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Radié par le Collège des médecins pour une vasectomie ratée.

Le Collège des médecins a radié un médecin de Sherbrooke pour une période de deux mois en raison d’une vasectomie ratée qui a mené à une grossesse non désirée.

C’est en mars 2017 qu’un couple a eu la surprise d’apprendre que la mère était enceinte, et ce, alors que le père avait subi une vasectomie en janvier 2016.

Comme l’a expliqué le Collège des médecins, un spermogramme qui date du 5 mai 2016 indique chez le patient «la présence abondante de spermatozoïdes, établissant l’échec de la procédure de stérilisation».

Dans le document du Collège des médecins, on y a apprend que le Dr Claudio Jeldrès a admis avoir manqué de diligence dans le suivi post-vasectomie de son patient. L’urologue a aussi reconnu «d’emblée l’existence de lacunes dans la chaîne de communication de l’information au sujet de ce patient; ultimement, c’est lui qui est responsable du suivi médical de celui-ci».

Toujours dans le même document, le Collège des médecins a précisé que «dans sa version écrite des faits, [Dr. Jeldrès] allègue ne pas avoir reçu ce rapport en raison d’une problématique survenue dans la transmission des résultats du spermogramme avec le dossier médical électronique Ariane du centre hospitalier.»

Le patient qui a fait l’objet d’une vasectomie raté réclame avec sa conjointe une somme de 857 000$ au CIUSSS de l’Estrie-CHUS et au Dr Claudio Jaldrès dans une poursuite civile.

Le couple affirme que sa famille a dû composer avec d’importantes conséquences en raison de l’arrivée imprévue de cet enfant, dont un déménagement dans une maison plus grande.

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Création d’un nouveau test de détection du cancer sans danger pour la santé

The National Library of Medicine rapporte la création d’une nouvelle méthode pour tester les gens en prévention du cancer, et qui ne comporte pas de risque inhérent pour la santé.

Ironiquement, les tests scanneurs utilisés en oncologie pour dépister les cas de cancer utilisent des radiations qui peuvent contribuer au développement de problèmes de santé chez les patients testés, voire du cancer lui-même. On parle d’un risque accru chez les enfants et les « jeunes adultes », soit jusqu’à 40 ans.

Mais selon le Dr Heike Daldrup-Link, de l’école de médecine de Stanford, la solution pourrait maintenant être à nos portes.

« Nous pouvons résoudre le problème et le dilemme liés à la nécessité d’un scanneur pour tout le corps et son risque potentiel de provoquer un cancer plus tard au cours de la vie d’un patient », explique le Dr Daldrup-Link.

Cette solution se traduit par l’utilisation d’un test par résonnance magnétique doublé d’un agent contrastant, un genre de supplément, qui permet de mieux voir ce qui se passe dans le corps d’un patient. Un premier essai sur 22 patients a démontré une efficacité similaire à celle du scanneur par radiations.

Même s’il s’agit d’une belle percée, d’autres études et tests sont à faire avant que cette nouvelle méthode soit approuvée et utilisée sur une large échelle.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le journal The Lancet Oncology en février.  

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Les scanneurs et la radiation

Alors qu’il est devenu très important de vérifier ce que pourraient transporter les passagers de chaque avion, plusieurs s’inquiètent sur la radiation à laquelle ils sont exposés au moment de passer le dépistage.

Sur le site de Medlineplus, on fait le compte-rendu d’une recherche commandée par l’American Association of Physicists in Medicine (AAPM).

Les résultats ont démontré qu’à la dose de radiation absorbée lors du test, il faudrait en subir 22 500 en une année afin de dépasser la limite saine recommandée. De quoi rassurer les utilisateurs de services aériens!

À ce propos, un des auteurs de la recherche déclare : « Nous pensons que le point le plus important à retenir pour les passagers concernés est de garder une perspective appropriée. La dose de radiation reçue par un passager lors d’un dépistage est comparable à ce que ce même passager recevra en 12 secondes durant le vol lui-même ou en deux minutes d’exposition au rayonnement naturel ».

La raison pour laquelle les passagers d’un vol reçoivent en effet une dose de radiation est due à l’altitude de croisière qui expose le corps au radon, aux radiations cosmiques de l’espace et à une dégénération du potassium dans l’organisme. Bien entendu, il s’agit là aussi d’une dose relativement infime.

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Les scans seraient plus bénéfiques que mauvais pour la santé

Une polémique fait rage concernant les fameux CT Scans, ces tests par imagerie utilisés dans bon nombre de départements de médecine pour prévenir et diagnostiquer plusieurs maladies graves.

Le problème, pour certains, se trouve dans les radiations qu’émettent les grosses machines utilisées pour les scans, qui pourraient provoquer certains types de problèmes de santé.

Entrer à l’hôpital en santé et y ressortir en moins bon état après un test du genre, voici ce que dénonce le groupe du « contre ».

Une nouvelle étude sur le sujet vient contredire les détracteurs du CT Scan, alors qu’elle démontre que, statistiquement, les effets sont plus positifs que négatifs sur la population en général.

Ainsi, plusieurs des cas de décès ou de maladies graves rapportées à la suite de ces tests seraient explicables par le fait que ces patients connaissaient déjà des ennuis de santé à leur arrivée à l’hôpital.

« Il faut réaliser que plusieurs de ces personnes sont arrivées avec de sérieux problèmes de santé préalables. La perception des gens face aux risques peut être biaisée s’ils ne voient pas le portrait global de la situation », pense la Dre Susanna Lee, une radiologue de la Harvard Medical School.

Pour d’autres, dont un radiologue, cette étude est mince et n’apporte pas de preuves concluantes.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Les enfants subissent beaucoup plus de tests de diagnostic qu’avant

Pediatrics publie les résultats d’une étude à laquelle ont participé plus de 63 000 enfants entre 2001 et 2009. Le pourcentage des enfants qui ont passé un tomodensitomètre (aussi souvent appelé un « scan »), par exemple, a augmenté de 34 %.

Les chercheurs ne pouvaient pas prouver que ces tests étaient vraiment nécessaires. Ceux-ci étaient surtout effectués dans un contexte hospitalier, particulièrement lorsque l’enfant se présentait à l’urgence avec des blessures ou des traumatismes, des symptômes gastro-intestinaux ou des anomalies congénitales.

En particulier, durant la durée de l’étude, les enfants étaient 4,22 fois plus susceptibles de subir ces tests dans un contexte hospitalier plutôt que s’ils visitaient une clinique, et 2,73 plus susceptibles s’ils étaient à l’urgence. Les enfants avec des anomalies congénitales avaient quant à eux 67 % plus de chances, par rapport à la décennie précédente.

« La controverse reliée au risque de cancer plus élevé, particulièrement pour les enfants, demande que des pratiques claires soient établies, et que ces tests soient évalués afin de réduire une exposition non nécessaire à la radiation », a expliqué l’auteure, la Dre Jeannie Huang, selon MedPageToday.

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Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

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Dangers des rayons X pour les enfants

On présente, dans la revue médicale Deutsches Arzteblatt International, des façons de réduire l’intensité des rayons X passés sur les enfants, sans compromettre pour autant la valeur du diagnostic.

Par exemple, on peut réduire le temps d’exposition au maximum et employer les systèmes de stockage CTP actuels.

Sinon, les mesures préventives d’usage doivent encore être suivies à la lettre. L’emploi correct des empiècements dédiés aux rayons X peut en lui seul constituer la meilleure des préventions.

En effet, nous savons que les rayons X sont plus dangereux pour les enfants que les adultes. Comme les petits ont des tissus à plus forte division cellulaire, cette procédure médicale peut entraîner des dommages aux cellules.

De plus, le corps des enfants étant composé d’une plus grande quantité d’eau, il absorbe plus, de ce fait, les radiations.

Les dommages encourus peuvent toucher jusqu’aux gènes.

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Les cardiaques soumis aux radiations s’exposent plus au cancer

Une étude menée par la Dre Louise Pilote de l’Institut de recherche du Centre de santé McGill révèle que les personnes cardiaques ont plus de risques d’avoir un cancer si elles ont été soumises aux radiations dans une procédure thérapeutique.
 
83 000 dossiers de patients québécois ont été analysés et on relève des milliers de cas de cancers, soit 12 020 chez ceux ayant eu des radiations après une intervention cardiaque à la suite d’une crise. 
 
Dans 77 % des cas, on prescrit une imagerie cardiaque ou des radiations de faible intensité par mesure thérapeutique pour les personnes ayant fait un infarctus du myocarde.
 
Selon les données rapportées par le Journal de l’Association médicale canadienne, de faibles radiations sont suffisantes pour faire augmenter les risques, de sorte que les experts se questionnent et envisagent des traitements mieux adaptés.