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Quelle quantité de café contre l’insuffisance cardiaque?

Une nouvelle étude effectuée auprès de 140 000 personnes s’est penchée sur la quantité de café nécessaire pour retirer les bénéfices santé de cette boisson, surtout contre l’insuffisance cardiaque.
 
Selon les résultats parus dans la revue Circulation, la question est complexe, mais au-delà de quatre tasses par jour, les bénéfices commencent à s’annuler.
 
« Nos résultats montrent un bénéfice possible, mais comme pour toutes choses, cela dépend de la quantité de café consommée. Et par rapport à l’absence totale de consommation, la meilleure protection apportée correspond à la consommation de 4 cafés “européens” ou 2 grands cafés américains », explique l’auteure principale de la recherche, la professeure Elizabeth Mostofsky.
 
Ainsi, il est préférable de se limiter à quatre tasses de café quotidiennement, car à ce niveau, les bénéfices contre l’insuffisance cardiaque commencent à plafonner, et au-delà, ils diminuent.
 
Les chercheurs ne peuvent pas encore expliquer comment le café peut aider à prévenir l’insuffisance cardiaque, mais ils savent qu’il influence deux des facteurs de l’insuffisance cardiaque, le diabète et l’hypertension.
 
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Bien manger rime avec qualité et non quantité

Selon les statistiques, 10 % des enfants québécois âgés de quatre ans font de l’embonpoint, alors que 4 % sont obèses.

Pour la première fois dans la province, une étude permet de voir que ce ne sont pas tous les parents d’enfants d’âge préscolaire qui perçoivent correctement ce que signifie une saine alimentation.

Parmi les parents des 1257 familles interrogées, 40,8 % croient que bien manger rime avec alimentation saine, alors que 31,4 % croient que cela consiste en la variété, et 23,5 % en l’aspect visuel de l’assiette.

Selon Stéphanie Pernice de l’Université de Montréal, nutritionniste et auteure de l’étude, le parent joue un rôle primordial dans l’influence alimentaire des petits. Ces derniers développent d’ailleurs leur comportement et intérêt alimentaire pour le futur jusqu’à l’âge de trois ans.

Au journal La Presse, Mme Pernice a conseillé aux parents d’offrir des aliments sains à leurs enfants, mais de les laisser choisir la quantité à manger.

« À long terme, ça fait des enfants qui ont une alimentation plus variée et une relation plus saine avec les aliments que si on met de la pression », dit-elle.

Parmi les trucs dévoilés par les parents sondés pour que leur enfant mange mieux, la nutritionniste trouve intéressant le fait que 71 % des familles partagent des discussions plaisantes à table, que 40,4 % mangent en famille, que 30,4 % n’ouvrent pas la télévision, que 22,9 % misent sur l’ambiance, et que le quart des parents font participer leurs enfants à la préparation des repas.

Selon la professionnelle, ces points sont beaucoup plus stratégiques que les astuces qui forcent les enfants à manger, comme le camouflage de légumes ou le chantage avec le dessert.

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Fertilité : des rapports sexuels le matin ou le soir?

Il semblerait qu’après une bonne nuit de sommeil, le nombre de spermatozoïdes chez l’homme soit effectivement légèrement plus élevé qu’au coucher.

Toutefois, selon Serena Chen, une spécialiste en fertilité au Centre médical Saint Barnabas, la différence de cellules mâles n’est pas assez flagrante pour prouver que le matin est une meilleure période pour procréer.

« Bien sûr que la quantité de sperme, tant qu’il est en santé et se rend à l’utérus pendant la période d’ovulation, n’est pas à négliger quand on veut calculer les chances de succès pour qu’une femme tombe enceinte. Cependant, la différence entre le nombre de spermatozoïdes libérés le matin ou à une autre période de la journée est si minime que cela ne peut pas augmenter les chances de fertilité », explique l’experte.

Chen conseille donc plutôt aux femmes de calculer leur période d’ovulation, selon la durée de leur cycle menstruel, pour maximiser leurs chances de succès.

Elle ajoute que les couples doivent avoir avant tout du plaisir et être détendus lors des rapports sexuels. Selon elle, ces conditions combinées risquent d’être encore plus concluantes que la période de la journée.

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Les chaînes de restauration rapide ne réduisent pas assez leur quantité de sel

Une étude internationale dévoile que d’un pays à l’autre, les chaînes de restauration rapide n’utilisent pas les mêmes quantités de sel. De plus, les résultats démontrent que les efforts des compagnies pour réduire le sel de leurs aliments ne sont pas suffisants.
 
2124 aliments vendus dans les Burger King, Domino’s Pizza, PFK, McDonald’s, Pizza Hut et Subway ont été analysés par des équipes australiennes, américaines, britanniques, allemandes, canadiennes et néo-zélandaises.
 
On constate qu’au Canada et aux États-Unis, les mêmes aliments sont beaucoup plus salés qu’au Royaume-Uni ou en France, rapporte le Journal de l’Association médicale canadienne.
 
« Ces niveaux élevés indiquent l’échec de l’approche actuelle du gouvernement qui laisse la réduction de la quantité de sel entre les mains des restaurateurs. Les programmes de réduction du sel doivent guider l’industrie de la restauration rapide et doivent être supervisés par des objectifs et des échéanciers », affirme le Dr Norman Campbell de l’Université de Calgary.
 
Les réglementations devraient donc être changées, et une supervision accrue serait de mise.
 
Une trop grande consommation de sel est liée à l’hypertension et aux maladies cardio-vasculaires. Les experts croient qu’en réduisant la quantité de sel de l’alimentation, on réduirait du même coup le nombre de décès.
 
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Le sommeil des enfants, jamais assez?

Des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que les enfants n’atteignent jamais la quantité de sommeil recommandée pour leur âge, et ce, depuis toujours.

L’équipe a analysé 246 études s’étendant sur plus d’un siècle et portant sur les changements dans les recommandations de sommeil des petits et sur leurs habitudes réelles. Les résultats ont été publiés dans le Pediatrics.

Ils ont trouvé que la quantité de sommeil recommandée pour les enfants avait baissé avec les années, encore plus significativement pour les nourrissons, les 4 à 8 ans et les 14-15 ans. En même temps, et presque au même rythme, le temps de sommeil réel avait aussi diminué au fil des ans, perdant environ 70 minutes au cours du 20e siècle.

Selon Lisa Anne Matricciani et ses collègues de l’Université de l’Australie du Sud à Adélaïde, les recommandations d’heures de sommeil pour les enfants de tous les groupes d’âge ont toujours excédé ce qui était rapporté comme quantité de sommeil réelle observée chez les petits.

Que les enfants profitent d’une bonne quantité de sommeil a toujours été une préoccupation pour tous, alors que l’on craint depuis longtemps que les stimulations de la vie moderne affectent négativement les plus jeunes. Comme la lecture et la radio étaient pointées du doigt à une autre époque, la télévision et l’Internet sont les coupables tout désignés aujourd’hui.

Malgré le fait que le manque de sommeil chez les enfants est associé à une série de conséquences néfastes, les chercheurs ont précisé que la relation entre la quantité de sommeil et ces effets ou encore les mécanismes menant à des résultats négatifs ne sont pas encore bien compris.

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Le besoin de peu de sommeil expliqué par un gène

Ce n’est pas seulement une question d’habitude, mais un gène pourrait faire en sorte qu’une personne demeure concentrée sur ses activités malgré le fait qu’elle a dormi seulement quatre heures.
 
L’équipe de l’Université Ludwig-Maximilians a trouvé que le gène ABCC 9 réduisait la durée du sommeil, mais était également lié aux maladies cardiaques et au diabète.
 
L’étude a été faite sur 4000 personnes dans sept pays de l’Union européenne.
 
Ce gène explique donc pourquoi une personne n’a pas besoin de beaucoup de sommeil pour reprendre ses activités normalement.
 
On croit que ce gène est également présent chez d’autres espèces vivantes, notamment chez les mouches, qui seraient également affectées dans leur quantité de sommeil si elles le possèdent.
 
Des études plus approfondies vont être faites sur le sujet prochainement.
 
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Les rides aideraient à prédire les risques de fracture

Selon une équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l’Université Yale, la quantité et la profondeur des rides d’une femme pourraient aider à prédire les risques de fracture auxquels elle s’expose.
 
Selon eux, le niveau de protéine dans la peau est lié à celui que l’on retrouve dans les os. Ainsi, une femme avec beaucoup de rides profondes aurait plus de risques de fracture en raison de la perte de densité osseuse.
 
Pour en arriver à ces résultats, on a examiné 114 femmes ménopausées en se concentrant sur 11 points du visage pour évaluer les rides, en plus de mesurer la densité osseuse avec des échographies et des radiographies.
 
« Nous avons découvert que lorsque les rides devenaient plus nombreuses et plus profondes, c’était lié à une perte de densité osseuse chez les participantes à l’étude », mentionne la professeure Ludna Pal qui a dirigé les travaux.
 
Le communiqué émis par l’Université mentionne que cette découverte pourrait éviter à bien des femmes de se soumettre à des tests médicaux coûteux pour prédire leur risque de fracture. Une simple observation de leur visage et leur cou pourrait suffire.
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Les enfants peuvent évaluer la quantité

Des chercheurs de l’Université du Missouri ont fait une découverte des plus surprenante sur les capacités des tout jeunes bébés, peut-on lire sur Science Daily

Dès l’âge de 10 mois, un jeune enfant serait en mesure d’évaluer la quantité d’une substance, aussi difficile soit-elle à mesurer visuellement que de l’eau, des céréales ou du sable.

Le bébé est donc en mesure de faire un choix éclairé et il optera pour la plus grande quantité, particulièrement lorsqu’il s’agit de nourriture.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont proposé aux enfants deux contenants opaques. L’un d’eux contenait une petite quantité de nourriture et l’autre en contenait une grande.

Chaque fois, les enfants ont choisi la plus grande quantité, tant que la différence entre les deux était considérable.

La présente étude contredit donc les 15 années de recherche passées et la croyance populaire voulant que les bébés ne comprennent aucunement le monde qui les entoure.