Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

Radiothérapie chez l’enfant – risques plus élevé de cancer thyroïdien

Les résultats de l’étude ont été présentés par l’Inserm. Ils démontrent que même si les enfants en bas âge qui subissent une radiothérapie sont plus enclins à développer le cancer de la thyroïde, le pronostic est identique.

Donc, en terme de mortalité ou de rechute, Santé Log rapporte qu’il n’y a pas de différence chez les patients adolescents qui, dans leur enfance, ont eu recours à la radiothérapie.

Par contre, les chercheurs, qui proviennent des Hospices Civils de Lyon, du Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon et du CHU de Saint Étienne, démontrent que dans les cas d’exposition à la radiothérapie, le cancer de la thyroïde est plus agressif, et le risque de le développer est plus élevé.

Ainsi, chez le jeune enfant qui a eu un traitement contre le cancer, lors d’un diagnostic du cancer de la thyroïde plus tard, il y a plus de métastases et une plus grande présence dans les ganglions lymphatiques. D’autre part, il y a une proportion plus élevée de tumeurs invasives (stade 3).

La recherche a été menée auprès de 413 jeunes diagnostiqués du cancer de la glande thyroïde, âgés en moyenne de 17 ans, dont 24 avaient été traités en radiothérapie dans leur enfance.

Bien que les rechutes soient de l’ordre de 10 à 20 %, il n’y avait pas de différence selon l’exposition ou non à une radiothérapie.

Catégories
Uncategorized

La radiothérapie pourrait causer le cancer du sein

C’est ce que de nouvelles données du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center de New York ont révélé.

Les experts incitent donc les jeunes femmes ayant subi un cancer dans leur enfance et un traitement de radiothérapie du thorax à passer un test de dépistage du cancer du sein dès 25 ans.

En fait, à l’issue d’une étude, les spécialistes ont découvert que l’incidence du cancer du sein atteignait 24 % avant que ces femmes aient 50 ans.

Parmi les survivantes d’un lymphome de Hodgkin, ce chiffre grimpe jusqu’à 30 %.

« Il ne s’agit pas seulement des survivantes de la maladie de Hodgkin qui sont à risque de développer un cancer du sein, mais de tous les cancers pédiatriques, même traités par doses de rayonnement modérées », peut-on lire dans la recherche.

Rappelons que le cancer du sein est l’un de ceux dont le nombre de cas augmentera d’ici 2030. De pus, le nombre de cas de cancer, toutes parties du corps confondues, pourrait augmenter jusqu’à 75 % d’ici moins de vingt ans.

Catégories
Uncategorized

Les enfants cancéreux souffrent de problèmes émotionnels à l’âge adulte

Ce sont les effets secondaires « physiques » des traitements comme la radiothérapie qui feraient en sorte que bien des enfants ayant souffert d’un cancer seraient victimes d’anxiété et de dépression à l’âge adulte.

C’est ce que révèle une nouvelle étude de l’Université de Northwestern publiée dans le Journal of Clinical Oncology et dont les données ont été recueillies au centre Childhood Cancer Survivor.

Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont examiné la santé psychologique de 14 000 adultes qui avaient combattu un cancer durant l’enfance et l’ont comparée à celle d’un frère ou d’une sœur de la même famille qui n’avait pas été malade.

Les survivants qui ont eu une perte de cheveux avaient un risque accru d’anxiété. Les filles qui ont perdu leurs cheveux sont plus susceptibles d’être dépressives, tout comme ceux et celles qui ont des cicatrices en raison de biopsies, qui sont défigurés ou à qui il manque un bras ou une jambe à la suite d’une amputation.

L’étude de l’infirmière spécialisée Karen Kinahan vient confirmer que les traitements du cancer peuvent affecter l’apparence physique des survivants et leur qualité de vie, à une période beaucoup plus tardive que durant la maladie.

La radiothérapie est connue pour un risque accru de détresse émotionnelle et de problèmes sociaux. La spécialiste affirme que des efforts supplémentaires devraient être faits dans le but de venir en aide précocement aux enfants susceptibles d’être plus psychologiquement atteints dans le futur. Les médecins devraient également tenter de minimiser encore plus les risques d’altérations physiques.

Catégories
Uncategorized

Cancer : trop peu de femmes préservent leur fertilité

Une nouvelle étude de l’Université de Californie à San Francisco suggère que les femmes qui sont en âge de procréer et qui ont un cancer ne reçoivent pas assez de renseignements sur les différentes méthodes de préservation de la fertilité pendant le traitement d’un cancer.

C’est en interrogeant 1041 femmes âgées de 18 à 40 ans, qui ont reçu un diagnostic de cancer entre 1993 et 2007, que les chercheurs ont découvert que seulement 4 % des femmes avaient pris des mesures pour préserver leur fertilité.

Parmi le groupe, 918 ont reçu des thérapies contre le cancer (chimiothérapie, radiothérapie pelvienne, chirurgie pelvienne ou greffe de moelle osseuse) qui pouvaient nuire à leur fertilité.

Il a été indiqué que 61 % d’entre elles ont reçu des conseils de leur médecin ou d’autres spécialistes sur les risques que pouvait engendrer le traitement du cancer sur leur fertilité.

La bonne nouvelle, c’est que la proportion de patientes qui a pris des mesures pour préserver la fertilité est passée de 1 % en 1993 à 6 à 10 % en 2005-2007, selon l’étude publiée dans la revue Cancer.

Toutefois, il semblerait que les femmes de race blanche, hétérosexuelles et avec un niveau d’éducation collégial ont été plus concernées que les autres par les options de préservation.

Ces chiffres trop bas sont le reflet d’une situation anormale pour les chercheurs, qui concluent que la congélation d’embryons ou d’une portion du tissu ovarien ou encore la présentation d’autres stratégies pour épargner les ovaires durant le cancer devraient être suggérées à toutes les femmes, qui doivent souvent prendre des décisions trop rapidement avant le début ou pendant un traitement.

Catégories
Uncategorized

Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

Catégories
Uncategorized

Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

Catégories
Uncategorized

Le cancer et la grossesse

On lit dans le Journal of Clinical Oncology que les traitements contre le cancer ne comportent pas de risque génétique pour le bébé à naître. Aucune association n’a pu être faite entre la chimiothérapie ou la radiothérapie avant conception et les anomalies génétiques chez les bébés nés d’une survivante du cancer.

Afin de relever tout risque possible, on a évalué les réponses à des doses de traitement contre le cancer chez 472 femmes l’ayant surmonté lors de l’enfance ou de l’adolescence et les 1037 grossesses reliées.

En se basant sur les dossiers médicaux des participantes, on a analysé les doses de radiation à l’utérus, aux organes génitaux et à la glande pituitaire, ainsi que celles de chimiothérapie.

Un modèle d’estimation a par la suite été employé, créant de possibles corrélations avec des défaillances liées à la grossesse, soit 159 malformations congénitales, 6 anomalies chromosomiques, 7 morts à la naissance et 9 morts néonatales.

Il n’est ressorti aucune corrélation statistiquement significative entre lesdits traitements chez la mère et de possibles problèmes ou décès chez l’enfant.

Catégories
Uncategorized

Le cancer et la grossesse

On lit dans le Journal of Clinical Oncology que les traitements contre le cancer ne comportent pas de risque génétique pour le bébé à naître. Aucune association n’a pu être faite entre la chimiothérapie ou la radiothérapie avant conception et les anomalies génétiques chez les bébés nés d’une survivante du cancer.

Afin de relever tout risque possible, on a évalué les réponses à des doses de traitement contre le cancer chez 472 femmes l’ayant surmonté lors de l’enfance ou de l’adolescence et les 1037 grossesses reliées.

En se basant sur les dossiers médicaux des participantes, on a analysé les doses de radiation à l’utérus, aux organes génitaux et à la glande pituitaire, ainsi que celles de chimiothérapie.

Un modèle d’estimation a par la suite été employé, créant de possibles corrélations avec des défaillances liées à la grossesse, soit 159 malformations congénitales, 6 anomalies chromosomiques, 7 morts à la naissance et 9 morts néonatales.

Il n’est ressorti aucune corrélation statistiquement significative entre lesdits traitements chez la mère et de possibles problèmes ou décès chez l’enfant.