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Être inactif est plus dangereux que de fumer?

Les fumeurs et amateurs des produits du tabac sont séquestrés dans une catégorie peu enviable depuis quelques années, reclus et méprisés par une population de plus en plus anti-tabac.

Voilà un phénomène qui pourrait aussi frapper les plus paresseux et sédentaires d’entre nous, alors qu’une étude rapportée par Santé Log fait état de risques cardiovasculaires plus importants chez ces individus que chez les fumeurs.

Mondialement, on rapporte que c’est facilement le tiers de la population qui ne pratique aucune activité physique, donc qualifié de sédentaire. Du lot, on associe 5,3 millions de décès reliés à cette procrastination physique, contre 5,1 millions liés au tabagisme.

Le fait de ne pas bouger ou de ne pas pratiquer d’activités physiques est donc devenu un facteur de risque de troubles cardiovasculaires mortels plus important que la cigarette, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

C’est d’ailleurs pourquoi l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR) publie un rapport qui dévoile ces chiffres, afin de sensibiliser la population à cet état de fait et tenter d’en convaincre une partie de retrouver ses chaussures de sport.

De plus, ces personnes associent souvent ce comportement de farniente à un régime alimentaire trop gras, trop salé et pauvre en nutriments et minéraux. Un cocktail visiblement mortel.

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Santé publique : Les médias doivent aussi faire leur part pour éviter la paranoïa

Les médias sont visés dans une nouvelle étude sur la santé publiée par des chercheurs allemands, qui nous gratifient par la même occasion d’un nouveau mot de la langue française, rapporte Top Santé

On parle de « l’effet nocebo », un phénomène qui s’apparente à l’effet placebo, mais en lien avec les informations véhiculées par la faune médiatique.

Cette dernière est omniprésente dans nos vies et n’apporte pas que du bon. Les campagnes de peur, la surutilisation de temps d’antenne sur les mêmes sujets, le manque de rigueur et de souci du public sont tous des facteurs qui finissent par influencer non seulement l’opinion publique, mais aussi sa santé.

Ainsi, explique le psychothérapeute Michael Witthöft, directeur de l’étude en question, « la simple anticipation de dommages sur la santé pourrait déclencher des douleurs et des désordres de santé ».

C’est donc dire que plusieurs personnes anxieuses ou influençables peuvent littéralement développer des symptômes ou des problèmes de santé à la suite des reportages sensationnels.

Pour confirmer la théorie, l’équipe du Dr Witthöft a tenté une expérience sur 147 sujets, en leur proposant un reportage de la BBC sur l’impact des ondes WiFi sur la santé, avant de les « exposer » à de faux signaux du même genre.

54 % des sujets ont présenté des signes d’anxiété ou d’autres symptômes, alors qu’il n’y avait pourtant rien dans la pièce… 

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Le nouveau coronavirus transmissible par l’humain

Après quelques semaines de rumeurs et d’études sur le sujet, les spécialistes de l’Organisation mondiale de la santé en arrivent finalement à la conclusion que le nouveau coronavirus peut bel et bien se transmettre par l’humain.

Donc, en clair, cela signifie qu’un individu porteur de cette nouvelle souche de coronavirus, qui inquiète bien des gens ces temps-ci un peu partout sur la planète, peut transmettre la maladie à un autre congénère humain, selon Radio-Canada

De quoi s’inquiéter donc, mais on rappelle qu’il ne faut pas non plus céder à la panique. Bien qu’il soit important d’être vigilant, surtout du côté des organisations et associations de la santé des gouvernements, on n’a qu’à penser à l’épisode du SRAS pour se rappeler l’importance de rester calme face au phénomène.

Pour l’instant, le coronavirus, qui s’apparente au SRAS, a fait 18 victimes en Arabie Saoudite, et la maladie viendrait de pénétrer le territoire français.

Bien qu’il s’agisse d’une nouvelle souche encore inconnue de l’homme, la rapidité des spécialistes à réagir laisse croire que ce coronavirus pourrait être contenu de manière assez efficace.

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Encore un blâme salé pour les multinationales alimentaires

Top Santé rapporte un nouveau et énième rapport concernant les surdoses de sel contenues dans les différents produits alimentaires usinés retrouvés sur le marché.

Alors que la limite de sel prescrite quotidiennement pour un humain moyen est de cinq à huit grammes, plusieurs produits sur le marché facilitent le dépassement de cette indication, par beaucoup.

On note, du côté de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation, que des améliorations ont été tentées et sont observables en ce qui a trait à certains produits, mais que ces changements sont généralement encore trop faibles pour assurer un impact significatif sur la santé des citoyens.

Les spécialistes rappellent l’urgence d’agir, alors que le sel est de plus en plus ciblé comme l’une des principales raisons qui expliquent plusieurs problèmes de santé modernes auxquels font face les populations occidentales.

On rappelle également l’importance de se faire à manger soi-même le plus souvent possible, en choisissant des ingrédients sains et frais, et de ne pas toujours compter sur les restaurants et les grandes compagnies alimentaires productrices de repas « déjà faits », ceux-ci renfermant des quantités de sel parfois ahurissantes.

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Le métro serait une source de pollution nocive pour la santé

Prendre le métro comprend certains désagréments, spécialement à Montréal ces temps-ci. Les services de métro à travers le monde se ressemblent et subissent le même genre de problèmes. À commencer par celui décrit par des chercheurs britanniques et néerlandais, qui unissent leurs efforts dans une étude rapportée par Top Santé.

Pour ces scientifiques, l’air respiré sous terre aux abords du métro s’avère souvent empreint de métaux (fer, cuivre, chrome, zinc, etc.), comme il a été clairement observé dans celui des Pays-Bas.

On parle bien sûr de particules, mais bel et bien absorbées par les usagers du transport en commun, même s’ils ne les voient pas.

On le sait, les particules de plusieurs métaux peuvent mener à de sérieux problèmes de santé, à commencer par le cancer. On n’a qu’à penser aux problèmes reliés à l’amiante, il y a plusieurs années, avant que l’on en comprenne les impacts directs sur la santé des travailleurs.

Aura-t-on droit au même genre de constat dévastateur sur le métro dans quelques années? Il est à souhaiter que non, mais les chercheurs en tête de l’étude sont incertains.

« Nous n’en savons pas assez pour être en mesure de donner des recommandations concernant leurs taux limites », concluent les chercheurs, qui vont certainement poursuivre leurs travaux sur le sujet.

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Les piscines publiques plus propres qu’on pourrait le croire

Top Santé révèle des données intéressantes concernant les piscines publiques, à l’approche d’une autre belle saison estivale.

Plusieurs mythes à connotations négatives sont tenaces en ce qui concerne ces piscines, à commencer par le fait qu’elles seraient un lieu d’échange de microbes et de virus de toutes sortes.

Or, selon l’étude du bactériologiste français François Denis, les piscines publiques seraient souvent bien plus propres qu’on pourrait le croire…

« Il n’y a pas de réel danger sanitaire à signaler, et les contaminations collectives y sont non seulement rares, mais bénignes, au point de n’être parfois même pas déclarées », signale l’expert.

Il suggère par ailleurs le port du bonnet de bain, souvent obligatoire, afin de contribuer à la sécurité des baigneurs. Il démontre (chiffres à l’appui) que les cas de contraction de virus ou de maladies dans les piscines publiques sont extrêmement rares.

De plus, l’utilisation de plusieurs produits comme le chlore tue dans l’œuf la plupart des menaces, ce qui devrait rassurer les parents qui se baignent dans les piscines publiques avec leurs enfants durant l’été.

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Un rapport rappelle l’importance des fibres pour l’organisme

Les fibres sont assurément les alliées des consommateurs, rapporte Santé Log, alors qu’un rapport sur le sujet est publié par Tate & Lyle, une firme alimentaire.

Attention, cette compagnie œuvre notamment dans le domaine de la distribution de produits alimentaires et de fibres, mais le rapport semble s’appuyer sur des études réelles et concrètes.

De toute façon, il n’existe pas réellement de controverse ou de polémique entourant les fibres, et les bienfaits de celles-ci sont unanimement reconnus par les spécialistes en nutrition de partout dans le monde.

Donc, on rapporte qu’outre les apports nutritifs essentiels offerts par les fibres, comme le calcium, celles-ci permettent également une meilleure satiété. Cela signifie que votre faim sera mieux rassasiée en consommant des fibres, ce qui évite de sombrer dans les repas surchargés et les collations constantes.

De plus, les fibres permettent une meilleure digestion, un processus essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

On déplore le manque de fibres dans le régime alimentaire moyen des Nord-Américains, et on ne saurait trop conseiller aux gens de découvrir les vertus associées aux fibres, conclut le rapport.

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Le Québec franchit le cap : un Québécois sur deux en surpoids

Ça y est! Le Québec vient de franchir une étape peu enviable dans le dossier de l’obésité en Amérique du Nord, alors qu’un récent rapport fait état d’un Québécois sur deux qui serait en situation de surpoids.

Il s’agit d’une progression spectaculaire, alors que la statistique ne parlait que d’un citoyen du Québec sur trois dans cette situation à la fin des années 80.

Selon les chiffres publiés par l’Institut national de santé publique du Québec et rapportés par La Presse, non seulement 50 % des Québécois souffrent d’embonpoint, mais de plus en plus de ceux-là s’approchent carrément de l’obésité.

On parle donc de 2 075 000 Québécois qui ne sont pas du tout près de leur poids santé, dont plus de 1 000 000 sont obèses.

De plus, on rapporte que le fléau touche plus les hommes que les femmes, et que le Québec n’est pas la pire province canadienne en la matière.

On constate également, en conclusion, que le problème de société touche aussi plus largement les gens à faible revenu ainsi que certaines personnes sans études supérieures.

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Certains produits pour lentilles cornéennes pourraient causer des lésions

Radio-Canada rapporte des informations importantes pour tous les myopes du Québec qui ont recours aux lentilles cornéennes.

Selon Santé Canada, certains produits retrouvés sur les rayons pourraient causer des problèmes, à commencer par des lésions oculaires.

On parle des produits de marque Clear Care, Aosept et Oxysept, qui contiendrait 3 % de peroxyde d’hydrogène.

Le problème, c’est que les produits renfermant cet élément doivent être utilisés avec précaution, et il est nécessaire de les laisser reposer dans un étui spécial avant de placer les lentilles sur les yeux.

Cependant, l’information ne circule pas, et plusieurs personnes se sont plaintes de lésions dues à une mauvaise utilisation de l’une ou l’autre de ces marques.

On suggère donc aux utilisateurs de ces produits pour lentilles de lire attentivement les instructions fournies dans l’emballage, mais des changements devront également être apportés par les fabricants.

Santé Canada conclut en effet que plusieurs emballages ne sont pas assez clairs, et rappelle qu’il faut privilégier les solutions salines pour éviter tout problème.

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Oncologie : l’avenir des diagnostics pourrait passer par la technologie

Top Santé rapporte des conclusions tirées d’une étude hollandaise, voulant que les ordinateurs puissent bientôt dépasser les spécialistes humains en terme de précision de diagnostic et de choix de traitements du cancer.

Selon les chercheurs hollandais, basés à l’Université de Maastricht aux Pays-Bas, les plus récents logiciels produits sont capables d’analyser les données d’un patient de façon si précise que ses conclusions pourraient bien être plus utiles et efficaces qu’un homologue médecin humain.

Bien sûr, le médecin demeure essentiel, mais ce dernier pourrait bientôt se tourner vers la machine pour l’aider à se diriger vers le bon choix de traitement pour son patient, et ainsi améliorer les chances de survie et de rémission.

Pour prouver ces dires, les chercheurs ont lancé un défi à un appareil informatique à la fine pointe de la technologie, qui consistait à analyser les données de 121 patients atteints d’un cancer du poumon, ou qui l’avaient été dans le passé.

L’ordinateur s’est avéré nettement plus précis dans ses prédictions, notamment de l’évolution de la maladie et de l’avenir du patient, que ses compatriotes humains.

« Nous savons qu’il y a beaucoup de facteurs qui jouent un rôle important dans le pronostic des maladies, et que les ordinateurs sont capables de les combiner. Notre étude prouve qu’il est très peu probable qu’un médecin puisse y arriver mieux qu’un logiciel », conclut le Dr Cary Oberije.