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Un questionnaire simple pour détecter la dépression chez l’adolescent

Quelques minutes à peine pour aider le praticien à déterminer si l’adolescent en face de lui nécessite un réacheminement vers un spécialiste.

L’étude a été réalisée par Sharolyne Dihigo et ses collègues de l’UT Arlington College of Nursing. Ils ont examiné 14 recherches pour déterminer les questions à inclure dans le formulaire, afin que celui-ci soit représentatif et efficace.

« Voir à ce que les adolescents aient le traitement dont ils ont besoin a le potentiel de sauver des vies », explique Dihigo, directrice par intérim du programme de soins infirmiers.

Le formulaire de 20 questions permet aux jeunes de contourner les difficultés et l’hésitation associées à « l’expression de leurs émotions et comportements liés à la dépression ».

Dre Dihigo a donc trouvé une façon très peu coûteuse pour le système de santé pour évaluer l’état mental des adolescents. Elle met celui-ci en pratique à l’heure actuelle dans sa propre clinique pour appuyer son étude.

Il est estimé, selon Medical News Today, que 5 à 20 % des adolescents souffrent de la dépression, mais ne reçoivent pas les traitements appropriés.

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Un questionnaire bienveillant sur l’autisme

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de la Caroline du Nord ont réalisé un questionnaire en 63 points qui permet aux parents d’enfants à risque d’autisme ou à ceux qui ont un doute d’anticiper la probable réalité de la maladie en répondant à des questions ciblées.

Parmi les parents de 699 enfants qui ont participé au questionnaire, 31 % des enfants identifiés comme à risque de troubles du spectre autistique (TSA) à 12 mois ont reçu un diagnostic confirmé de TSA à l’âge de 3 ans.

De plus, il a été révélé que 85 % des enfants jugés à risque de TSA en fonction des résultats obtenus dans le questionnaire avaient un autre genre de trouble du développement ou incapacité que le TSA à l’âge de trois ans, a déclaré Grace Baranek, auteure principale de l’étude.

En résumé, les résultats indiquent que la majorité des enfants qui répondaient « positivement » aux résultats du questionnaire étaient victimes d’un problème ou retard dans leur développement vers l’âge de trois ans.

Pour les chercheurs, cela signifie qu’une intervention précoce avec des services spécialisés pourrait être facilement effectuée sur un public cible à risque, dès l’âge d’un an. Le questionnaire pourrait ainsi devenir, dans plusieurs cas, un outil préventif, facile et encourageant pour poser un « autodiagnostic ».

Cette étude a été réalisée dans le cadre du Program For Early Autism, Research, Leadership and Service (PEARLS) du département Allied Health Sciences à l’École de médecine de l’Université de la Caroline du Nord, rapporte le Science Daily.