En fait, les enfants les plus actifs sur une période de cinq ans ont eu de meilleurs résultats physiques et sociaux lors d’un test spécifique mené par des pédiatres.
Les résultats de ce test pourraient donner de bonnes pistes afin de développer des programmes d’intervention pour promouvoir le bien-être des jeunes.
« Ces découvertes réaffirment la nécessité d’avoir une politique de santé publique et des interventions qui favorisent moins de temps devant l’écran et plus de temps d’activité physique, ce qui aurait une influence bénéfique non seulement sur le poids et la santé physique, mais aussi sur le bien-être général à l’adolescence et au-delà », explique le coauteur de la recherche de l’Université de Sydney, Paul Mitchell.
L’activité physique a également des effets positifs sur la pression sanguine et la graisse corporelle. Conséquemment, les enfants qui font moins d’exercice sont plus susceptibles de développer des problèmes psychosociaux comme des comportements violents, par exemple.
Rappelons aussi que des spécialistes suggèrent que d’être plus actif physiquement est positivement lié à une meilleure performance scolaire chez les enfants.