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Le mauvais cholestérol serait-il un mythe?

Pour le professeur Philippe Even, le mauvais cholestérol pourrait bien relever du mythe et favoriserait plus la santé financière des industries pharmaceutiques que celle des citoyens.

On peut comprendre l’ampleur de la polémique qui se pointe à l’horizon avec ces propos, rapportés notamment par Top Santé.

Le professeur Even écrit dans son livre La vérité sur le cholestérol que certaines compagnies et certains individus auraient même été jusqu’à falsifier des rapports et mentir de façon éhontée afin de promouvoir la vente de médicaments et de traitements pour le cholestérol.

Du nombre, ces fameuses statines, qui prennent de plus en plus de place sur le marché et qui seraient si non inutiles, à tout le moins surprescrites.

De plus, il considère que les effets secondaires de ces traitements dépassent largement leurs effets bénéfiques, et que le public se fait avoir au final.

Il croit que plusieurs industries et compagnies pharmaceutiques font preuve de comportements irresponsables, et s’insurge contre de tels procédés.

Héros ou opportuniste, le professeur Even? Le temps nous le dira.

Le professeur Even est directeur de l’Institut Necker et biochimiste de formation.

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Le cancer du poumon en voie de dépasser le cancer du sein chez la femme

Le cancer du poumon pourrait dépasser bientôt les statistiques affichées par celles du cancer du sein chez la femme, apprend-on de plusieurs sources, dont Santé Log.

Ainsi, si la tendance se maintient, le cancer du sein ne serait plus le plus meurtrier chez la femme. On estime que le cancer du poumon pourrait voir sa croissance augmenter de 400 % au fil des prochaines décennies, un constat alarmant s’il en est un.

Ces statistiques proviennent d’une étude australienne parue dans la plus récente édition des Annals of Oncology, et ont de quoi faire peur.

L’étude se base notamment sur des statistiques solides fournies par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui parle d’une évolution presque incontournable dans le cas du cancer du poumon.

Cependant, plusieurs nouveaux types de traitement contre le cancer semblent vouloir faire leur apparition, et de nouvelles façons de faire laissent entrevoir un brin d’optimisme.

Il ne reste plus qu’à souhaiter que les chercheurs et spécialistes du monde entier battent de vitesse la croissance exponentielle de cette terrible maladie.

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Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes

Les suppléments de vitamine D ne seraient pas toujours conformes, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

En fait, certains de ces produits ne respecteraient même pas ce qu’ils affichent sur leurs propres étiquettes, selon un rapport alarmant publié dans la plus récente édition de JAMA Internal Medicine.

Même les posologies affichées ne seraient pas toujours véridiques, certains suppléments renfermant plus de vitamine D que ce qu’annonce l’étiquette, alors que d’autres en contiendraient moins que prévu.

Les chercheurs en tête de l’étude sont spécialement inquiets de cette dernière affirmation, car ceux qui se voient prescrire ce genre de suppléments alimentaires ont le droit d’obtenir la dose requise.

« Il est plutôt difficile de faire une surdose de vitamine D. Par contre, ces conclusions peuvent être une source d’inquiétude pour ceux qui doivent prendre ces suppléments de vitamine D sur ordre du médecin et qui se retrouvent avec un produit qui n’en contient pas assez », explique la Dre Erin LeBlanc, du Kaiser Permanente Center for Health Research de Portland.

On veut que les compagnies productrices de ces produits fassent preuve de plus de rigueur. Au même moment, les apports nécessaires en vitamine D font l’objet d’une polémique.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.

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Le régime méditerranéen au service des diabétiques

Les gens qui souffrent du diabète pourraient eux aussi se tourner efficacement vers le régime alimentaire « méditerranéen », dont on dit beaucoup de bien.

Alors qu’il n’est pas conseillé qu’aux diabétiques, il appert que ce type de diète permettrait un meilleur contrôle sur cette maladie.

C’est du moins ce que conclut un rapport sur le sujet, rapporté par The National Library of Medicine. Ce type de régime est composé de légumes, de fruits et d’une foule de bonnes choses pour la santé, mais c’est l’huile d’olive et l’absence relative de viandes qui semblent créer cet impact positif.

L’huile d’olive (ainsi que le vin) est omniprésente dans les recettes et repas de type méditerranéen, et cela permettrait de faire baisser le taux de sucre dans le sang, en plus de faciliter une perte de poids.

Ces conclusions ont été tirées à la suite d’analyses sur divers groupes de patients aux prises avec le diabète de type 2. Après avoir étudié les types de régime alimentaire des différents groupes, c’est la diète méditerranéenne qui semble rapporter le plus de bienfaits.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.

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Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050

Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050, rapporte The National Library of Medicine, alors que des chercheurs américains publient une étude sur le sujet.

Il s’agit d’un constat alarmant s’il en est un, puisqu’on trace des prévisions sombres en matière d’Alzheimer dans les années à venir. 13,8 millions de personnes pourraient être atteintes de la maladie dans les prochaines décennies aux États-Unis seulement, une hausse explicable en partie par le vieillissement des baby-boomers.

« Notre étude attire l’attention sur le besoin urgent de plus de recherches, de traitements et de stratégies préventives pour contrer cette épidémie », croit la coauteure de l’étude et professeure associée Jenniver Weuve, du Rush University Medical Center de Chicago.

Plusieurs autres spécialistes, dont ceux du National Institute on Aging, croient qu’il s’agira en effet de l’épidémie de l’avenir, à mesure que la moyenne d’âge de la population augmente avec le temps.

Plusieurs traitements permettent de réduire les symptômes de la maladie d’Alzheimer, mais aucun ne permet d’en guérir.

Cependant, certaines percées encourageantes dans le domaine permettent d’entretenir l’espoir qu’un traitement sera finalement découvert ou mis au point.

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Des pierres aux reins causées par des suppléments de vitamine C?

De plus en plus d’études qui mettent en garde contre la prise de certains suppléments alimentaires sortent depuis quelque temps, et le rythme ne semble pas vouloir ralentir.

Cette fois, ce sont les suppléments de vitamine C qui sont ciblés, alors que The National Library of Medicine rapporte une étude suédoise qui trace un lien entre ceux-ci et plusieurs cas de pierres aux reins observés chez des sujets masculins.

Pour ces chercheurs, les gens qui ont des antécédents de pierres aux riens devraient réfléchir sérieusement avant de consommer des compléments alimentaires de vitamine C. Même chose pour les hommes qui ont un régime alimentaire déjà bien équilibré.

Le Dr Brian Matlaga, un urologue du Johns Hopkins Medicine de Baltimore, commente l’étude : « Je ne crois pas que je brandirais ceci en affirmant que vous ne devriez pas prendre de la vitamine C. Par contre, lorsqu’on interroge des patients aux prises avec ce genre de problème, on se rend souvent compte qu’ils consomment des produits non prescrits, comme des suppléments de vitamines. Il manque de preuve en ce moment pour démontrer de réels effets bénéfiques à la prise de suppléments ».

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Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire

Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log. Voilà une affirmation qui va en faire sourciller plus d’un.

Quiconque se trouve ou s’est déjà trouvé impliqué dans une relation amoureuse ou d’amitié avec une personne du sexe opposé vous dira probablement que l’adage qui prétend que les hommes et les femmes proviennent de deux planètes différentes est probablement vrai.

Pour les chercheurs de l’Université de Rochester, la plupart de ces « différences » relèveraient souvent plus du mythe que de la réalité.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la sexualité, ce qui a de quoi étonner. Il semble que les deux sexes recherchent souvent les mêmes choses en matière de vie sexuelle, et que beaucoup de stéréotypes et de tabous donnent une impression d’opposition.

Même chose concernant l’empathie et les émotions, que l’on attribue souvent plus à la femme qu’à son partenaire masculin. Or, pour Harry Reis, coauteur de l’étude, les hommes sont capables d’autant d’empathie que les femmes.

On croit que la communication peut s’avérer un élément clé pour mieux comprendre l’autre sexe et découvrir des faits étonnants. Il faudrait parler des différences entre hommes et femmes en tant que moyennes, et non en tant que certitudes.