Chaque pays a ses règlements, mais bien des pays reconnaissent deux termes dans les dates d’expirations, soit le « meilleur avant » et le « expire le ».
Bien que la majorité des gens ne consommeront pas des aliments dits « passés date », le Betterhealth rappelle que la date suivant la mention « meilleur avant » ne pose pas de problème pour la santé.
En général, cette date signifie que l’on garantit la fraîcheur et la qualité avant cette date, qu’au-delà, la qualité et les valeurs nutritives vont se détériorer peu à peu, mais cela n’est pas nocif pour la santé. Libre au à chacun de le consommer ou non. Toutefois, dans ce cas, il faut faire appel au bon sens. Un aliment qui a une drôle d’odeur, qui a changé de goût ou d’apparence ne devrait pas être consommé.
Par contre, pour la date suivant la mention « expire le », si le produit est consommé après cette date, il peut causer des problèmes de santé. Il est même interdit de vendre des produits expirés. Cela s’applique souvent aux produits instables comme les viandes et fromages.
Les travaux menés par le Dr Gil Kaplan et son équipe de l’Université de Calgary ont démontré qu’il existe un lien significatif entre la pollution de l’air et le risque d’appendicite.
En observant 5 000 adultes ayant subi une appendicectomie à Calgary entre 1999 et 2006, le chercheur conclut que cette inflammation de l’appendice est en hausse dans les pays industrialisés comme le Canada, les États-Unis et le Royaume-Uni depuis plus de 100 ans.
En effet, environ une personne sur 12 au pays devra subir l’ablation chirurgicale de son appendice au cours de sa vie.
Le Dr Kaplan a aussi conclu que l’amélioration de la qualité de l’air ne pourrait que contribuer à prévenir certains cas d’appendicite.
Une enquête commandée par l’Association pulmonaire du Canada dévoile que 62 % des Canadiens asthmatiques souffrent de plus en plus des complications de leur maladie respiratoire, particulièrement lors des journées de smog.
Si la majorité d’entre eux évitent d’aller à l’extérieur lorsque la qualité de l’air est mauvaise, bien peu connaissent un moyen pour améliorer leur santé respiratoire.
« Le lien qui existe entre l’air pollué et l’asthme est souvent sous-estimé. Une exposition de courte durée à l’ozone – principal ingrédient du smog – peut aggraver des affections pulmonaires, causer des maux et nécessiter une hospitalisation. L’exposition chronique à l’ozone peut causer le décès prématuré chez les personnes atteintes de maladies respiratoires ou cardiaques », a noté Carmelle Mulaire, présidente du conseil d’administration de l’Association pulmonaire.