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Parents : les premiers soins à connaître

Quand on a des enfants, il nous est parfois nécessaire de se transformer en infirmier ou infirmière de fortune. C’est pourquoi il est essentiel de connaître la base des premiers soins afin de les prodiguer en cas d’incident. Certains de ces soins sont mentionnés sur She Knows.

La RCR, réanimation cardiorespiratoire, devrait être connue de tous, et non seulement des parents. Elle peut faire toute la différence alors que la victime attend l’ambulance. La Croix-Rouge et l’ambulance St-Jean offrent des formations reconnues.

Un empoisonnement peut être rapidement fatal. La chose à ne pas faire, à moins d’avoir reçu des indications contraires de l’intervenant lors de l’appel d’ambulance, est de donner de l’eau et de faire vomir la victime. Apprendre les différents signes d’empoisonnement pourrait sauver la vie de votre enfant.

Les piqûres d’insectes doivent être prises au sérieux. Ne jamais enlever le dard en tirant dessus. Grattez plutôt à l’aide d’une carte de crédit. Lavez l’endroit piqué et appliquez de la glace. Si le visage ou le cou est atteint, voyez un médecin.

En cas d’étouffement, l’âge de l’enfant déterminera la technique à appliquer. La manœuvre de Heimlich, par exemple, est réservée aux enfants de plus de 1 an.

Très communs aussi, les brûlures et les saignements de nez ont de quoi faire paniquer nos petits. Savoir comment les gérer avec assurance les calmera certainement.

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Importante découverte en matière de réanimation (RCR)

On croyait bien que les techniques de RCR (réanimation) étaient coulées dans le béton, c’est-à-dire qu’on ne pourrait pas vraiment les améliorer. Il semblait que la technique enseignée dans tous les cours de premiers soins prévaudrait.

Il semble toutefois que tout cela soit sur le point de changer, alors que plusieurs études viennent mettre en doute l’utilité du bouche-à-bouche lors des manœuvres de réanimation.

La plus récente en date est celle publiée dans la nouvelle édition du Journal of American College of Cardiology (JACC), rapportée par santelog.com, qui parle de taux de survie clairement plus élevé lorsque le RCR est pratiqué sans bouche-à-bouche.

On prône donc maintenant des manœuvres de compressions thoraciques uniquement, les spécialistes affirmant qu’ils sont en train de constater des hausses dans les taux de survie lorsque le bouche-à-bouche n’est plus dans le processus. On parle même de taux qui sont passés, dans certains cas, de 18 à 38 %!

On explique que dans les dix premières minutes d’un arrêt cardiaque, la compression thoracique permet d’imiter les battements du cœur et donc de maintenir le flux sanguin. L’aspect de l’aide respiratoire (bouche-à-bouche) ne serait pas prioritaire dans les tout premiers soins.

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.