Le Dr Finn Rasmussen de l’Institut Karolinska en Suède affirme que plus les hommes ont un quotient intellectuel faible, plus ils risquent de mourir jeunes, même en tenant compte de plusieurs autres facteurs de risque comme l’obésité et le tabagisme.
Afin d’en arriver à ces conclusions, le Dr Rasmussen et son équipe ont analysé 994 262 dossiers médicaux.
Le chercheur avance comme hypothèse que les sujets plus intelligents avaient probablement plus d’années de scolarité et un meilleur emploi, ce qui les rendait plus aptes à prendre soin d’eux, en cessant de fumer par exemple, ou en étant moins sédentaires.
Le risque de mortalité lié au QI diminuait à mesure que les participants de l’étude avançaient en âge.
Tous les détails de l’étude se retrouvent dans la revue scientifique Epidemiology.