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Le restaurant des parents de Lady Gaga – rapport d’insalubrité

M. et Mme Germanotta, selon Starpulse, sont furieux de la note accordée par les inspecteurs du département de la santé de la ville de New York. Leur restaurant, le Joanne Trattoria, situé dans le West Side de Manhattan, a reçu la cote « C », soit la pire que peut obtenir un établissement.

Selon les inspecteurs, il y a de nombreuses violations des normes d’hygiène et de salubrité. Celles-ci sont d’ailleurs exposées sur le site Thesmokinggun.com, qui aurait obtenu le rapport officiel.

Les Germanotta souhaitent une révision du rapport, et pour ce faire, ils iront en cour pour plaider leur mécontentement.

Entretemps, espérant que ce ne soit pas dû aux petits plats pour emporter du Joanne Trattoria, Lady Gaga a vomi sur scène à Barcelone ce weekend. Bien loin de New York à l’heure actuelle, la méga star ne sera pas en mesure de venir en aide à ses parents.

Bien qu’elle ait tenté de se détourner du public pour passer inaperçue, Gaga a ressorti l’intégralité de son dernier repas en plein spectacle. Sitôt le malaise passé, elle a repris la chanson. Espérons qu’elle avait éloigné son micro.

Plus tard, sur Twitter, la chanteuse riait d’elle-même. « J’espérais que personne ne m’ait vue, mais si vous voulez rire, c’est l’occasion de le faire! »

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De plus en plus de Canadiens prennent l’avion aux États-Unis

Selon un rapport du Conference Board du Canada, environ 5 millions de Canadiens traversent la frontière pour aller prendre l’avion dans un aéroport américain chaque année. La raison est simple : les vols sont environ 30 % moins chers chez nos voisins du Sud, à cause de différents facteurs allant des taxes aux salaires de la main-d’œuvre.

La différence entre le prix d’un billet d’avion au Canada et aux États-Unis est attribuable à des frais et des taxes dans une proportion d’environ 40 %. Le Conference Board estime que même des réductions mineures dans les prix pourraient influencer les Canadiens à rester au pays pour prendre l’avion et ramener environ 2 millions de passagers par année.

Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, s’est dit « préoccupé » par la situation, ajoutant que le ministre des Transports, Denis Lebel, « est en train de travailler sur un projet de consultation avec les transporteurs aériens et les autorités responsables des aéroports pour voir ce qu’il est possible d’accomplir », tel que rapporté par le Huffington Post.

« Le fait que les aéroports les plus importants du Canada perdent des passagers au profit de leurs compétiteurs de l’autre côté de la frontière est significatif, parce que cela réduit leur rôle en tant que plaques tournantes du trafic aérien national et international. Lorsqu’un aéroport canadien réduit sa fréquentation, cela peut mener à une diminution des vols, à une augmentation des coûts et à de moins bons services pour tous les Canadiens », a affirmé David Stewart-Patterson, le vice-président du Conference Board pour les politiques publiques.

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Europe : où se baigner pour une eau de bonne qualité?

En regardant la liste des sites de baignade de l’Union européenne, les vacanciers pourront choisir presque n’importe quelle destination pour se mettre à l’eau sans inquiétude.

En effet, selon le rapport, il y a plus 92,1 % des eaux de baignade de l’Union européenne qui satisfont les normes de qualité minimales établies par la directive sur les eaux de baignade, rapporte l’Agence France-Presse.

En fait, 77,1 % des endroits, soit 3,5 % de plus qu’en 2011, ont droit à une eau d’excellente qualité qui répond aux normes les plus sévères.

Dans la catégorie « satisfaisante », on retrouve 93,1 % de sites, soit une hausse de 1 % par rapport à l’an dernier.

Quant aux lieux non conformes aux normes, où il vaudrait mieux ne pas plonger tête première, on n’en compterait que 2 % qui font partie de l’Union européenne.

Ce sont surtout les eaux intérieures de sites des Pays-Bas, de la Bulgarie, de la Lettonie, du Luxembourg et de la Belgique qui laisseraient à désirer.

Alors que Chypre, Malte, la Grèce et la Croatie brillent par leur rapport d’excellente qualité de leurs eaux, l’Espagne, l’Italie et le Portugal suivent également de près.

En résumé, les vacanciers n’ont aucun problème à privilégier l’Europe pour faire de la plage cet été, car l’eau de plus de 90 % des sites populaires du continent est « satisfaisante », conclut le rapport.

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L’avortement est-il perçu comme un moyen de contraception?

Celles qui ont recours à l’avortement à répétition ont souvent déjà plusieurs enfants à leur charge, sont sur le chômage ou vivent des situations instables dans leur vie personnelle ou relationnelle, indique un précédent rapport de l’Observatoire régional de la santé de Bourgogne paru en 2005.

Le taux d’interruption volontaire de grossesse (IVG) répétée augmenterait d’ailleurs avec l’âge, révèle un nouveau rapport du National Health Service britannique, qui vient de mettre en garde la population quant à l’utilisation de l’avortement comme simple moyen de contraception.

En effet, selon les dernières statistiques, le nombre d’IVG à répétition pratiquées au Royaume-Uni serait passé de 30 % en 2000 à 34 % en 2010.

Il semblerait que le pays dépense l’énorme somme d’un million de livres par semaine pour mettre volontairement un terme à des grossesses non désirées.

Avec un taux de 35 % d’avortements répétés, le problème est également à prendre en considération en France, selon le rapport.

Malgré des statistiques déplorables et un portrait typique des femmes qui sont le plus susceptibles d’avoir recours à l’IVG répétée, le document ne fait pas état des raisons et motivations qui peuvent pousser les femmes à mettre un terme à leurs grossesses.

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Le Québec a maintenu son baby-boom en 2011

Selon un rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), le Québec a ouvert ses bras à 88 500 nouveau-nés en 2011, soit un nombre similaire à 2010 (88 300), indique le récent bulletin Coup d’oeil sociodémographique de l’ISQ qui analyse le taux synthétique de fécondité des Québécoises.

Selon les données, dont certaines doivent encore être confirmées par l’ISQ, la tendance se maintient en ce qui a trait à l’âge auquel les femmes tombent enceintes et au nombre de naissances.

L’âge moyen de la maternité a franchi la barre de la trentaine en 2011. Il est ressorti de ce rapport que l’âge moyen de la mère lorsqu’elle avait un premier bébé était de 28,3 ans.

Le taux de fécondité des femmes de plus de 40 ans (10 sur mille) a dépassé celui des 15 à 19 ans (9 sur mille). Cette dernière donnée démontre que le taux de grossesses à l’adolescence n’a jamais été aussi bas.

La région de Montréal détiendrait le taux de fécondité le plus bas avec 1,5 enfant par femme. Quant à la Côte-Nord, l’Abitibi-Témiscamingue et Chaudière-Appalaches, elles grimpent sur la première marche du podium avec un peu plus de deux enfants par femme.

En 2011, il y a eu plus de garçons (45 300) que de filles (43 200) qui sont venus au monde, et dans 63 % des cas, les petits Québécois sont nés hors mariage.

Au cours de la dernière décennie, le baby-boom québécois a été à son apogée entre 2005 et 2008.

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Allaitement : 6 mois, c’est trop long

Au Royaume-Uni, l’allaitement ne fait pas fureur. Dans un nouveau rapport, des mères britanniques donnent leur point de vue concernant l’idéal fixé par l’Organisation mondiale de la santé qui dit que l’allaitement maternel pendant six mois a des avantages considérables pour la santé, tant pour les mères et les bébés.

Pour elles, tant et aussi longtemps que de nouveaux objectifs et délais ne seront pas instaurés ou modifiés dans les recommandations de la santé, elles n’allaiteront pas, arguant que l’allaitement consiste en une pression inutile, une frustration et une fausse image de ce que les spécialistes de la santé laissent croire.

« On ne nous prépare pas à la réalité, on nous fait sentir coupable et on nous juge si on n’allaite pas », plaignent-elles.

D’autres femmes interrogées se sont empressées de dire que la plupart du temps, ces femmes n’avaient pas été bien soutenues et entourées et qu’elles étaient du type à abandonner facilement et faire une montagne avec peu.

Quant aux auteurs de l’Université d’Aberdeen, ils encouragent les médecins à une plus grande attention sentimentale offerte aux couples, au lieu de se concentrer uniquement sur la technique de l’allaitement. De plus, ils croient que si les objectifs étaient réduits à moins de mois d’allaitement, les parents persisteraient davantage dans ce mode d’alimentation.

Les chercheurs rappellent que le rapport ne se veut pas « anti-allaitement ». « Nous soutenons qu’il est temps de revoir ce débat pour l’alimentation du nourrisson, si nous voulons concevoir et offrir des interventions efficaces pour améliorer les résultats d’alimentation des nourrissons et des résultats de santé ultérieurs des générations futures. »

Les résultats de l’étude — réalisée auprès de 36 femmes, de leur partenaire et leur entourage familial et médical, entre le dernier mois de la grossesse et le sixième mois de la vie du bébé – ont été publiés dans le BMJ Open Journal.

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Autisme : adieu à la psychanalyse

L’approche comportementale dans la prise en charge de l’enfant autiste est une meilleure alternative dorénavant préconisée par les autorités.

« L’absence de données sur leur efficacité et la divergence des avis exprimés ne permettent pas de conclure à la pertinence des interventions fondées sur les approches psychanalytiques et la psychothérapie institutionnelle », peut-on lire dans le rapport de 50 pages témoignant de l’opposition à cette forme de traitement.
 
La psychanalyse et ses diverses méthodes — comme celle du packing qui consiste à envelopper un enfant autiste dans un linge humide, puis dans un drap sec et dans deux couvertures chaudes, dans le but de lui procurer une sensation de bien-être — ont été chaudement catégorisées d’interventions globales « non consensuelles » par les dirigeants.
 
Le rapport indique qu’une approche éducative et un suivi du développement du comportement précoce devraient être sans plus tarder l’unique manière de « traiter » l’autisme. Cela devrait également se faire avant le quatrième anniversaire de l’enfant pour lui assurer la meilleure qualité de vie possible et lui venir en aide.
 
En France, ce rapport enlève un poids sur les épaules des parents d’enfants autistes et d’associations qui militaient depuis de nombreuses années contre les méthodes peu orthodoxes et vieux jeu de la psychanalyse.
 
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Suivi médical des mères et dés bébés : le Québec manque à l’appel

Dans un rapport déposé le 23 février à l’Assemblée nationale, le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois, met en avant-plan le manque et l’absence de suivi médical chez les femmes enceintes et les bébés, pendant et après la grossesse.

Avec la pénurie de spécialistes et le nombre de naissances grandissant, M. Salois propose que le Québec s’aide en s’outillant d’un réseau de cliniques du nourrisson qui permettrait d’offrir un meilleur encadrement, notamment lors du premier trimestre de grossesse qui s’avère très déterminant.

Ces cliniques rassembleraient en un endroit des personnes qui pourraient échanger, en privé ou en groupe, avec une personne-ressource pendant et après la grossesse. Selon lui, un site internet complet avec des informations sur la petite enfance et davantage de cours postnataux devrait être offert.

Le commissaire a interrogé 200 personnes, 49 familles et 27 experts, qui ont tous conclu que le Québec éprouve de grandes difficultés et ne fait pas de l’enfant sa priorité.

La province connaît une hausse du taux de natalité depuis quelques années. En 2010, 88 000 naissances ont d’ailleurs été enregistrées. On compte 500 000 enfants de 0 à 5 ans. Selon le rapport, il semblerait que seuls 68 % des bébés ont eu droit à des visites postnatales à la maison.

Pour le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui a pris connaissance du document, il n’y a pas place à l’inquiétude, car toutes les femmes finissent par avoir accès à un professionnel de la santé durant la grossesse. De plus, le taux de mortalité infantile au Québec est parmi les plus bas du Canada.

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Santé des enfants : le Canada ne fait pas si bonne figure

Le 10 janvier dernier, la Société canadienne de pédiatrie a dévoilé un rapport intitulé En faisons-nous assez?, question à laquelle elle répond non, en ce qui concerne la santé des enfants et des adolescents, et surtout des autochtones.

Des 30 pays les plus riches du monde, le Canada arrive au 20e rang pour ce qui est de la pauvreté des enfants. Le gouvernement devrait davantage aider les quelque 639 000 enfants vivant sous le seuil de pauvreté.

Pour le volet psychique, l’accès aux soins psychiatriques est nettement insuffisant au pays, alors que 14 % des Canadiens de moins de 20 ans ont un problème de santé mentale.

D’ailleurs, la Société canadienne de pédiatrie déplore également le manque de pédiatres, ce qui engendre dès le départ un mauvais suivi auprès des enfants.

Par contre, la bonne couverture vaccinale des enfants, le dépistage des problèmes auditifs chez les nouveau-nés et la lutte contre le tabagisme sont, quant à eux, des éléments qui permettent d’améliorer la réputation du pays.

Selon les auteurs du rapport, des lois devraient être mises au point, au Québec, pour empêcher la cigarette en voiture lorsqu’un jeune de moins de 16 ans s’y trouve, et le port du casque de vélo devrait être obligatoire. Les accidents de vélo provoquent la mort d’une vingtaine de jeunes Canadiens annuellement.

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Suicide : 40 % des enfants pensent à la mort

Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik a rendu public son rapport intitulé Quand un enfant se donne la mort, publié aux Éditions Odile Jacob l’automne dernier.

Il semblerait malheureusement que le mal-être gagne des enfants de plus en plus jeunes. « 40 % des enfants pensent à la mort tant ils sont anxieux et malheureux », se désole l’auteur.

Difficile à estimer, mais de 30 à 100 enfants se tuent chaque année, avance Boris Cyrulnik. « Avant l’âge de 13 ans, 16 % des enfants pensent que la mort pourrait être une solution à leurs problèmes de famille, d’école ou de relations amicales », indique-t-il.

Pour éviter que ces chiffres ne cessent de grimper, le neuropsychiatre suggère de repenser l’école, de renforcer l’aide parentale et d’être plus attentif à la vulnérabilité émotionnelle de l’enfant, et ce, dès sa naissance. De mauvaises ondes pourraient d’ailleurs être envoyées par le parent, même in utero.

Des raisons qui peuvent sembler si dérisoires pour l’adulte, comme un accrochage avec un parent, une mauvaise note scolaire ou une interdiction de manger des sucreries, pourraient pousser l’enfant à commettre le pire.

Ceux-ci utiliseraient en majorité des outils à proximité, comme se pencher par la fenêtre ou traverser la rue en courant pour passer à l’acte.

Deuxième cause de décès chez les jeunes de 16 à 25 ans, le suicide serait gravement sous-estimé par ces derniers.