Catégories
Uncategorized

Les enfants qui survivent au cancer ont des effets secondaires tardifs

Les avancées médicales tentent d’aider le plus d’enfants possible atteints du cancer à survivre et à mener une vie en santé. Cependant, des données fournies par des chercheurs de l’University of Florida Health confirment que survivre à un cancer infantile n’apporte pas que de bonnes nouvelles.

Après étude, rapporte Science World Report, c’est 70 % des survivants qui se retrouvent avec des effets secondaires néfastes 30 ans plus tard.

« La prévalence de ces symptômes est primordiale dans l’écart de la qualité de vie physique, mentale et sociale chez les survivants, » mentionne I-Chan Huang, auteur de la recherche. « En comprenant que ces symptômes sont la clé de la qualité de vie chez les patients, nous pouvons améliorer leur sort en diminuant ces effets à long terme. »

En tout, 1667 survivants à des cancers pendant l’enfance ont participé à l’étude. L’exposition à la toxicité reliée aux traitements du cancer a été mesurée, puis un questionnaire sur la qualité de vie des survivants leur a été soumis. Près de 70 % d’entre eux vivaient avec au moins un symptôme découlant du traitement de chimiothérapie, même 40 ans après celui-ci.

Le détail complet de l’étude se retrouve dans la revue Journal of Clinical Oncology.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Le palmarès 2012 des villes selon la qualité de vie

La firme Mercer a encore une fois cette année évalué de nombreuses villes du monde selon la qualité de vie de leurs habitants. Des critères très diversifiés ont ainsi été considérés pour chacune de ces villes, incluant l’économie, le côté social, les loisirs et l’environnement.

L’Europe est le continent à privilégier si vous souhaitez miser sur la qualité de vie : 15 des villes du top 25 y sont situées. Les pays germanophones y sont particulièrement bien représentés et, malgré le climat de crise, savent tirer leur épingle du jeu, a commenté le Routard.

La ville de Vienne, en Autriche, obtient le très convoité premier rang. Elle est suivie par Zurich en Suisse, puis par Auckland en Nouvelle-Zélande.

Les autres villes du top 10 sont les suivantes, dans l’ordre : Munich en Allemagne, Vancouver au Canada, Düsseldorf puis Francfort, toutes deux en Allemagne, Copenhague au Danemark, et ex aequo, Berne en Suisse et Sydney en Australie.

Montréal se classe au 23e rang. Paris est quant à elle au 29e, Londres est au 38e, New York au 44e et Tokyo au 45e.

Parmi les villes les moins bien classées, on retrouve Khartoum, Port-au-Prince et Bagdad.

Catégories
Uncategorized

Les lésions cérébrales traumatiques légères détériorent la qualité de vie des enfants

Céphalées, fatigue, troubles cognitifs et plaintes cognitives, comme l’oubli et l’inattention, sont des symptômes qui peuvent suivre une commotion cérébrale.

Les enfants ayant subi une lésion cérébrale traumatique légère (TCC) sont plus à risque de devoir vivre avec ces problèmes de santé que les enfants en bonne santé ou ceux qui éprouvent une blessure orthopédique.

Une étude publiée dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine confirme que la gravité des blessures peut jouer un rôle important à court terme sur la santé de l’enfant.

Keith O. Yeates, directeur des services de santé du comportement à l’Hôpital pour enfants de Nationwide et coauteur de l’étude, déclare qu’il est important de cibler efficacement les enfants atteints d’une TCC pour leur offrir les soins appropriés.

C’est en comparant les tests neurocomportementaux, les symptômes, les commentaires des parents au sujet du comportement de leur enfant avant l’accident et les estimations du changement des jeunes de 8 à 15 ans qui ont été admis à l’hôpital de Nationwide et de Cleveland que les experts ont pu déterminer que ceux qui sont atteints d’une TCC légère sont plus susceptibles d’afficher des augmentations des symptômes cognitifs et somatiques.

Des recherches supplémentaires devront être faites à ce sujet, mais il a été prouvé que le fonctionnement quotidien des enfants atteints d’une TCC peut être brimé.

Catégories
Uncategorized

Favoriser le discours intérieur des enfants autistes

De nouvelles recherches publiées dans la revue Development and Psychopathology indiquent que la plupart des enfants apprennent à résoudre des problèmes en parlant à voix haute, mais à mesure qu’ils vieillissent, ils parlent davantage dans leur tête.

Bien que les individus atteints d’autisme détiennent cette même capacité, ils l’utilisent rarement. Les résultats suggèrent que les enfants autistes oublient de se parler intérieurement, s’ils ne parlent pas à voix haute.

L’enseignement à utiliser davantage le soi-disant « discours intérieur » pourrait faire une grande différence pour eux à long terme, pensent les spécialistes.

C’est dans le but de mesurer leur capacité de planification que des chercheurs britanniques ont fait répéter à voix haute des mots banals comme « mardi » ou « jeudi », durant toute la réalisation d’une tâche, à un groupe de personnes autistes et à un autre groupe sans problèmes neuraux.

Il s’est avéré que 90 % des gens ordinaires ont été grandement distraits avec l’idée de répéter un mot constamment, et leur tâche a été nettement moins bien accomplie. Quant aux gens autistes, ils n’ont rencontré aucune difficulté à bien réaliser la tâche demandée.

Catégories
Uncategorized

Surdité chez l’enfant : une double opération améliore la qualité de vie

L’implant cochléaire est un implant électronique qui vise à restaurer un certain niveau d’audition pour certaines personnes sourdes.

Un rapport publié en ligne par les Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery
révèle que les enfants avec des implants cochléaires bilatéraux ont une meilleure perception de la parole et de la localisation sonore, lorsqu’ils sont dans un environnement bruyant, que ceux qui n’ont qu’un seul implant.

De plus, l’étude démontre que cette perception s’améliore lorsque l’implantation du double implant se fait séparément et à un âge différent.

Sur 39 enfants, 9 avaient besoin d’un seul implant, tandis que les 30 autres ont eu droit à une première intervention vers l’âge d’un an et une deuxième vers l’âge de 5 ans.

Les questionnaires précis ont révélé que, comparativement aux enfants avec un seul implant, la qualité de vie de ceux avec des implants bilatéraux a continué à s’améliorer à plus long terme.

Catégories
Uncategorized

Belles dents pour maman, belles dents pour bébé!

On lit sur Medscape les résultats d’une étude ayant porté sur l’influence que peut avoir la santé dentaire de la mère sur celle de son enfant et sur différents aspects de la qualité de vie s’y rattachant.

L’étude regroupait 827 participants âgés de 32 ans; les mères de certains avaient été questionnées quant à leurs habitudes bucco-dentaires lorsque leur enfant avait 5 ans.

Il s’est avéré que lorsqu’il y avait des effets quant à la santé dentaire de la mère, ceux-ci se projetaient jusqu’à près de 30 ans plus tard, pour son enfant. En fait, les participants dont la mère n’avait pas de bonnes habitudes avaient une moins bonne qualité de vie en lien avec leur santé bucco-dentaire.

En général, la santé dentaire de la mère et les habitudes y étant reliées semblent avoir une influence sur celles de l’enfant. Une intervention en bas âge s’annonce donc nécessaire, même si dans certains cas, on croit que ce serait trop peu, trop tard.

Catégories
Uncategorized

L’Internet affecte la qualité de vie

Le BMC Psychiatry indique que les jeux de rôles en ligne peuvent dégrader la qualité de vie d’une personne.
 
L’étude française a suivi 448 personnes, dont 27,5 % étaient dépendantes aux jeux en ligne. Ces dernières pouvaient jouer en moyenne 37 heures par semaine.
 
Les jeux les plus dangereux seraient ceux en réseau, alors que la partie se poursuit même si un joueur se déconnecte. Certaines personnes refusent alors de se débrancher, de peur de manquer plusieurs événements, et jouent donc jour et nuit.
 
Avec l’augmentation croissante des jeux en ligne, il y a donc un appel à une prudence accrue.
 
Les personnes dépendantes développent une irritabilité, de la tristesse, de la somnolence, des troubles sociaux et des problèmes familiaux. Elles n’ont que peu de contacts avec des amis et font beaucoup moins d’autres activités.
 
Avec le temps, la santé physique et psychologique se dégrade.
 
Catégories
Uncategorized

Le coût des soins de santé : une menace pour les Canadiens?

Si la vie des Canadiens s’est grandement améliorée depuis 30 ans, la hausse des coûts des soins de santé pourrait bien renverser la vapeur.
 
Selon un rapport du Centre d’étude des niveaux de vie, les Canadiens ont acquis une plus grande richesse et un plus grand pouvoir de consommation depuis 1981.
 
Toutefois, cette forte croissance est maintenant freinée, car il y a trop d’inégalités, et la sécurité économique des gens est remise en cause.
 
Bien que les risques financiers liés à la maladie sont moins importants au Canada en raison du système universel, il n’en reste pas moins que les dépenses privées ont doublé en pourcentage du revenu disponible.
 
« Des dépenses privées en hausse pour les soins de santé — engendrées par une piètre santé — représentent donc un fardeau financier croissant pour les foyers canadiens à faible revenu », expliquent les chercheurs.
 
Les soins de santé pourraient donc devenir un gros problème dans les années à venir.
 
Catégories
Uncategorized

Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

Catégories
Uncategorized

Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.