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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Cesser de fumer permettrait de réduire le stress

Une nouvelle étude rapportée par topsante.com parle des effets bénéfiques de l’arrêt du tabagisme sur la santé, notamment en ce qui concerne le stress.

On explique d’abord que les vertus antistress que l’on prête souvent à la cigarette sont fausses, puisque celle-ci est un excitant.

Les gens qui prétendent fumer pour se détendre ou qu’une « bonne cigarette » les aide à se détendre ou à réfléchir seraient dans l’erreur, ou du moins victimes d’un effet placebo.

Pour prouver leur théorie, les chercheurs britanniques en tête de l’étude ont analysé les cas de 500 fumeurs qui tentaient d’arrêter cette vilaine habitude.

Du nombre, 68 ont véritablement réussi à écraser, et on a remarqué chez ces sujets une baisse radicale du niveau de stress perçu et ressenti. Cet effet serait plus facilement vérifiable près de six mois après l’arrêt complet du tabagisme, mais n’en demeure pas moins tout à fait réel.

Pour les chercheurs, une équipe formée de spécialistes d’universités réputées comme Cambridge, Oxford et le King’s College, il s’agit d’une preuve qui corrobore leur théorie initiale.

Cesser de fumer réduirait donc le stress et augmenterait par conséquent l’espérance de vie sur deux tableaux.

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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Meilleures chances de survie en Colombie-Britannique

Les rois de la longévité au Canada en 2011-2012 sont les gens de la Colombie-Britannique, annonce Radio-Canada.

On rapporte une étude du Bureau de l’état civil de la Colombie-Britannique sur le sujet, qui parle d’une légère augmentation de l’espérance de vie moyenne dans la province de l’Ouest, passant de 81,7 ans à 82 ans tout juste.

L’étude propose plusieurs chiffres sur la vie et la mort des citoyens canadiens. On y apprend notamment, et tristement, que le cancer est toujours la cause numéro un de mortalité en Colombie-Britannique, tout comme dans toutes les autres provinces canadiennes.

On note cependant que les taux de mortalité concernant le VIH et le SIDA sont encore en baisse, avec 59 décès en 2011.

La population de la Colombie-Britannique a aussi augmenté, avec un gain de 31 776 citoyens, toujours selon l’étude.

Ces recherches sont effectuées chaque année afin de compiler le plus de statistiques possible sur la mort, les causes de mortalité, la vie ainsi que sa qualité, et les variations de population, afin de mieux réagir aux problèmes sociaux, notamment en santé.

L’espérance de vie ailleurs au Canada était de 80,8, en moyenne, en 2010.

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Le QI ne mesurerait pas l’intelligence avec précision

Le QI, pour quotient intellectuel, est cette unité de mesure qui sert à déterminer la force de votre intelligence, qu’elle soit faible, moyenne ou au-dessus de la masse.

Utilisée depuis longtemps, elle plait à ceux qui ont de bons scores, alors que ceux qui obtiennent de moins bons résultats sont enclins à critiquer la méthode, on le comprendra.

Ceux-ci peuvent toutefois se réjouir d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par topsante.com, qui prétend que l’unité de mesure connue sous le nom de « quotient intellectuel » ne serait pas précise et ne permettrait pas de définir réellement l’intelligence globale d’une personne.

C’est que selon les chercheurs britanniques en tête de l’étude, il faudrait au minimum trois tests différents pour arriver à un résultat concret. Des facteurs comme la mémoire à court terme, le raisonnement et les compétences verbales, notamment, devraient aussi être pris en compte dans l’évaluation de l’intelligence.

De plus, des tests sur le cerveau effectués par l’équipe de chercheurs ont démontré l’existence de trois types d’intelligence qui s’appuient sur différentes zones cérébrales.

Pour eux, il faut revoir radicalement la façon dont on analyse l’intelligence humaine.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le magazine Neuron.

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Un rapport sur le vieillissement en santé déposé au Nouveau-Brunswick

Les autorités du Nouveau-Brunswick ont mandaté un groupe d’experts pour déterminer les meilleures façons de garder sa population vieillissante en bonne santé le plus longtemps possible.

Le rapport a finalement été déposé cette semaine et souligne plusieurs actions possibles afin de donner une meilleure qualité de vie aux aînés, rapporte Radio-Canada.

Entre autres, on parle des soins et de la résidence à domicile, qui seraient de loin préférables à l’institutionnalisation ou la vie en résidence, surtout du point de vue psychologique.

« Le Nouveau-Brunswick est la province où les gens de 65 ans et plus sont les plus âgés. Il faut faire quelque chose, avoir un plan pour l’avenir. Il faut trouver un moyen où les gens pourront demeurer chez eux plutôt que d’être au foyer de soins. La province n’a pas les moyens de construire des foyers de soins à tout jamais, malgré que 97 % des gens demeurent dans leur résidence. C’est une stratégie globale. On parle par exemple de transport, de logement, il faut avoir la collaboration de tous les groupes », lance Pierre LeBouthillier, porte-parole du groupe de chercheurs et d’experts dont il fait partie.

Il veut aussi que le gouvernement crée un comité sur la question, afin d’effectuer un suivi du dossier au fil de la prochaine décennie. D’autres rapports et recommandations sur le sujet sont donc à prévoir.

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Le stress aussi dangereux que la cigarette

Peu importe le nombre d’études qui sortent concernant les effets et dangers du tabagisme ou d’une mauvaise alimentation, un autre facteur commun serait aussi néfaste que les autres : le stress.

C’est ce que confirme une nouvelle étude sur le sujet, que rapporte topsante.com. Les chercheurs de l’Université Columbia en tête de l’étude affirment que les gens stressés nuisent à leur cœur, de la même façon que s’ils consommaient l’équivalent de cinq ou six cigarettes par jour.

L’étude en question analyse et compile les résultats de six autres études précédentes, qui confirment toutes cet état de fait.

Les conclusions des chercheurs sont publiées dans la plus récente édition du Journal of Cardiology et parlent d’un risque d’accident ou de maladie cardiaque accru de 27 % chez les gens qui affirment ressentir du stress sur une base quotidienne.

Bien entendu, le corps humain est capable de tolérer un certain degré de stress, mais si celui-ci devient très intense et régulier, c’est-à-dire que vous le vivez chaque jour, il vous faudra certainement réviser certains aspects de votre vie.

Après tout, il en va de votre santé cardiaque… et mentale!

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Potins

Le père d’Amy Winehouse est furieux contre les enquêteurs

La défunte chanteuse Amy Winehouse avait été retrouvée sans vie à son appartement en juillet 2011. Elle n’avait que 27 ans et aurait subi un empoisonnement dû à l’alcool.

Cependant, on apprend que l’assistante du coroner n’avait pas les qualifications jugées nécessaires pour analyser la cause du décès.

Le nouveau coroner par intérim souhaite faire entendre à nouveau les résultats de l’analyse des preuves. Le rapport se fera le 8 janvier 2013 à la Cour du coroner de St. Pancras, à Londres.

Mitch Winehouse, 61 ans, est déjà à bout de nerfs à cause du déroulement de la première enquête. « Il y a eu tellement d’embrouilles. Premièrement, le rapport du coroner avait été envoyé à la mauvaise adresse, et la personne qui l’a reçu a tenté de le vendre. »

Normal qu’il soit furieux de devoir à nouveau ressasser la dernière année. « Ensuite, il y a cette question d’invalidité du coroner. L’homme a mis sa femme responsable du dossier, même si elle n’était pas qualifiée », a poursuivi Winehouse, frustré.

FemaleFirst rappelle que dès que l’information a été dévoilée au grand jour, Suzanne Greenway, assistante et épouse du coroner, Dr Andrew Reid, a été démise de ses fonctions. Le Dr Reid a également dû démissionner.