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Pas de lien entre l’Accutane et la maladie de Crohn, selon une étude

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une nouvelle étude qui « blanchit » le traitement contre l’acné Accutane.

On traçait des liens présumés entre ce puissant traitement et certains cas de la maladie de Crohn et de colites chez la femme, mais ceux-ci relèveraient du mythe.

Ces deux troubles sont aussi associés au syndrome du côlon irritable, un type de diagnostic récent. C’est du moins ce qu’affirme l’étude, qui invalide ces théories et vient offrir son support au médicament.

Accutane est reconnu pour son efficacité, mais plusieurs spécialistes s’en méfient. Une peur non fondée, selon les chercheurs qui publient leurs conclusions dans l’édition de février du magazine JAMA Dermatology.

« Il y a eu beaucoup de spéculations entourant Accutane et le syndrome du côlon irritable. Les dermatologistes ont été découragés d’utiliser le traitement et les créateurs d’Accutane ont même dû arrêter la production à cause de ces allégations. », explique Michele Green, dermatologiste.

Elle ajoute que l’acné est un trouble qui peut causer énormément de stress et de détresse psychologique, et que les médecins ne devraient pas laisser la mauvaise réputation du traitement les décourager à le prescrire.

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Un produit dangereux utilisé en centre hospitalier

C’est toute une histoire que celle rapportée par Radio-Canada. Elle traite d’une étude nouvellement publiée qui cible un produit potentiellement dangereux utilisé dans les hôpitaux.

L’étude parle en fait de l’hydroxyéthylamidon, un produit notamment utilisé en soins intensifs pour gonfler le volume sanguin. Cette pratique est utilisée entre autres pour réanimer des patients qui affichent une pression sanguine faible.

Or, on apprend via cette étude que l’hydroxyéthylamidon pourrait bien faire basculer plus de patients vers la mort que vers le réveil…

Ce sont les conclusions obtenues par les chercheurs de l’Université Laval et de l’Université du Manitoba, qui joignent leurs efforts et qui partagent le même avis sur le dossier.

Cette super-étude analysait les données de 38 essais cliniques du produit et de la méthode, ce qui représente à peu près 11 000 patients, si on fait une moyenne.

Après ces analyses et des tests qui ont convaincu les chercheurs canadiens de leur présomption, ces derniers n’y vont pas de main morte dans leurs recommandations.

Pour eux, il faut carrément cesser l’utilisation de l’hydroxyéthylamidon dans nos hôpitaux. Et le plus rapidement possible.

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Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.

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Des associations de médecins publient une liste de tests à éviter

La liste est intitulée « Choose Wisely », ce qui signifie « Faites un choix éclairé ». Elle inclut plusieurs tests qui ne devraient pas être effectués de façon régulière, incluant plusieurs qui concernent les enfants.

Parmi les nouvelles recommandations, les médecins suggèrent fortement d’éviter les accouchements provoqués ainsi que les césariennes dites « électives » (c’est-à-dire qui ne sont pas obligatoires) avant 39 semaines de grossesse, parce que ces accouchements sont associés à un risque accru de problèmes respiratoires, de troubles d’apprentissage, ainsi que d’autres complications à moyen et à long terme.

Les médecins ne devraient pas non plus administrer des antibiotiques aux enfants pour des infections respiratoires apparemment virales, par exemple la sinusite ou la bronchite. De plus, les antibiotiques ne sont pas nécessaires dans le cas d’une conjonctivite.

Les enfants n’ont pas besoin de subir des tests pour détecter une carence potentielle en vitamine D. Finalement, un encéphalogramme n’est pas indiqué dans le cas de maux de tête persistants, indique le rapport, selon Med Page Today.

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Le smog pourrait causer des crises cardiaques

Une nouvelle étude en provenance de Houston, aux États-Unis, affirme qu’il y a un lien à tracer entre le smog retrouvé dans plusieurs grandes villes et plusieurs cas de crises cardiaques.

C’est ce que dévoile The National Library of Medicine, alors que l’étude parle d’un risque de crise cardiaque augmenté de 5 % dans les zones où l’air est le plus pollué.

Les niveaux d’ozone sont aussi une donnée importante avancée par les chercheurs américains. Les risques seraient d’autant plus vérifiables chez les hommes et les gens de plus de 65 ans.

« Le but ici est de sauver des vies. Nous aimerions contribuer à un système d’alerte plus raffiné pour prévenir les gens à risque lorsque l’air devient très pollué. Les alertes actuelles ne sont peut-être pas suffisantes. En même temps, nous voulons améliorer notre compréhension des coûts de la santé reliés à la pollution. », résume avec brio Katherine Ensor, professeur à l’Université Rice.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur les chiffres analysés dans leur propre ville, Houston, et ont pu vérifier plusieurs liens entre les périodes de chaleur intense et de smog, et plusieurs cas de troubles cardiaques.

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Un meilleur contrôle du diabète

Une nouvelle étude, publiée et rapportée par les National Institutes of Health et The National Library of Medicine, dévoile des chiffres encourageants en matière de diabète.

Selon l’étude, des progrès notables ont été faits dans le contrôle de la maladie, de plus en plus gens qui en souffrent décidant de suivre les recommandations de leur médecin.

Le nombre de patients qui suivent les recommandations après avoir reçu un diagnostic de diabète depuis le début des années 90 serait passé de 2 à 19 %, ce dont se réjouissent les chercheurs en tête de l’étude.

Et pour cause, car si le diabète peut être contrôlé sous diverses conditions, il peut aussi s’avérer fatal pour certaines personnes.

Les gens qui ne suivent pas les recommandations offertes par leur médecin s’exposent à des risques d’attaque, de maladies cardiaques, de maladies du rein, à l’amputation et même à la perte de la vision.

Étonnant alors de voir qu’encore beaucoup de patients n’en font qu’à leur tête, ce qui inquiètent les praticiens qui observent les ravages du diabète sur une base quotidienne.

Une bonne note donc, mais il reste manifestement encore beaucoup de travail de sensibilisation à faire.

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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Les Québécois déjeunent plus que la moyenne, mais…

On fait beaucoup état de l’importance de prendre un bon petit déjeuner pour bien commencer la journée. On a pourtant l’impression, avec toutes les campagnes sur le sujet, que les Québécois trichent souvent et ne se préoccupent guère du premier repas de la journée.

Rien n’est moins vrai si l’on se compare, selon ce que l’on comprend d’un sondage qui avait pour mission de vérifier les habitudes matinales des Québécois.

Il appert que ceux-ci déjeunent plus que la moyenne, avec 30 % des Québécois qui prennent le temps de bien déjeuner, pour 20 % dans le reste du Canada.

En contrepartie, 30 %, ça signifie qu’une seule famille sur trois déjeune, ce qui est trop peu aux yeux des spécialistes.

« Le matin, c’est souvent la course folle entre le lever des enfants, l’habillage, le petit déjeuner et le départ pour l’école et le travail. Durant la semaine, c’est difficile de faire du déjeuner un moment familial. Pour certains parents, offrir un déjeuner nutritif à leurs enfants est si important qu’ils en oublient eux-mêmes de prendre un bon déjeuner », résume Julie DesGroseilliers, nutritionniste.

On conseille aux familles aux prises avec ce genre de problème d’adapter le petit déjeuner à leur réalité, en optant pour des solutions plus rapides comme les barres de grain ou le gruau préfabriqué.

Bref, le matin, pas d’excuses, il faut manger!

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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De plus en plus de cas d’infections transmissibles sexuellement sont observés

The National Library of Medicine rapporte que les statistiques concernant les cas de maladies et d’infections transmissibles sexuellement (ITS) sont encore en hausse et prennent des proportions alarmantes, selon plusieurs spécialistes.

C’est notamment le cas aux États-Unis, alors qu’un nouveau rapport publié dans le journal Sexually Transmitted Diseases fait état de la montée de ces problèmes de santé au sein de la population.

On estime maintenant à 110 millions le nombre d’Américains qui souffrent en ce moment de l’un ou l’autre de ces troubles reliés à la sexualité, un chiffre qui augmente si on ajoute les cas répertoriés au Canada.

De plus, cette explosion de cas d’ITS a des coûts. Aux États-Unis seulement, on fait état de 20 millions d’infections soignées, pour une facture globale de 16 milliards de dollars!

Et il ne faudrait pas croire que ceci ne s’applique qu’aux adolescents.

« Les infections transmissibles sexuellement forment un risque pour les personnes de tous âges qui sont sexuellement actives. Certaines sont même transmissibles par le simple contact de la peau », met en garde Kaitlin Doyle du Long Island Jewish Medical Center, qui s’inquiète de ces statistiques grimpantes.