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Le QI lié au taux de mortalité

Le Dr Finn Rasmussen de l’Institut Karolinska en Suède affirme que plus les hommes ont un quotient intellectuel faible, plus ils risquent de mourir jeunes, même en tenant compte de plusieurs autres facteurs de risque comme l’obésité et le tabagisme.

Afin d’en arriver à ces conclusions, le Dr Rasmussen et son équipe ont analysé 994 262 dossiers médicaux.

Le chercheur avance comme hypothèse que les sujets plus intelligents avaient probablement plus d’années de scolarité et un meilleur emploi, ce qui les rendait plus aptes à prendre soin d’eux, en cessant de fumer par exemple, ou en étant moins sédentaires.

Le risque de mortalité lié au QI diminuait à mesure que les participants de l’étude avançaient en âge.

Tous les détails de l’étude se retrouvent dans la revue scientifique Epidemiology.

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La musique rend intelligent

Jouer d’un instrument de musique pendant plus de trois ans permettrait aux enfants d’obtenir de meilleurs résultats à des tests de raisonnement et de vocabulaire que ceux qui ne suivent pas de leçons de musique, nous apprend une étude publiée dans PLoS ONE.

Les chercheurs ont comparé 41 enfants, de 8 à 11 ans, qui jouaient du piano ou du violon à 18 autres enfants qui ne jouaient pas d’un instrument de musique.

Le premier groupe a obtenu un pointage de 15 % supérieur au test de vocabulaire et 11 % de plus au test de raisonnement.

D’autres recherches similaires affirmaient qu’une telle habileté augmentait les capacités mnémoniques et réduisait le niveau de stress.

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Les répercussions de la crise du verglas de 1998

Des chercheurs de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, affilié à l’Université McGill, se sont penchés sur les conséquences qu’a eues la crise du verglas en 1998 sur les enfants qui sont nés peu après cet évènement.

Il en résulte que ces derniers accusent un certain retard dans leur développement en raison du stress ressenti par leur mère lors de leur gestation.

« Nos résultats démontrent que les enfants issus de mères ayant vécu beaucoup de stress ont obtenu une note de quotient intellectuel de dix points moins élevée et des performances linguistiques plus faibles que ceux dont les mères avaient vécu moins de stress », ont souligné les auteurs de cette recherche, les docteurs David Laplante et Suzanne King.

178 femmes enceintes lors de la crise du verglas et 89 enfants nés de ces participantes ont été suivis par les chercheurs, qui se réjouissent d’avoir réussi à évaluer les conséquences à long terme du stress maternel chez le foetus.

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Le QI associé à la démence

Le Dr John M. Starr et son équipe de l’Université d’Edinburgh en Écosse affirment que les enfants qui performent moins bien aux tests cognitifs sont plus à risque de souffrir de démence vasculaire, une fois adultes.

Ce syndrome démentiel est la deuxième forme la plus commune de démence, après la maladie d’Alzheimer, et se caractérise par l’effet cumulatif de multiples infarctus cérébraux.

173 sujets ayant reçu un diagnostic de démence ont été suivis par les scientifiques. Parmi eux, 19 % souffraient de démence vasculaire; or, les chercheurs ont observé des résultats inférieurs aux tests d’intelligence chez ces participants. De plus, il semble que le QI ne joue aucun rôle dans la maladie d’Alzheimer.

Parmi les explications envisagées par le Dr Starr, on note le traumatisme neurologique causé par la démence vasculaire. Il faut donc prévenir les accidents vasculaires en cessant de fumer, en contrôlant son taux de cholestérol et sa pression sanguine.

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Un QI plus élevé grâce au poisson ?

Une recherche publiée récemment dans l’American Journal of Epidemiology annonce que des bambins âgés de trois ans ont obtenu des résultats supérieurs à des tests d’intelligence lorsque leur mère a craqué pour les poissons lors de sa grossesse.

Les chercheurs apportent toutefois un bémol à ces résultats puisque le mercure contenu dans plusieurs produits de la mer semble avoir eu l’effet inverse. Les enfants exposés à cette substance lorsqu’ils étaient dans le ventre de leur mère ont moins bien performé à ces mêmes tests.

Pour la Dre Emily Oken et ses collègues de l’école de médecine de l’Université Harvard, les femmes enceintes ne doivent toutefois pas s’abstenir de consommer du poisson lors de la grossesse en raison du mercure puisque les effets des oméga-3 sur le développement du cerveau sont notables.

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L’allaitement maternel rend-il plus intelligent?

Alors qu’on savait déjà qu’il renforçait le système immunitaire des bébés, voilà que l’allaitement maternel semble favoriser le développement cognitif et l’intelligence des poupons, selon la plus récente recherche menée par le Dr Michael Kramer de l’Université McGill, à Montréal.

Selon le chercheur, le quotient intellectuel des enfants et leur rendement académique sont grandement améliorés à la suite d’un allaitement maternel prolongé.

Pendant six ans et demi, 14 000 enfants ont été suivis pour conduire cette étude, qui est la plus vaste sur le sujet. Le groupe de sujets a été réparti en deux. Le premier était composé de bébés allaités, alors que le second ne l’était pas.

Les chercheurs ont ensuite fait passer aux participants des tests d’intelligence afin de mesurer leur développement cognitif. Les bébés qui avaient été nourris au sein ont obtenu les meilleurs résultats.

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L’allaitement maternel rendrait intelligent

Selon des chercheurs américains et britanniques des universités Duke et King’s College, l’allaitement maternel pourrait augmenter le Q.I. chez certains enfants porteurs d’un gène particulier.

D’après l’étude réalisée sur plus de 3 000 bébés nourris au sein par leur mère, ceux qui possèdent le gène FADS2 pourraient développer un quotient intellectuel d’environ 6,8 points plus élevé que le quotient moyen des autres enfants, et ce,  indépendamment  des facteurs concernant leur vie.

Les travaux ont permis aux chercheurs d’observer que le gène FADS2 avait la particularité d’aider à la transformation de certaines composantes du lait maternel en acides gras. Le cerveau du nouveau-né accumule ces derniers durant les premiers mois de vie.