Étiquette : racisme

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Steve Martin s’excuse

Plus tôt cette semaine, l’acteur de 68 ans Steve Martin s’est mis le pied dans les plats alors qu’il échangeait avec ses fans sur sa page Twitter. 

La vedette des films de la série The Pink Panther les invitait à lui poser des questions de nature grammaticale. L’un d’eux lui a demandé: « Est-ce ainsi qu’on écrit lasonia? », en parlant du populaire plat de pâtes, la lasagne (lasagna en anglais). Steve Martin a répondu : « Ça dépend, es-tu dans un quartier d’Africains-Américains ou dans un restaurant Italien? ». 

Il n’y avait rien de plus à ajouter pour faire réagir. L’acteur s’est alors vu qualifier de raciste. 

L’acteur s’est expliqué ainsi : « Je savais que ce mot existait. Je ne l’ai pas inventé, ou trouvé le mot drôle. La réponse était donc soit Lasonia avec une majuscule ou Lasagne, tout dépend du sens dont on parle (…) Quand j’ai publié le tweet, j’ai reçu des commentaires négatifs, je l’ai donc immédiatement effacé et je me suis excusé. Je ne voulais pas donner l’impression que je riais des noms africains ou américains. Plus tard, j’ai réalisé que ce commentaire était irresponsable et j’ai fourni les excuses appropriées sur Twitter.» 

Photo : Hyde Park Entertainment

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Steve Martin accusé de racisme

Il devient de plus en plus dur de faire comprendre la différence aux gens entre blague et méchanceté. Steve Martin l’a appris à ses dépens le weekend dernier. Alors qu’il répondait à des questions de fans sur Twitter, une de ses réponses a semé l’indignation de certains.

Alors qu’ils discutaient de l’usage grammatical, un homme a posé la question : « Est-ce comme je l’écris que s’écrit “lasonia”? », en parlant du célèbre plat de pâtes lasagne (qui s’écrit lasagna en anglais).

C’est avec légèreté que l’acteur Steve Martin a répondu : « Ça dépend! Êtes-vous dans un resto afro-américain ou italien? »

Il n’en a pas fallu plus pour causer l’indignation sur la Tweetosphère.

Prenant conscience de la réaction de certaines personnes, le comédien a décidé d’offrir ses excuses en spécifiant qu’il n’avait pas voulu offenser qui que ce soit. Il a aussitôt retiré son tweet.

Apparemment, ce ne fut pas suffisant pour calmer les esprits échauffés. Certains utilisateurs lui ont fait savoir qu’il ne pouvait pas agir comme si ce tweet n’avait jamais existé.

Comme Martin ne pouvait rien faire d’autre que s’excuser, ce qu’il avait déjà fait, il a réitéré son regret pour son manque de jugement.

Heureusement, plusieurs fans sont aussi venus à la défense de l’acteur en disant qu’il fallait cesser de voir du racisme partout.

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Steve Martin accusé de racisme

Il devient de plus en plus dur de faire comprendre la différence aux gens entre blague et méchanceté. Steve Martin l’a appris à ses dépens le weekend dernier. Alors qu’il répondait à des questions de fans sur Twitter, une de ses réponses a semé l’indignation de certains.

Alors qu’ils discutaient de l’usage grammatical, un homme a posé la question : « Est-ce comme je l’écris que s’écrit “lasonia”? », en parlant du célèbre plat de pâtes lasagne (qui s’écrit lasagna en anglais).

C’est avec légèreté que l’acteur Steve Martin a répondu : « Ça dépend! Êtes-vous dans un resto afro-américain ou italien? »

Il n’en a pas fallu plus pour causer l’indignation sur la Tweetosphère.

Prenant conscience de la réaction de certaines personnes, le comédien a décidé d’offrir ses excuses en spécifiant qu’il n’avait pas voulu offenser qui que ce soit. Il a aussitôt retiré son tweet.

Apparemment, ce ne fut pas suffisant pour calmer les esprits échauffés. Certains utilisateurs lui ont fait savoir qu’il ne pouvait pas agir comme si ce tweet n’avait jamais existé.

Comme Martin ne pouvait rien faire d’autre que s’excuser, ce qu’il avait déjà fait, il a réitéré son regret pour son manque de jugement.

Heureusement, plusieurs fans sont aussi venus à la défense de l’acteur en disant qu’il fallait cesser de voir du racisme partout.

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Amanda Bynes continue sa descente

TMZ a obtenu une vidéo montrant Amanda Bynes qui revenait à son domicile de New York, tentant de se cacher le visage sous un foulard.

Quand un photographe a essayé de lui découvrir la tête, elle s’est exclamée « Tu ne peux pas me toucher » à plusieurs reprises. Elle y est ensuite allée d’une insulte raciale en cherchant à savoir qui avait fait ça. « Est-ce que c’est l’affreux noir? Oh, il y a un autre affreux noir! »

Après s’être fait demander de clarifier, elle a tout simplement répondu qu’elle n’avait rien dit de mal, que ce n’était pas raciste. Elle a dit qu’il ne s’agissait que du visage des hommes, et non de la couleur de leur peau.

Elle a aussi insisté, lors de sa comparution de samedi (25 mai), sur le fait qu’elle n’avait absolument rien fait de mal, niant toutes les accusations portées contre elle.

De plus, elle a lancé une bombe sur Twitter en disant : « J’ai été harcelée sexuellement par un des policiers. Il a tapé mon vagin, c’est du harcèlement ça, vraiment ». Une enquête est d’ailleurs en cour.

Bynes mentionne aussi que les policiers n’ont absolument rien trouvé chez elle, ni drogue ni pipe à eau jetée par la fenêtre de son appartement du 36e étage.

Malgré ces allégations, elle a tout de même été accusée de possession de marijuana, d’avoir tenté de cacher des preuves et de s’être mise en danger délibérément.

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Une pilule qui rendrait moins raciste ?

Les personnes qui prennent du propanolol seraient moins racistes. 

Selon l’étude parue dans la revue Psychopharmacology, cette pilule couramment utilisée contre l’hypertension et dont le principal effet est de réduire le rythme cardiaque et l’anxiété, aurait aussi des effets sur les préjugés racistes inconscients.
 
Les 36 hommes blancs qui ont participé à l’étude ont démontré des résultats moindres au test sur les préjugés racistes inconscients, comparativement à ceux qui ont eu un placebo. Toutefois, le médicament n’a eu aucun effet sur l’attitude consciente des gens.
 
Cela ne veut pas nécessairement dire que l’on pourrait guérir le racisme avec des médicaments, mais les résultats sont intéressants. Maintenant, on souhaite vérifier s’il y a des effets sur d’autres préjugés comme l’appartenance religieuse ou l’homosexualité.
 
Cette découverte démontre qu’il y a des effets provoqués sur des zones du cerveau et cela pourrait mener à d’autres percées intéressantes. Les recherches doivent également se poursuivre sur un plus grand nombre de personnes.
 
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Prévenir le racisme à la source

Selon des chercheurs de l’Université du Queensland en Australie, les enfants pourraient apprendre à devenir racistes.

Au contraire, si on leur présente des photos de personnes de différentes ethnies, ils les différencieraient mieux, les rendant ainsi moins enclins à différencier et discriminer les autres ethnies plus tard dans leur vie.
 
Ce phénomène, déjà bien remarquable chez les adultes, s’appelle l’effet de l’autre race. Il constitue une conséquence de l’expérience que vit une personne en côtoyant d’autres ethnies dans son milieu de vie.
 
On a donc exposé 32 bébés caucasiens de 6 mois à 6 photos de visages, pour 8 différents ensembles de photos au total. La moitié du groupe était exposée à des visages chinois et l’autre à des visages caucasiens.
 
Le résultat a été probant. À neuf mois, on a présenté les photos une nouvelle fois aux bébés. Ceux qui avaient vu des visages chinois étaient capables de différencier les ethnies, alors que les autres ne le pouvaient plus.

Exposer les enfants très tôt à différentes ethnies préviendrait donc le phénomène de l’autre ethnie en poussant son développement à la base.

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Les personnes racistes ont peu de compassion face à la souffrance physique des autres

Le cerveau des personnes racistes ne démontre pas de réaction face à la douleur physique des autres races.
 
Selon une étude italienne publiée dans le Current Biology, le cerveau des personnes ayant des préjugés raciaux a du mal à voir spontanément la souffrance chez des individus appartenant à un groupe ethnique différent.
 
Les chercheurs de l’Université de Bologne ont longuement interrogé 40 étudiants universitaires. 20 étaient blancs et 20 étaient noirs.
 
On a mesuré l’activité des neurones lorsqu’on leur a présenté des images avec une aiguille enfoncée dans des mains de couleurs différentes. La main violette a obtenu le même niveau de compassion chez les deux groupes d’étudiants.
 
Les personnes qui avaient d’importants préjugés raciaux n’ont répondu que faiblement à la douleur de l’autre groupe, alors que ceux qui n’étaient pas racistes ont eu le même niveau de compassion pour les différentes couleurs de peau.
 
Cela démontre donc clairement que les préjugés liés à la couleur de la peau influencent notre jugement face à la douleur physique d’autrui.