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Agropur rappelle certains de ses produits Québon

Radio-Canada rapporte un important rappel de produits Québon, à savoir des laits et laits au chocolat, en provenance de Montréal.

Les produits visés sont ceux affichant les dates d’expiration du 1er, 2 et 3 novembre, et Agropur demande aux consommateurs d’être vigilants.

La compagnie lance cet avertissement en indiquant que les contenants de lait et de lait au chocolat visés n’auraient pas respecté les normes de qualité d’Agropur, sans toutefois en révéler davantage.

Quelques plaintes de la part de consommateurs ont été rapportées, mais on ne signale aucun problème de santé grave lié à la consommation de lait Québon jusqu’à maintenant.

La prudence est toutefois de mise, et l’entreprise invite les personnes ayant acheté ces produits à se présenter chez les détaillants pour se faire rembourser.

Voici la liste exhaustive des produits visés par le rappel :

– Lait blanc : cartons de 150 ml, 200 ml, 473 ml, 1 litre et 2 litres, et sachets de 4 litres, 10 litres, 20 litres, écrémé, 1 %, 2 %, 3,25 %.

– Lait au chocolat : cartons de 200 ml et 473 ml

– Lait blanc et chocolat : plastique de 473 ml et 2 litres, écrémé, 1 %, 2 %, 3,25 %.

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L’air officiellement cancérigène, selon l’OMS

C’est une véritable bombe que ce rapport de l’OMS, alors que l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement l’air ambiant comme une substance cancérigène, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

Alors que les cas de cancer semblent augmenter de façon constante, et ce, malgré les progrès stupéfiants de la médecine moderne et des sciences, on cherche à déterminer depuis longtemps les causes qui peuvent expliquer le phénomène.

L’une des théories persistantes est celle de l’air ambiant, respiré par tous, qui serait teinté de substances cancérigènes. Une théorie qui serait maintenant vérifiée et vérifiable, selon l’OMS.

« Notre tâche était d’évaluer l’air ambiant que tout le monde respire, plutôt que de mettre l’accent sur des polluants spécifiques. Les résultats de nos études pointent dans la même direction : le risque de développer un cancer du poumon est dramatiquement plus élevé chez les personnes soumises à la pollution de l’air », explique Dana Loomis dans un communiqué.

Bien entendu, cette notion est variable selon les régions du monde et la location géographique d’un individu, mais ces révélations ont de quoi décevoir et rendre pessimiste.

La Chine serait l’une des régions du monde les plus touchées par la pollution de l’air, à cause de son industrialisation effrénée, conclut aussi l’étude.

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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.

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La présence de pesticides dans le vin inquiète

Un nouveau rapport trace un portrait inquiétant et confirme la présence de pesticides dans plusieurs vins, rapporte Top Santé.

Le phénomène des pesticides n’échapperait donc pas au produit populaire, conclut l’étude effectuée sur pas moins de 92 vins embouteillés.

« Aucun vin n’échappe aujourd’hui à la pollution par les produits phytosanitaires appliqués sur les vignes », peut-on lire dans le rapport de l’étude, ce qui sème l’inquiétude chez plusieurs observateurs, dont ceux de l’association de consommateurs de vins UFC-QueChoisir.

Un constat effectivement inquiétant pour le commun des consommateurs et amateurs de vin, puisque le phénomène toucherait tous les types de vins, et ce, peu importe la gamme de prix.

Même les vins biologiques n’y échapperaient pas, toujours selon les chercheurs qui mènent l’enquête, ce qui ajoute à la montée spectaculaire des produits nocifs pour la santé retrouvés dans les produits alimentaires partout dans le monde.

Plusieurs enquêtes récentes ont révélé la présence de pesticides et d’éléments contaminés dans les eaux minérales embouteillées et les fraises, notamment.

La question qui se pose est la suivante : existe-t-il une solution pour inverser le cours des choses, ou le phénomène est-il devenu une réalité moderne incontournable?

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Recul confirmé du SIDA dans le monde, selon l’ONU

On annonçait récemment des statistiques qui tendaient à démontrer un recul du SIDA dans le monde, une affirmation qui se voit confirmée par un rapport présenté par l’ONU, selon Top Santé.

En effet, dans son rapport annuel sur l’état et la progression du virus du SIDA dans le monde, l’ONU reconnait non seulement ce recul par rapport aux années précédentes, mais parle également de « progrès spectaculaires ».

Une excellente nouvelle dans un dossier qui ne permet que rarement des pointes d’optimisme, ce que se permet justement maintenant l’Organisation des Nations Unies.  

« Le monde se rapproche de l’un objectifs du Millénaire pour le développement : l’épidémie de sida a été stoppée, et son cours s’est inversé. La course est engagée en direction de l’accès universel au traitement contre le VIH », a expliqué Michel Sidiblé, de l’ONUSIDA, lors du dépôt et de la présentation de ce rapport.

La meilleure nouvelle consiste en cette baisse observée des cas chez les enfants, soit de 52 % par rapport à 2001. Le combat se poursuit, mais il est maintenant permis de rêver…

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Prévenir l’E. coli directement à la source

Des chercheurs britanniques affirment qu’il serait possible d’abaisser les statistiques de cas d’éclosion de la bactérie E. coli de près de 85 %, rapporte The National Library of Medicine.

Pour y parvenir, l’équipe du spécialiste Stuart Reid,  basée à l’Université de Londres, croit qu’il faudrait enrayer le problème directement à la source, c’est-à-dire en vaccinant les animaux potentiellement porteurs de la maladie.

« Autant que l’on sache, le risque le plus élevé pour les humains provient de ces animaux qui portent la bactérie. Si le vaccin a un impact sur ces animaux, le risque pour les humains est proportionnellement réduit », explique Reid, qui parle bien sûr des bovins et des animaux destinés à finir dans nos assiettes.

Reid et son équipe poursuivent leurs explications en affirmant qu’il existe une période faste de prolifération de l’E. coli chez les bovins, et que c’est précisément lors de cette période qu’il faudrait agir massivement.

Si les vaccins permettent de réduire les risques de transmission de la bactérie de 50 %, Stuart Reid croit que le moment de l’opération peut faire grimper cette statistique à 85 %.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition du journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Un spécialiste demande des campagnes plus agressives contre le sucre

« La drogue qui crée la plus forte dépendance et la plus dangereuse de notre temps », lance un spécialiste de la santé néerlandais.

Une réplique accrocheuse et spectaculaire, reprise par le Telegraph (UK), et qui lance un véritable avertissement aux autorités de la santé à travers le monde en matière… de sucre.

L’auteur de cette déclaration est Paul van der Velpen, dirigeant du service de la santé d’Amsterdam, une ville pourtant réputée pour son ouverture d’esprit.

Mais c’est justement sur ce clou que frappe van der Velpen, affirmant que si les autres drogues sont nocives, elles le sont de façon connue et affirmée, contrairement au sucre qui fait des ravages dans l’ombre.

« Tout comme l’alcool et le tabac, le sucre est en fait une drogue. Il y a un rôle important pour le gouvernement. La consommation de sucre devrait être découragée, et les consommateurs devraient être mieux avertis des dangers », lance le spécialiste, mécontent.

Il suggère notamment de placer des avertissements sur les produits qui contiennent beaucoup de sucre, à l’image de ceux retrouvés sur les paquets de cigarettes.

« Ça peut sembler tiré par les cheveux, mais le sucre est la drogue la plus dangereuse de notre temps et s’acquière partout. Quiconque consomme du sucre en voudra davantage », poursuit van der Velpen, en conclusion.

Les plus avisés seront sans aucun doute d’avis que le dirigeant néerlandais marque un point fort intéressant.

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Le mélange de vodka et de Red Bull serait plus dommageable qu’on le croit

Un professeur spécialiste australien s’inquiète de la banalisation du phénomène vodka-Red Bull, qui consiste à mélanger les deux produits lors de fêtes bien arrosées afin d’obtenir une plus grande capacité de consommation.

Selon le professeur Peter Miller, explique le Daily Mail (UK), plusieurs études récentes ont banalisé les impacts potentiels sur la santé de ce genre de comportement, et se basent surtout sur des données de faible consommation (comme consommer un seul Red Bull et quelques verres).

Or, il croit que ceci ne reflète en rien la réalité, et qu’une nouvelle génération de fêtards empile plutôt verre après verre, encouragés par leur insouciance et le dépôt de ces études.

De plus, Miller souligne aussi qu’une portion non négligeable de ces recherches ont été financées… par Red Bull!

Avec la montée en flèche de la popularité des verres comme la vodka-Red Bull, Peter Miller s’indigne de cette désinformation et du manque d’études exhaustives sur le sujet. Il rappelle en terminant que ces boissons ne sont pas faites pour être mélangées, d’autant plus qu’on en sait très peu sur les réels impacts des boissons énergisantes à la base et en soi.