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L’aspirine pointée du doigt pour des cas de cécité

L’aspirine possède de belles vertus, notamment celle de prévenir certaines maladies cardiaques à long terme. Plusieurs praticiens n’hésitent donc pas à recommander à leurs patients d’en consommer sur une base régulière.

Si cela ne s’avère pas un mauvais conseil en soi, basé sur ce que l’on sait de ses effets jusqu’à maintenant, l’aspirine pourrait également créer certains autres problèmes à long terme.

C’est ce que l’on comprend de l’étude américaine rapportée par The National Library of Medicine, qui pense pouvoir démontrer que la médaille possède bel et bien deux revers dans le cas de l’aspirine.

On parle notamment de cas de cécité ou de perte de vision qui apparaitraient chez certaines personnes qui utilisent le médicament quotidiennement. On note aussi que ces cas sont rapportés surtout chez les personnes vieillissantes qui en font l’usage depuis un bon moment.

Pour Jie Jin Wang, de l’Université de Sydney, il faut bien peser le pour et le contre : « Les risques de problèmes oculaires avec l’âge n’ont été découverts qu’il y a dix ou quinze ans. Il faut être vigilant dans le cas de l’aspirine, mais sans minimiser ses effets bienfaiteurs sur la santé cardiaque et le cœur en général ».

On conseille vivement de consulter son médecin avant de prendre de l’aspirine sur une base régulière, puis de penser à des solutions de rechange pour éviter les effets secondaires observables avec l’âge.

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Nouvelle recherche concernant les pilules de chimiothérapie

The National Library of Medicine rapporte des conclusions tirées d’une nouvelle recherche effectuée dans le dossier des pilules de chimiothérapie, une nouvelle façon de faire en oncologie.

Le premier constat parle d’une efficacité notable pour ce nouveau traitement, certains patients réagissant mieux à ce format qu’à celui intraveineux. De plus, il semble qu’il soit plus facile de cibler et combattre certaines formes de cancer avec cette chimiothérapie en pilules qu’avec la formule précédente.

Malheureusement, le principal problème avec cette méthode est que la posologie n’est souvent pas respectée. On constate que beaucoup de patients ne respectent pas les doses ou les recommandations, ce qui vient fausser les données et les traitements.

De plus, certains effets secondaires ont été observés, notamment des douleurs, des nausées, de la diarrhée, de la fatigue et des réactions cutanées. Ceci n’est rien pour aider les patients à respecter les règles établies, puisque plusieurs décideraient de « sauter » des doses afin d’éviter certains de ces désagréments.

« Les prescriptions pour ces pilules comprennent des instructions souvent complexes. Certaines d’entre elles demandent aux patients de prendre les comprimés plusieurs fois par jour, puis une seule, puis d’arrêter le traitement, pour enfin reprendre de multiples doses quotidiennement. Ça peut devenir très compliqué, surtout pour ceux qui subissent plusieurs traitements en même temps », lance l’auteure en chef de l’étude, Sandra Spoelstra.

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Deux fois plus de visites à l’urgence en lien avec les boissons énergie

C’est un constat alarmant que nous rapporte The National Library of Medicine, alors qu’un sondage gouvernemental américain révèle que les visites en urgence à la suite de la consommation de boissons énergisantes sont en hausse… du double.

Si l’on pouvait prendre avec un grain de sel les recommandations et avertissements concernant ces boissons jusqu’à présent, cette recherche démontre qu’il faudra démontrer plus de sérieux dans ce dossier.

Entre 2007 et 2011, les visites dans les urgences des différents hôpitaux sur le territoire américain sont passées de 10 000 à 21 000. Plus de la moitié de ces visites l’an dernier étaient exclusivement reliées aux boissons dites énergisantes, alors que la balance, 42 %, se rapportait aussi à des prises de drogue ou d’alcool.

Bien entendu, il n’est pas surprenant d’apprendre que ces cas touchent particulièrement les adultes et les adolescents, friands de ce type de produits.

Les spécialistes mettent en garde la population non seulement à cause de la caféine que renferment ces boissons, mais aussi (et surtout) à cause des autres ingrédients qu’elles contiennent.

Plusieurs doubles effets sont donc à prévoir, et cela peut même signifier un décès pour certaines personnes aux prises avec des conditions particulières.

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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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Les petits fruits à la rescousse de votre santé cardiaque

Une toute nouvelle étude américaine vient saluer les vertus des petits fruits dans la prévention des maladies du cœur, rapporte Top Santé.

Ce sont des chercheurs de Harvard qui proposent ces conclusions, qui feront le bonheur des fanatiques de fraises, bleuets, framboises, mûres et autres petits fruits.

Comme Harvard ne fait jamais rien à moitié, les membres de l’équipe ont analysé les cas de près de 94 000 patientes âgées de 25 à 42 ans. Elles ont été suivies durant 18 ans et elles devaient répondre à plusieurs questions et sondages sur une base régulière.

Pour ces spécialistes de la prestigieuse université, il est évident que la consommation de fraises et de bleuets est hautement bénéfique pour la santé, plus particulièrement pour le cœur.

« Nous avons calculé que les femmes qui mangeaient des fraises et des bleuets au moins trois fois par semaine avaient 32 % moins de risques de souffrir de problèmes cardiaques que celles qui en mangeaient moins d’une fois par mois », lance le Dr Eric Rimm.

Les chercheurs notent également les effets à long terme de ces fruits. En effet, ils semblent que les gens qui en consomment dès leur jeune âge voient leur protection être efficace encore bien des années plus tard.

Cette étude devait d’abord statuer sur les effets des petits fruits sur la santé cardiaque des femmes, mais ils s’appliqueraient aussi aux hommes.

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.

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L’aspartame blanchi par les autorités européennes

Des conclusions de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, rapportées par Top Santé, risquent fort de créer de vifs débats en matière de santé et de nutrition.

Les spécialistes européens viennent de « blanchir » l’aspartame, cet édulcorant utilisé notamment dans les boissons gazeuses et la gomme à mâcher pour remplacer le sucre.

Ils concluent donc que l’aspartame n’est d’aucun danger pour la population et les consommateurs, ce qui s’avère un brusque virage d’opinion. L’aspartame est considéré depuis longtemps comme un puissant ennemi de la santé, ce qui pourrait s’avérer un mythe.

L’étude semble étoffée, et des tonnes de documents connus ont été épluchées et analysées afin d’en venir à ce constat final.

« … pas de problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux actuels d’exposition », affirme l’équipe de chercheurs.

Ces derniers expliquent qu’avec les niveaux d’aspartame contenu dans les différents produits offerts sur le marché en ce moment, il faudrait une consommation inouïe, et ce, tout au long de la vie d’une personne, pour arriver à des seuils de toxicité dangereux.

L’Agence met toutefois en garde les femmes enceintes contre ces produits, et suggère de les éviter pendant la grossesse.

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »