultats, ceux qui présentaient une moins bonne santé cardiovasculaire et un QI plus bas pendant l’adolescence étaient plus sujets à développer des signes précoces de démence.

L’experte principale, Jenny Nyberg de l’Académie Sahlgrenska, a expliqué dans un communiqué : « Des études antérieures ont montré la corrélation entre la santé cardiovasculaire et le risque de démence chez les personnes âgées. Pour la première fois, nous démontrons que ce risque s’applique également à la démence précoce et ses précurseurs ».

Selon les résultats rapportés par Science World Report, à l’adolescence :

– Une faible santé cardiovasculaire représente un risque accru de 2,5 fois de développer une démence précoce;

– Le risque de ceux ayant un faible QI était quant à lui 4 fois plus élevé;

– La combinaison d’une mauvaise santé cardiovasculaire et d’un QI sous la moyenne faisait grimper ce risque à 7 fois.

Même en combinant d’autres facteurs tels que l’historique médical, l’hérédité et les circonstances socio-économiques, le risque demeurait le même.

Le professeur Georg Kuhn affirme que l’exercice demeure la meilleure solution préventive. « En d’autres mots, une bonne santé cardiovasculaire rend le cerveau plus résistant aux dommages et maladies. »

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Le QI ne mesurerait pas l’intelligence avec précision

Le QI, pour quotient intellectuel, est cette unité de mesure qui sert à déterminer la force de votre intelligence, qu’elle soit faible, moyenne ou au-dessus de la masse.

Utilisée depuis longtemps, elle plait à ceux qui ont de bons scores, alors que ceux qui obtiennent de moins bons résultats sont enclins à critiquer la méthode, on le comprendra.

Ceux-ci peuvent toutefois se réjouir d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par topsante.com, qui prétend que l’unité de mesure connue sous le nom de « quotient intellectuel » ne serait pas précise et ne permettrait pas de définir réellement l’intelligence globale d’une personne.

C’est que selon les chercheurs britanniques en tête de l’étude, il faudrait au minimum trois tests différents pour arriver à un résultat concret. Des facteurs comme la mémoire à court terme, le raisonnement et les compétences verbales, notamment, devraient aussi être pris en compte dans l’évaluation de l’intelligence.

De plus, des tests sur le cerveau effectués par l’équipe de chercheurs ont démontré l’existence de trois types d’intelligence qui s’appuient sur différentes zones cérébrales.

Pour eux, il faut revoir radicalement la façon dont on analyse l’intelligence humaine.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le magazine Neuron.

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Même une quantité d’alcool modérée durant la grossesse peut avoir un effet sur le QI de l’enfant

PLoS ONE publie les résultats d’une nouvelle étude britannique portant sur les données de plus de 4000 mères et leurs enfants. Les femmes ont rempli des questionnaires sur leur consommation d’alcool à deux reprises durant leur grossesse, et le QI de leur enfant a été mesuré à l’âge de 8 ans. Les enfants ont ensuite subi des tests pour détecter des variantes génétiques précises reliées à la métabolisation de l’alcool.

En moyenne, les enfants avaient un QI de deux points moins élevé pour chaque modification génétique vérifiée. Puisqu’elle portait sur le code génétique et non sur des facteurs qui peuvent aussi être reliées au mode de vie (comme l’alimentation ou le tabagisme de la mère), cette étude est considérée comme plus aboutie que plusieurs précédentes, qui relevaient plutôt du domaine de l’observation.

L’auteure de l’étude, la Dre Sarah Lewis, a noté que « nos résultats suggèrent que même à des niveaux qui sont normalement considérés comme inoffensifs, la consommation d’alcool durant la grossesse entraine des différences au niveau du QI. Ceci dépend de l’aptitude du fœtus à éliminer l’alcool. Cela prouve que même à des niveaux modérés, l’alcool influence le développement du cerveau », rapporte ScienceDaily.

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Même une quantité d’alcool modérée durant la grossesse peut avoir un effet sur le QI de l’enfant

PLoS ONE publie les résultats d’une nouvelle étude britannique portant sur les données de plus de 4000 mères et leurs enfants. Les femmes ont rempli des questionnaires sur leur consommation d’alcool à deux reprises durant leur grossesse, et le QI de leur enfant a été mesuré à l’âge de 8 ans. Les enfants ont ensuite subi des tests pour détecter des variantes génétiques précises reliées à la métabolisation de l’alcool.

En moyenne, les enfants avaient un QI de deux points moins élevé pour chaque modification génétique vérifiée. Puisqu’elle portait sur le code génétique et non sur des facteurs qui peuvent aussi être reliées au mode de vie (comme l’alimentation ou le tabagisme de la mère), cette étude est considérée comme plus aboutie que plusieurs précédentes, qui relevaient plutôt du domaine de l’observation.

L’auteure de l’étude, la Dre Sarah Lewis, a noté que « nos résultats suggèrent que même à des niveaux qui sont normalement considérés comme inoffensifs, la consommation d’alcool durant la grossesse entraine des différences au niveau du QI. Ceci dépend de l’aptitude du fœtus à éliminer l’alcool. Cela prouve que même à des niveaux modérés, l’alcool influence le développement du cerveau », rapporte ScienceDaily.

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L’hypertension durant la grossesse liée à des effets à long terme sur le QI des enfants

L’étude menée en Finlande a testé un groupe d’hommes à différents moments pendant toute la durée de leur vie. Les résultats ont démontré qu’à l’âge de 20 ans, ceux qui étaient nés de mères ayant souffert d’hypertension artérielle durant leur grossesse avaient un QI moins élevé de 4,36 points que ceux dont la mère avait eu une grossesse normale.

À 69 ans, la même différence était présente, mais les hommes nés de mères dont la pression artérielle avait été trop élevée présentaient en plus un déclin cognitif plus prononcé. Cette différence était particulièrement évidente au niveau des problèmes mathématiques, selon le Daily Mail.

« L’hypertension artérielle, ainsi que ses conditions reliées telles que la prééclampsie, est une complication qui se présente dans environ 10 % des grossesses et qui peut affecter l’environnement du bébé dans l’utérus », a expliqué le docteur Katri Rdikven.

Les chercheurs ont conclu qu’« une propension à des habiletés cognitives inférieures et à un déclin de celles-ci durant le troisième âge pourrait avoir une origine prénatale ».

Selon cette étude, une naissance prématurée ou encore la profession du père n’avaient aucun effet sur le QI.

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Le cannabis affecte le QI

Une étude néo-zélandaise démontre que la consommation de cannabis à l’adolescence a des effets durables sur le cerveau, ce qui occasionne une détérioration des capacités intellectuelles.

Cette nouvelle étude a été réalisée sur une période de cinq ans auprès de 1037 enfants nés en 1972 et 1973. Elle vient d’être publiée dans les Actes de l’Académie américaine des sciences.

En réalisant des tests de QI réguliers auprès des cobayes, les chercheurs ont pu démontrer que ceux qui avaient consommé régulièrement du cannabis ont vu leur QI limité par rapport à ceux qui n’avaient jamais fumé.

Cette détérioration des capacités intellectuelles se manifeste entre autres par de plus faibles capacités de mémorisation, de concentration et de vivacité d’esprit.

Autre facteur important mis en évidence par l’étude, l’arrêt de la consommation ne restaure pas complètement les fonctions neuropsychologiques de ceux qui ont commencé à l’adolescence.

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Les bébés nés naturellement ont un QI plus élevé

En fait, chez les femmes qui accouchent naturellement, on observe dans le cerveau du bébé une plus grande quantité d’une protéine spéciale, appelée UCP2, qui aide à stimuler l’intelligence lors de son développement.

L’UCP2 contribuerait à favoriser la mémoire à court et à long terme, qui sont des composantes clés du QI durant la croissance.

« Ces résultats révèlent un rôle potentiellement critique de l’UCP2 dans le développement normal des circuits du cerveau et aux comportements qui y sont liés. […] Nous avons découvert que la naissance naturelle favorisait l’expression de l’UCP2 dans les neurones situés dans la région hippocampique du cerveau », explique l’auteure de la recherche, publiée dans PLoS ONE, Tamas Horvath.

De plus, l’UCP2 contribue à une chance accrue de la réponse favorable à l’allaitement pour le nouveau-né. La césarienne, elle, entraînerait plus de risques de saignements internes pouvant mener à des problèmes de fertilité, selon les experts.

Plus de 25 % des bébés nés dans les hôpitaux NHS naissent par césarienne, et ce chiffre atteint les 60 % en cliniques privées.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont plus susceptibles de souffrir d’obésité. Ils seraient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’apnée du sommeil chez l’enfant peut affecter son QI

« Tous les enfants ronflent à un certain moment, mais environ un sur dix ronfle régulièrement, et c’est une source d’inquiétude pour de nombreux parents », affirme au Daily Mail Marianne Davey, fondatrice de l’Association britannique pour le ronflement et l’apnée du sommeil.

La spécialiste explique que bien que pour la plupart des enfants, le ronflement ne soit pas un problème, 2 à 3 % d’entre eux (1 sur 350 000) cachent toutefois un trouble d’apnée du sommeil qui peut s’avérer plus dangereux.

L’apnée du sommeil est beaucoup plus fréquente chez les adultes qui souffrent de troubles cardiaques. Quant aux enfants qui sont touchés par l’apnée du sommeil, ils ronflent bruyamment, ont une respiration laborieuse, puis se taisent pendant quelques secondes, avant de renifler et, à bout de souffle, recommencer à respirer de manière inquiétante.

Ce processus peut faire en sorte rapidement que le bambin manque d’oxygène dans le sang et que ses organes vitaux, y compris le cerveau et le cœur, soient touchés. L’apnée du sommeil chez un enfant peut également avoir des conséquences importantes comme provoquer une faible croissance, un retard de développement, des problèmes de comportement ou des troubles de la performance scolaire avec concentration réduite.

Voilà pourquoi des études britanniques et australiennes ont affirmé avoir trouvé des différences cognitives entre les personnes souffrant d’apnée du sommeil âgées de 7 à 12 ans et un groupe contrôle sans problèmes de sommeil. Les auteurs ont dit que l’apnée du sommeil prolongée sur plusieurs années touche le QI et la mémoire d’un enfant. Ils ajoutent que l’hyperactivité est également plus probable, du fait que les enfants ont du mal à se concentrer et deviennent plus perturbateurs.

Un diagnostic peut facilement être fait pour l’apnée du sommeil infantile, mais le traitement peut prendre plus de temps.

Mentionnons que tous les enfants cessent de respirer pendant de courtes périodes durant leur sommeil. Par contre, si cela se produit de 15 à 20 fois, des conséquences importantes peuvent arriver, et des interventions peuvent être nécessaires, comme une hypertrophie des amygdales ou des végétations adénoïdes pour régler la situation.