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Un régime équilibré pour un meilleur QI

Les chercheurs ont observé le lien entre les habitudes alimentaires des bébés et leur QI à l’âge de huit ans pour en venir à ce résultat, publié en ligne dans l’European Journal of Epidemiology.

« Nous avons découvert que les enfants qui étaient nourris au sein à six mois et avaient un régime sain qui comportait régulièrement des légumineuses, du fromage, des fruits et des légumes à 15 et 24 mois avaient un QI plus haut de 2 points à l’âge de huit ans », explique la docteure responsable de cette recherche, Lisa Smithers.

De plus, les experts ont découvert que les préparations pour bébé données à six mois avaient un impact négatif sur le nourrisson, tandis que celles données à 24 mois pouvaient être bénéfiques.

« Il est important de considérer l’impact à long terme de la nourriture que nous donnons à nos enfants », ajoute-t-elle.

Rappelons qu’il n’y a pas que l’alimentation du bébé qui influe sur son QI. Quoique rare chez les enfants, l’apnée du sommeil peut nuire au QI de ces derniers et augmenter les risques d’hyperactivité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Le QI relié à l’usage des drogues

Selon une recherche ayant porté sur 8000 participants, on pourrait faire un lien entre l’usage des drogues et le quotient intellectuel. Il semble qu’un fort QI durant l’enfance entre en corrélation avec une plus grande vulnérabilité aux drogues illégales plus tard dans la vie.

Cette étude longitudinale met aussi en lumière que les femmes seraient encore plus touchées par ce phénomène, ajoute-t-on sur Medical News Today.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont évalué le quotient intellectuel des sujets lorsqu’ils avaient de 5 à 10 ans. Par la suite, des renseignements portant sur la consommation de drogue et la détresse psychologique ont été recueillis à 16 ans, puis à 30 ans.

Les drogues dont il est question ici incluent le cannabis, la cocaïne, le LSD, l’héroïne, les tranquillisants et les méthamphétamines.

Il s’est avéré que les hommes qui avaient un QI élevé à l’âge de 5 ans avaient été 50 % plus enclins à consommer certaines drogues à 30 ans. Chez les femmes, celles qui avaient un QI élevé au même âge se sont retrouvées deux fois plus vulnérables quant à la consommation de cocaïne et de cannabis.

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Intelligence et curiosité

Une récente étude parue dans Psychological Science remet en cause notre perception de l’intelligence. Selon des chercheurs, la curiosité serait plus liée à la réussite scolaire que le quotient intellectuel lui-même.

On expliquerait ainsi pourquoi un enfant brillant peut avoir de mauvaises notes à l’école, alors qu’un élève avec un plus faible quotient intellectuel peut avoir d’excellents résultats scolaires.

D’autres facteurs psychologiques – ici, surtout la curiosité – entreraient en ligne de compte quant à la réussite scolaire. Aussi, un enfant qui est plus assidu dans ses devoirs aura plus tendance à performer; la rigueur semble donc aussi importante que les capacités intellectuelles.

Les chercheurs soulèvent surtout l’importance de la curiosité intellectuelle et de la conscience. En ayant ces traits de personnalité, on est plus porté à lire des livres, de même qu’à voyager et à goûter de nouvelles choses.

Pour tirer ces conclusions, on a revu près de 200 études, lesquelles regroupaient environ 50 000 élèves.

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L’alimentation reliée au QI à trois ans

Il semble que l’alimentation de l’enfant a un impact important sur son intelligence. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de Bristol en Angleterre.

Les résultats de cette étude réalisée sur 4 000 enfants portent à croire que les petits qui ont une alimentation riche en gras, en sucre et en nourriture transformée vers l’âge de trois ans accusent une baisse de quotient intellectuel un peu plus tard.

À l’inverse, les participants qui avaient une alimentation santé, composée de pâtes, de salades, de fruits et de légumes en grande partie, ont eu des résultats plus élevés aux tests d’intelligence de la recherche.

Ainsi, les enfants qui avaient une alimentation plus pauvre démontraient une baisse de QI de 1,67 point à l’âge de 8 ans et demi. Ceux qui avaient une alimentation plus saine avaient un gain de 1,20 point dans leur QI au même âge lors des mêmes tests.

Selon les chercheurs, l’association entre l’alimentation d’un enfant à trois ans et son intelligence future pourrait s’expliquer facilement. En effet,  la croissance du cerveau est la plus rapide de l’existence durant les trois premières années de vie.

Des études antérieures ont démontré que la croissance de la tête lors de cette période avait des impacts cognitifs. Il est donc possible qu’une alimentation saine durant cette période puisse soutenir le développement optimal du cerveau.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans la revue en ligne Journal of Epidemiology and Community Health.

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Les enfants négligés auront un QI plus faible

Les enfants qui sont ou qui ont été victimes de sévices courent plus de risques de connaître des échecs scolaires.

C’est la conclusion d’une étude de l’Université du Queensland en Australie, parue dans Pediatrics, qui a porté sur 7 000 mères et leurs enfants nés entre 1981 et 1983.

Les chercheurs ont dû se servir de données confidentielles de rapports de sévices ou de négligence parentale pour arriver à leurs résultats.

Une fois que les 3 796 enfants sont devenus adolescents (14 ans), ils ont été évalués quant à leurs capacités de lecture, de raisonnement abstrait et d’aptitudes mathématiques.

Les 298 adolescents dont on avait rapporté des sévices ou de la négligence, soit 7,9 % des participants, avaient en moyenne 3 points de moins à leur test de QI que ceux qui n’en avaient pas souffert.

Cette étude met donc en lumière, une fois de plus, les graves répercussions de la maltraitance vécue par certains enfants.

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Une bonne nouvelle pour les mamans épileptiques

Les résultats d’une étude attendue sur les effets de certains médicaments pris par les mères épileptiques sont très rassurants, pouvons-nous lire dans Neurology.

Des médicaments tels que la carbamazépine, la lamotrigine ou la phénytoïne ne causent aucun effet sur le QI du bébé lorsque la maman allaite.

Des chercheurs de l’Université Emory à Atlanta ont suivi 194 patientes épileptiques qui devaient prendre des médicaments pour empêcher leurs crises.

Sur les 199 bébés conçus par ces femmes, 42 % étaient allaités. Trois ans plus tard, des tests de quotient intellectuel ont été passés par tous ces enfants.

La différence était si mince que l’on peut la qualifier d’inexistante. En effet, le QI des enfants allaités était de 99 en moyenne, alors que celui des autres était de 98.

Toutefois, ceux dont la mère prenait du valporate, qu’ils aient été allaités ou non, avaient un QI plus faible.

L’Académie américaine de neurologie recommande donc d’éviter ce médicament durant la grossesse, pour cause de dommages aux capacités cognitives et d’autres problèmes de naissance.

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Plus on est intelligent, moins on est suicidaire

Un quotient intellectuel (QI) faible augmente les risques de tentative de suicide, selon des chercheurs britanniques et australiens.
 
L’étude effectuée sur 1,1 million de jeunes Suédois et parue dans le British Medical Journal démontre que plus les gens sont intelligents, moins ils risquent de tenter de s’enlever la vie.
 
Ces résultats ont été recueillis sur 24 ans lors de tests médicaux sur de jeunes hommes avant leur service militaire. Ceux-ci ont été comparés avec les données d’hospitalisations pour des tentatives de suicide.
 
Les hommes avec un faible QI sont neuf fois plus susceptibles de faire une tentative de suicide que ceux ayant une intelligence plus élevée.
 
À noter que les femmes ne sont pas incluses dans cette recherche et que cela ne touche pas non plus les personnes ayant une psychose, comme la schizophrénie, ou gravement maniaco-dépressives.
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Les jeunes fumeurs ont un quotient intellectuel moins élevé

Une nouvelle étude d’une équipe de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, montre que les jeunes hommes qui fument sont moins intelligents que ceux qui n’ont jamais fumé.
 
Pour cette recherche, publiée sur le site d’informations des amis américains de l’établissement, on a étudié 20 000 jeunes Israéliens âgés de 18 à 21 ans. On constate que plus une personne fume, moins son quotient intellectuel (QI) est élevé.
 
De plus, les participants qui avaient un QI moins élevé étaient plus enclins à avoir d’autres dépendances.
 
Le QI d’un jeune homme en bonne santé se situe entre 84 et 116. Or, les gros fumeurs avaient une moyenne de 90, ceux qui fumaient moins obtenaient 94, alors que les non-fumeurs obtenaient une moyenne de 101 au test de QI.
 
« Les personnes qui ont un QI moins élevé ont tendance à prendre de moins bonnes décisions concernant leur santé », mentionne le professeur du département de psychiatrie, Mark Weiser.
 
On souhaite que ces données incitent les gens à mieux éduquer les jeunes face aux différentes dépendances.
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Le tabagisme réduit le quotient intellectuel

Le magazine Addiction révèle qu’une étude israélienne dit que le tabac affecte le quotient intellectuel.
 
L’étude réalisée auprès de 20 000 jeunes soldats dévoile que les fumeurs ont un quotient intellectuel (QI) inférieur aux non-fumeurs.
 
Ainsi, le QI d’un non-fumeur se situe en moyenne à 101 et il était environ de 94 chez les fumeurs.
 
De plus, on constate que plus la consommation de cigarettes augmente, plus le quotient intellectuel diminue. Il est passé de 98 chez ceux fumant d’une à cinq cigarettes par jour, à 90 chez les fumeurs brûlant un paquet quotidiennement.
 
Il est également à noter que lors des examens de fin d’année, les jeunes recrues ne peuvent pas fumer, donc cela aurait pu influencer les résultats des fumeurs durant l’étude, notamment avec les symptômes du sevrage.
 
Avec de tels résultats, on recommande fortement que dans les campagnes antitabac, ce soit les jeunes adolescents au QI moins élevé qui soient les plus ciblés.
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La fessée diminue le quotient intellectuel

Lors de la conférence sur la violence et les traumatismes qui s’est déroulée à San Diego cette semaine, le professeur Murray Straus, de l’Université du New Hampshire aux États-Unis, a déclaré avoir découvert que la fessée diminuait le quotient intellectuel.

Le professeur et son équipe ont étudié 806 enfants âgés de 2 à 4 ans et 704 enfants âgés de 5 à 9 ans. Ces deux groupes devaient passer des tests quatre ans plus tard.

Les résultats démontrent que dans le premier groupe, les enfants n’ayant pas reçu de fessée avaient un quotient intellectuel de 5 points supérieurs à ceux qui avaient reçu le châtiment. Pour les enfants de 5 à 9 ans, ceux qui n’avaient pas été punis avaient un QI de 2,8 points supérieurs à celui des autres.

Les chercheurs mentionnent que plus la fessée est fréquente, plus cela retarde le développement mental de l’enfant. Même limitée, la fessée occasionne des dommages. Cela est dû notamment au grand stress subi lors de la punition corporelle qui augmente le syndrome post-traumatique, comme la peur que des choses terribles puissent arriver.

Heureusement, la correction corporelle étant en baisse dans le monde entier, cela entraînerait donc une augmentation des quotients intellectuels.