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Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.

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Blessures au hockey : changer les règles serait plus efficace que la prévention

Une étude canadienne conclut que pour éviter les blessures au hockey, ou à tout le moins en réduire le nombre, il serait plus efficace de carrément changer certaines règles en place.

Les chercheurs canadiens arrivent à cette conclusion de façon générale, mais aussi plus précisément dans le cas des joueurs juniors et des plus jeunes.

Ainsi, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, la prévention concernant la violence au hockey ne fonctionne pas vraiment. L’intensité du sport et la pression de gagner feraient en sorte qu’on oublie rapidement les notions de respect et de prévention…

On prône donc plutôt l’ajustement de certains règlements, notamment en ce qui concerne les mises en échec.

Le Dr Michael Cusinamo, auteur en chef de l’étude, explique : « Il est très clair que, selon ce que nous savons, lorsqu’on change ou resserre la règlementation et que l’on envoie un message clair que certains gestes ne seront pas tolérés, il est possible d’abaisser les taux de blessures. On pourrait voir de trois à douze fois moins de blessures qu’en ce moment ».

Les blessures au hockey, notamment les commotions cérébrales, font l’objet de plusieurs débats chauds en Amérique du Nord.

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Le café en renfort dans la lutte au diabète

Le café connait une bonne période, alors que les études qui font l’apologie de ses vertus sont de plus en plus nombreuses.

Elles contredisent un peu la vague précédente d’études qui mettaient en garde contre les effets néfastes du café. On sait maintenant que les antioxydants présents dans le produit sont excellents pour la santé, notamment pour la prévention de plusieurs cancers.

Santelog.com nous apprend maintenant que la caféine permet aussi aux gens à risque de développer du diabète de s’en protéger. Ainsi, trois ou quatre tasses de café par jour ne seraient pas néfastes, mais pourraient prévenir l’apparition de la maladie.

Étonnant de constater que les chercheurs parlent de « consommation modérée », alors qu’ils suggèrent trois ou quatre tasses quotidiennement. Des études récentes conseillaient de ne pas dépasser trois portions par jour, maximum.

Les spécialistes présents lors du congrès 2012 de la WCPD (Prevention of Diabetes and Its Complications) persistent et signent : les gens qui consomment régulièrement du café auraient 25 % moins de chance de développer du diabète.

On prête également au café des vertus antidépressives et anticancer, en plus de ses propriétés qui protégeraient contre certaines maladies cardiovasculaires et métaboliques.

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Le poisson : oui, mais attention au mercure

Les études et suggestions provenant de nutritionnistes de partout qui conseillent de manger beaucoup de poisson sont un peu contredites par un rapport qui met en garde la population mondiale contre les dangers du méthylmercure.

Cet élément serait très présent dans les produits de la mer et peut avoir un effet néfaste sur la santé, notamment sur le cerveau.

On le sait, les poissons contiennent des oméga-3, éléments importants pour l’organisme et la prévention de plusieurs maladies. Or, cet effet pourrait être contrecarré par les taux de mercure qu’ils contiennent.

C’est du moins ce qu’affirme une coalition internationale, qui comprend pas moins de 94 organisations, dans un rapport déposé et rapporté par Santelog.com.

Les spécialistes veulent sensibiliser la population au problème, avant qu’un accord officiel soit signé. On attend justement la ratification d’un traité international par les Nations Unies, qui devrait légiférer dans le dossier.

Le traité devrait être finalisé pour janvier 2013.

D’ici là, on parle de consommer le poisson de façon raisonnable. Le rapport des bienfaits des oméga-3 comparativement aux effets néfastes du mercure est encore à définir. Les chercheurs croient que plusieurs autres études seront nécessaires pour savoir si un argument l’emporte sur l’autre.

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Dormir plus pourrait vous rendre plus tolérant à la douleur

Voici une nouvelle qui ravira les grands dormeurs de ce monde. En effet, si vous cherchiez de nouvelles excuses pour faire la grasse matinée, Topsante.com rapporte une étude qui s’adresse à vous.

Elle s’adresse également aux personnes qui ont un seuil de tolérance à la douleur peu élevé, puisqu’elle conclut que deux heures de sommeil supplémentaires par nuit pourraient vous rendre moins sensible à la douleur.

La National Sleep Fondation, dont les conclusions ont été publiées dans le magazine Sleep, explique que dormir sept à neuf heures par nuit favorise non seulement la performance, mais aussi la résistance à la douleur.

L’équipe de chercheurs en tête de l’étude a analysé les cas de 18 jeunes adultes de 18 à 35 ans, dont 9 devaient dormir deux heures de plus qu’à leur habitude, alors que l’autre moitié conservait le même rythme.

On leur faisait ensuite passer des tests de douleur, pour finalement conclure que les sujets qui avaient dormi davantage devenaient plus résistants à la douleur, parfois même jusqu’à 25 % plus que les autres.

Pour terminer, on rappelle que d’autres études ont précédemment conclu qu’un sommeil suffisant et de qualité permet de conserver plus facilement un poids santé ainsi que de meilleures performances quotidiennes au travail.

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Le régime alimentaire des Américains bien en deçà des normes prescrites

Les autorités et associations américaines pour la santé doivent certainement commencer à être découragées par le comportement de leurs concitoyens, alors qu’une nouvelle étude vient encore confirmer que les Américains ne respectent pas les normes alimentaires prescrites par leurs propres spécialistes.

Ainsi, www.nlm.nih.gov rapporte qu’une récente étude sur le sujet démontre un manque flagrant de conscientisation alimentaire chez l’Américain moyen.

Cependant, les conclusions donnent tout de même de bonnes notes aux gens plus âgés, aux femmes ainsi qu’aux enfants, quoique les résultats demeurent décevants. C’est donc particulièrement inquiétant dans le cas des hommes d’âge moyen, qui ne semblent pas se soucier outre mesure de ce qu’ils avalent.

L’étude analysait les comportements alimentaires de 8272 Américains et proposait un système de pointage. Pour chaque aliment suggéré par l’Association (comme les fruits, les légumes, les noix, le poisson, etc.), on accordait des points. Seules les personnes âgées ont obtenu la note de passage, et de peu (65 %).

Gary Bennett, chercheur à l’Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, conclut en affirmant : « Je crois qu’il s’agit d’une étude importante, parce qu’elle démontre clairement ce que nous avons suspecté depuis longtemps : il existe des disparités profondes dans les régimes alimentaires des Américains. La diète américaine en soi doit s’améliorer ».

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La mode est au Ritalin chez les universitaires, ce qui inquiète les autorités

Une tendance déplorable des dernières années dans les écoles du pays, notamment au Québec, est de consommer du Ritalin afin d’être bien prêt et concentré pour ses examens.

L’importance de ne pas « couler » est grande, et la pression de réussir est forte, on le comprend. En associant ce principe au phénomène de la popularité grandissante des médicaments contre les troubles de l’attention comme le Ritalin, vous avez un cocktail potentiellement explosif.

Radio-canada.ca confirme les craintes des autorités, rapportant que des professionnels de la santé d’Halifax ont décidé de bouger dans ce dossier.

Ils lancent donc une alerte s’adressant aux étudiants qui ont développé cette habitude, rappelant que des effets secondaires sont possibles à long terme. La dépendance est aussi fréquente chez les utilisateurs de Ritalin (et d’Aderral), le médicament agissant un peu comme la cocaïne sur l’organisme.

Les autorités de la santé d’Halifax rappellent également que la drogue est trop facilement accessible sur le marché, entre autres à cause des nombreuses ordonnances émises par les praticiens.

Il s’agit d’un dossier qui prend de l’ampleur depuis un bon moment déjà, mais les autorités commencent à peine à parler du problème.

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.

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Les suppléments à base de levure de riz rouge : attention

Topsante.com rapporte qu’une alerte a été lancée par plusieurs associations concernant certains suppléments alimentaires à base de levure de riz rouge.

C’est que, selon les experts, la plupart de ces produits ne sont pas seulement « inutiles », mais peuvent également représenter un danger pour l’organisme.

Recommandés pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang, certains de ces suppléments ne contiendraient pas les doses nécessaires de la molécule qui permet de faire baisser ces taux. Le traitement s’avère donc inefficace.

En contrepartie, d’autres compléments du genre (toujours à base de levure de riz rouge) contiendraient des doses trop importantes, représentant ainsi un véritable danger pour le consommateur.

On suggère fortement de consulter son médecin avant d’entreprendre un tel traitement, et les associations (notamment en Europe) veulent que les autorités légifèrent en la matière.

On souhaite que les dangers reliés à ces suppléments soient dévoilés et officialisés, et que les compléments qui ne contiennent pas les doses suffisantes de la molécule monacoline K ne soient plus recommandés comme traitement pour le cholestérol.

Selon les spécialistes, il est important de corriger le tir et de transmettre ces informations au public.