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Reprogrammation de la mémoire : scandaleuse découverte au MIT

Des spécialistes du réputé MIT, le Massachusetts Institute of Technology, auraient découvert une méthode qui permet de « reprogrammer » la mémoire, notamment chez les rongeurs.

C’est l’effarante nouvelle rapportée par plusieurs sources aujourd’hui (26 juillet), notamment par Santé Log, à la suite de la publication de ces conclusions dans la plus récente édition du magazine Science.

Selon les chercheurs, il serait possible de créer de faux souvenirs dans le cerveau d’un individu (animal, pour l’instant)!

Qui plus est, ces souvenirs laisseraient le même type de traces ou d’empreintes que les souvenirs véritables, comme quoi il serait virtuellement impossible de les distinguer ou de les démontrer.

C’est après plusieurs tests poussés que les chercheurs du MIT sont parvenus à établir la réalité du phénomène chez les souris, bien entendu grâce à la science de la génétique, ce qui laisse croire que le même principe serait aussi possible chez les humains.

De quoi donner des munitions aux plus grands complotistes de ce monde!

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Lien entre l’hormonothérapie et le cancer des ovaires

Une recherche menée par des chercheurs de l’Université de Copenhague, au Danemark, a démontré que les femmes qui avaient été traitées à l’hormonothérapie au cours de la ménopause étaient plus à risque de développer un cancer des ovaires, comparativement aux femmes qui n’y avaient pas eu recours.

909 946 dossiers médicaux de patientes âgées de 50 à 79 ans ont été analysés par les scientifiques qui concluent que l’incidence de la maladie est en hausse de 44 % lorsqu’il y a hormonothérapie.

Plusieurs études antérieures se sont penchées sur les effets secondaires de la prise d’hormone pendant la ménopause et certaines d’entre elles mentionnaient que le risque de certains cancers augmentait. Le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’Organisation mondiale de la santé, a d’ailleurs classé les traitements hormonaux de substitution comme étant des produits cancérigènes en 2005.