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Les Québécois n’ont pas le réflexe oméga-3

Les Québécois sont réprimandés dans une nouvelle étude qui dévoile que ceux-ci ne mangent pas assez d’oméga-3, malgré toutes les campagnes vantant et rappelant leurs bienfaits sur la santé et l’organisme en général.

C’est dans le cadre du mois de la santé du cœur, en février, que différents spécialistes tiennent à faire ce rappel. Du lot, l’équipe d’Adrien Gagnon, le célèbre producteur de produits naturels, croit qu’il est important de rappeler aux Québécois que les oméga-3 peuvent améliorer grandement leur santé, et peut-être même leur sauver la vie…

Le constat québécois concernant les risques de maladies ou de problèmes cardiaques fait peur. En effet, on apprend que près de 9 Québécois sur 10 affichent des facteurs de risque cardiaque comme le tabagisme, l’inactivité physique, le surpoids, la haute tension ou encore des taux de mauvais cholestérol trop élevés.

Le résultat est qu’un décès sur trois (Canada) est causé par un problème cardiaque. On recommande donc de commencer l’activité physique et de mieux contrôler ce que l’on mange, mais aussi de veiller à consommer suffisamment de poisson (qui renferme ces fameux oméga-3).

Il est aussi possible de consommer des oméga-3 en suppléments, retrouvés un peu partout en magasin et en pharmacie.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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La chirurgie esthétique toujours aussi populaire

Des statistiques publiées par l’International Master Course on Aging Skin confirment que la chirurgie esthétique est toujours aussi populaire qu’avant, alors que l’industrie du remodelage humain connait même une progression.

Le Botox a toujours la cote, et plusieurs autres types d’interventions commencent aussi à gagner en popularité, rapporte La Presse.

Du lot, les injections diverses (lèvres, visage, etc.) sont en tête de liste des interventions les plus pratiquées et les plus lucratives. Le nombre de chirurgies au laser et aux ultrasons grimpe aussi en flèche, alors que celui des implantations mammaires demeure un peu plus stable.

On attribuerait cette dernière statistique au scandale des fameuses prothèses PIP, qui ont fait l’objet de controverses et de plusieurs rappels.

L’industrie de la chirurgie esthétique engrange des profits faramineux depuis maintenant plusieurs années, et sa progression semble exponentielle. On estime les profits de celle-ci à environ 6,5 milliards de dollars pour l’année 2012 uniquement.

L’Europe, l’Amérique du Nord et l’Asie contribuent grandement à faire grimper les chiffres et la moyenne d’interventions effectuées annuellement, alors que la mode du remodelage humain est à son plus fort. La pression est forte dans ces sociétés axées sur la beauté, la jeunesse et la performance, et les gens semblent de plus en plus enclins à prendre les grands moyens pour demeurer dans la course.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Une grenade qui fait maigrir

Vous aurez sans doute compris que l’on parle ici du fruit, qui a presque complètement perdu sa place dans le régime alimentaire nord-américain (comme bien d’autres excellents fruits et légumes, d’ailleurs).

Voilà que Top Santé rapporte une étude écossaise, effectuée à l’Université Queen Margaret d’Édimbourg, qui affirme que la grenade est une alliée de taille dans la lutte aux kilos en trop.

Il appert que cet aliment permet de mieux gérer sa faim et d’en ressentir beaucoup moins les effets.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les comportements de 29 sujets. Certains ont reçu des compléments de grenade à leur régime, alors que d’autres n’ont reçu qu’un simple placebo.

On leur demandait ensuite de se placer devant une bonne assiette de pâtes, alors que les chercheurs identifiaient les réactions de ces volontaires en les observant et par voie de sondages.

Les résultats semblent probants, à un point tel que les chercheurs peuvent affirmer que le groupe ayant reçu des suppléments de grenade ressentait moins la faim (12 % moins), se sentait plus satisfait après les repas (plus 16 %) et avait moins envie de manger constamment (21 % moins).

Avec de tels chiffres, la grenade n’a plus de raison de ne pas effectuer un grand retour dans votre assiette! On recommande les compléments et extraits de grenade, vendus dans plusieurs boutiques.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.

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Attention à l’abus d’acétaminophène!

La FDA américaine met en garde toute la population contre l’abus d’acétaminophène en cette saison froide.

L’association croit que beaucoup de gens sont en ce moment même en train de surconsommer ce médicament, souvent sans le savoir. Elle explique que plusieurs médicaments populaires renferment de l’acétaminophène, et pas simplement les fameux cachets contre la migraine et les maux de tête.

Donc, au final, une personne grippée ou enrhumée pourrait consommer plusieurs médicaments qu’elle croit dénués d’acétaminophène, à tort, pour ensuite avaler quelques cachets contre la migraine.

Ce cocktail explosif dépasse donc largement la posologie pour ce médicament, et les gens n’en sont souvent même pas conscients. Il faudrait choisir quel mal nous voulons vraiment soigner, et nous concentrer sur celui-ci.

Ici, donc, des deux maux, il faut choisir le pire!

Selon la FDA, plus de 600 médicaments et traitements sur le marché contiennent de l’acétaminophène. Il serait donc bien de lire les étiquettes et de consulter son pharmacien avant de consommer quoi que ce soit, surtout lorsqu’on prévoit aussi avaler des cachets contre le mal de tête.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.