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Un mauvais sommeil favorise le suicide chez les personnes âgées

C’est une nouvelle étude de l’École de médecine de l’Université Stanford menée auprès de 14 456 adultes de 65 ans et plus qui a démontré les effets néfastes du manque de sommeil. On rapporte que les personnes âgées qui sont bien reposées ont moins de risque de mettre fin à leurs jours que les gens qui ne dorment pas bien.

Les personnes âgées dont le sommeil est fragile ont 1,4 fois plus de risques de commettre l’irréparable, écrit Science World Report.

Ce constat est d’autant plus important que le taux de suicide est justement plus élevé chez les personnes âgées que dans les autres groupes d’âge, selon Rebecca Bernert, principale auteure de l’étude.

Pour en arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont comparé pendant 10 ans la qualité du sommeil de 20 adultes d’âge mûr qui ont mis fin à leurs jours avec les habitudes de sommeil de 400 autres personnes âgées.

Il est également ressorti que la dépression et les troubles de sommeil qui peuvent conduire au suicide étaient des facteurs indépendants, mais que la combinaison des deux était le meilleur prédicateur de risque de suicide.

L’étude parue dans le JAMA Psychiatry conclut donc que des cas de suicide peuvent être évités chez les personnes âgées qui ont un mauvais sommeil, car les problèmes d’insomnie peuvent être traités.

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Le sommeil est crucial pour les gens de plus de 50 ans

Les scientifiques souhaitaient vérifier les conséquences du sommeil en vieillissant par rapport à la démence et la détérioration du système cognitif.

L’étude a commencé en 2007, et les chercheurs ont colligé les données de 6 nations à revenu moyen pour un total de 30 000 sujets, informe Science World Report.

Au terme de l’analyse, il se trouve que les personnes de 50 ans et plus qui dorment de 6 à 9 heures par nuit démontrent de meilleures habiletés cognitives. Ainsi, dans le futur, les chercheurs espèrent prévenir la démence en améliorant le sommeil des personnes présentant des symptômes.

« Nos résultats présentent une évidence incontestable de l’importance du sommeil », explique Theresa E. Gildner, auteure principale du projet et étudiante au doctorat dans le département d’anthropologie de l’Université de l’Oregon.

Les données se sont concentrées principalement chez les gens de la Chine, du Ghana, de l’Inde, du Mexique, de la Russie et de l’Afrique du Sud.

« Dans les 6 pays, malgré la grande différence culturelle, économique et environnementale, les profils qui émergeaient étaient très similaires », rapporte Gildner.

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La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.

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L’ambition pourrait bien rallonger votre vie

Êtes-vous du type ambitieux? Il serait peut-être temps de s’y mettre, puisqu’une nouvelle étude vante les mérites de l’ambition sur la durée de vie moyenne.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, estime que la qualité permettrait d’espérer une plus grande longévité, et que les personnes qui n’ont pas vraiment de but dans la vie sont possiblement désavantagées.

Créée par des chercheurs canadiens et américains, la recherche analysait 7000 adultes âgés de 20 à 75 ans. Ces derniers devaient répondre à des questions de profilage et se soumettre à des tests physiques. Ne restait plus qu’à attendre quatorze ans pour vérifier la théorie…

Près de quinze ans plus tard, donc, les chercheurs ont pu confirmer que les sujets se projetant dans l’avenir et aux buts et rêves bien arrêtés avaient vraisemblablement une durée de vie plus longue, ou pouvait à tout le moins l’espérer.

« C’est vraiment bénéfique de laisser ses objectifs diriger sa vie de tous les jours », tranche le Dr Patrick Hill de l’Université Carleton.

Les observations des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Santé : Les assurances privées laissent les consommateurs sur leur faim

Plusieurs consommateurs et clients qui souscrivent à des régimes d’assurances privés en santé, que ce soit de façon personnelle ou via l’employeur, commencent à décrier le faible rapport qualité-prix observable depuis un bon moment.

Plus chères et moins généreuses, plusieurs polices d’assurance laissent les consommateurs sur leur faim, alors que ceux-ci découvrent souvent sur le tard qu’ils ne sont pas couverts pour un traitement ou besoin spécifique.

À quoi bon souscrire et payer des sommes respectables mensuellement si on ne gagne pas de tranquillité d’esprit au final? Voilà la question qui se pose.

C’est Le Devoir qui lance le débat, en rapportant l’étude et l’analyse d’un chercheur de l’Université de Colombie-Britannique, Michael Law. Ce dernier a calculé la différence observable entre les cotisations moyennes et le retour sur l’investissement d’un consommateur en soins de santé, et ce, au cours des 20 dernières années.

En 1994, le client moyen voyait sa police d’assurance privée lui remettre 92 % de ses cotisations sous forme de couverture et de soins de santé, alors que la moyenne actuelle ne se situerait qu’autour de 74 %.

« Imaginez si seulement 74 % de l’argent du ministère de la Santé servait à donner des soins de santé. Les gens descendraient dans la rue pour protester », croit Michael Law.

On estime à 4,4 milliards de dollars l’argent investi par les Canadiens dans des régimes d’assurance maladie privés sans aucun retour sous forme de soins.

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Neil Young et sa Pono remportent le pari Kickstarter

On vous parlait l’an dernier du plus récent projet de Neil Young, à savoir la création de sa Pono, un nouveau lecteur musical qu’il comptait lancer sur le marché afin d’améliorer la qualité d’écoute des fans de musique à travers le monde.

Or, le vétéran musicien a semblé s’essouffler dans sa quête de révolutionner l’industrie et l’écoute musicale portable et en ligne, repoussant la date de sortie de sa Pono

De retour plus convaincu que jamais, Neil Young lançait il y a quelques jours une campagne via Kickstarter, un système virtuel de levée de fonds qui vise à encourager et à financer les nouveaux projets et les artistes de la relève, notamment.

Le Rolling Stone rapporte maintenant que, quelques heures à peine après le lancement de sa campagne Kickstarter, Young atteint son objectif de 800 000 $ et devrait donc pouvoir aller de l’avant avec la Pono.

Le chanteur a proposé divers cadeaux pour mousser les dons, mais parions que ses fans auraient voulu contribuer à ce beau projet sans trop d’incitatifs.

Plusieurs artistes, dont Bruce Springsteen, Eddie Vedder, James Taylor, Tom Petty et Sting, sont venus à la défense du projet et ont affirmé la nécessité de voir le système Pono être commercialisé.

Ce dernier promet des chansons de meilleure qualité que celles écoutées en ce moment sur les appareils bien connus, en plus d’un service de streaming en ligne.

Le prix initial du lecteur Pono de Neil Young serait établi à 400 $ (US).

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Les oméga-3 favoriseraient un sommeil de qualité

Alors que l’on ne croyait plus trouver d’avantages aux oméga-3, voilà qu’une nouvelle étude laisse entrevoir la possibilité que la prise de suppléments pourrait aussi favoriser un sommeil de qualité.

Principalement retrouvés dans les poissons et fruits de mer, les oméga-3 sont vantés depuis quelques années pour leurs nombreux bienfaits potentiels sur la santé. L’une de ces propriétés pourrait-elle être un meilleur sommeil?

C’est ce que semblent croire des chercheurs de l’Université d’Oxford, rapporte MedicalNewsToday, qui ont testé la théorie sur des enfants aux prises avec des troubles du sommeil, notamment.

Un groupe de 300 jeunes sujets ont donc été appelés à consommer 600 mg d’oméga-3 sur une période de 16 semaines afin d’évaluer les effets. Les résultats semblent probants, alors que l’on note une moyenne de près d’une heure de sommeil supplémentaire par nuit chez plusieurs enfants.

De plus, les sujets ont démontré un sommeil de plus grande qualité, de moindres mouvements et des nuits plus réparatrices.

D’autres études et recherches sont à venir dans ce dossier qui s’annonce prometteur, notamment pour évaluer si des résultats similaires peuvent être confirmés chez les adultes.

Les résultats de l’étude d’Oxford ont été publiés dans le Journal of Sleep Research.