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Les enfants autistes ont trop de synapses cérébrales

Des chercheurs du Centre médical de l’Université Columbia à New York affirment que le surplus de synapses du cerveau, c’est-à-dire les terminaisons nerveuses responsables de la communication entre les cellules, serait l’un des facteurs responsables de la maladie.

Ils expliquent cependant qu’ils ont bon espoir de développer un traitement pour contrer ce surdéveloppement. Les scientifiques croient fermement que ce sont des anomalies du genre dans la structure cérébrale qui entravent le fonctionnement de ce dernier.

Les résultats publiés dans la revue Neuron sont expliqués par la Dre Guomei Tang. Elle a observé les synapses du cerveau de 26 enfants autistes et les a comparées à celles de 22 autres d’enfants en parfaite santé.

Tang a réalisé que chez les enfants sans trouble autistique, le nombre de synapses avait diminué de près de 50 % vers la fin de l’enfance. Celles des enfants autistes n’avaient diminué que de 16 %.

En parallèle, on a découvert que le Sirolimus, aussi appelé Rapamycine, un médicament de la catégorie des immunosuppresseurs, avait inversé le processus chez des souris.

En supprimant le surplus de synapses, indique Medical News Today, celui-ci avait également diminué les comportements autistiques des rongeurs.

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Un nouveau traitement contre le syndrome post-traumatique pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une excellente nouvelle dans le dossier du syndrome post-traumatique, qui commence enfin à jouir de la visibilité médiatique qu’il mérite.

En effet, il s’agit d’un véritable fléau pour une panoplie de gens, les plus connus étant bien sûr les soldats de retour d’Afghanistan et d’Irak, les deux dernières guerres auxquelles ont participé le Canada et les États-Unis.

Depuis le retour des premiers soldats, on constate que presque tous les combattants se retrouvent aux prises avec des problèmes reliés au syndrome post-traumatique, à grande ou à moindre échelle.

Il est donc primordial de sensibiliser les gens à la cause et de trouver des traitements adéquats. On parle justement ici de la rapamycine, un médicament, et de ses effets bienfaiteurs sur l’organisme grâce à une réduction du stress et de la peur.

Agissant par l’inhibition de certaines protéines, le traitement permet de constater des résultats prometteurs. C’est ce que croient les chercheurs de l’Université McGill, qui publient leurs résultats dans l’édition du mois de mars des Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS).

Le professeur Karim Nader et son équipe ont bel et bien confirmé les effets de la rapamycine. Ils croient qu’une porte vient de s’ouvrir sur de meilleurs traitements contre le syndrome post-traumatique.

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Le vin rouge améliore l’efficacité des traitements contre le cancer du sein

Alors que de récentes études disaient que le vin rouge pouvait aider à protéger contre le cancer du sein, des chercheurs ont maintenant découvert qu’il pouvait également améliorer l’efficacité des traitements contre la maladie.
 
Habituellement, on utilise la rapamycine pour combattre le cancer du sein. Malheureusement, au bout d’un moment, les cellules cancéreuses deviennent résistantes au traitement.
 
Selon le Cancer Letters, des chercheurs ont mené des tests en laboratoire et ont constaté que le resvératrol, un composé naturel du vin rouge, freinait la croissance des cellules cancéreuses devenues résistantes, permettant ainsi au traitement d’augmenter son efficacité.
 
Des tests cliniques seront bientôt réalisés et si les résultats se confirment, cela pourrait venir en aide à des milliers de femmes chaque année.
 
Le resvératrol est un puissant antioxydant produit par exemple par les raisins, les framboises et les canneberges. Il aide également à combattre les infections fongiques et bactériennes. De plus, comme tout antioxydant, il a des propriétés contre le vieillissement.