Une étude de la Baylor University met en lumière certaines répercussions du trouble déficitaire de l’attention d’un enfant sur les autres membres de la famille.
Il semble que plus le trouble est sévère, plus les impacts sur la qualité de vie de l’enfant comme du parent seront importants.
Qui plus est, après comparaison entre des enfants atteints de TDAH, il semble que ceux qui sont suivis en pédiatrie courante connaissent une meilleure santé générale, une meilleure qualité de vie et une meilleure situation familiale que ceux suivis en psychiatrie.
Les chercheurs soutiennent donc qu’il est tout aussi important, dans le cas d’un trouble déficitaire de l’attention, d’évaluer la routine de l’enfant que celle du parent, afin de faire en sorte que la qualité de vie de chacun en soit le moins affectée possible.
Cette étude parue dans le Journal of Attention Disorders a porté sur près de 200 familles.