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Nouvelles quotidiennes

Plus de violence à bord des avions

Le Figaro mentionne qu’au fil des ans, la violence à bord des avions s’est faite de plus en plus fréquente. Depuis, les compagnies aériennes offrent des stages de formation à leur personnel afin qu’il puisse savoir désamorcer les conflits et éviter qu’ils dégénèrent.

Jean-Pierre Otelli, expert en aéronautique, vient de lancer un livre, Passagers incontrôlables, dans lequel il raconte de nombreuses agressions à bord des avions. Souvent, ces agressions sont le résultat d’une trop grande consommation d’alcool ou de drogue.

La plupart des problèmes surviennent en première classe ou en classe affaires, y compris avec des gens aussi célèbres que Naomi Campbell ou Courtney Love, par exemple.

La violence à bord des avions n’est pas un phénomène nouveau, mais on note que cela s’aggrave et que les passagers sont plus violents. Les membres de l’équipage doivent donc pouvoir gérer ces incidents.

On estime à 5 000 le nombre de cas problèmes rapportés chaque année dans le monde.

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L’exercice physique qui calme

Une étude effectuée par la Dre Catherine L. Davis, du Collège des médecins de Georgie à Augusta, démontre que les enfants obèses qui se mettent à pratiquer un sport n’ont pas que des bénéfices au niveau de leur santé. En effet, ces derniers ont de moins en moins de comportements agressifs et canalisent mieux leur colère vers des formes socialement plus acceptables.

« L’exercice aide les enfants à mieux contrôler leur colère et c’est peut-être parce qu’ils ont un meilleur moral. Les épisodes de rage deviennent alors moins fréquents et c’est aussi un signe d’un meilleur contrôle de soi », a souligné la chercheuse.

Bien qu’il n’y ait pas de lien significatif entre le surplus de poids et l’agressivité, la Dre Davis souhaitait corroborer d’autres recherches qui mentionnaient que l’exercice physique améliore l’état d’esprit et réduit l’hostilité chez les adultes.

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Le cerveau, responsable des crises d’enfants

Les parents aux prises avec un bambin qui hurle et crie doivent serrer les dents et se dire que ce n’est qu’un mauvais moment à passer dans le développement de leur enfant.

C’est que le cerveau des petits, pas encore à maturité, les empêche de raisonner et comprendre la colère qui les habite. La zone de résolution de problèmes, qui se situe dans le cerveau supérieur, n’est pas en mesure de tempérer les excès du cerveau inférieur, d’où les excès de rage chez les enfants.

« Les jeunes enfants n’ont pas de mécanismes inhibiteurs suffisants pour maîtriser toute leur colère. Ça nous semble injustifié, mais c’est très rarement un problème de santé. C’est un mauvais moment à passer », a mentionné à La Presse le Dr Albert Larbrisseau, professeur titulaire en pédiatrie à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.