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Prendre les allergies au sérieux

Une nouvelle étude démontre que les gens ne prennent trop souvent pas au sérieux le phénomène des allergies et les risques qui s’y rattachent. C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui fait part de ces recherches.

On apprend que le nombre de visites dans les urgences pour des conséquences dues aux différents types d’allergies est plus élevé qu’on pourrait le croire, et qu’il serait facile d’abaisser ce nombre par la prévention et la conscientisation.

Le phénomène le plus courant est appelé anaphylaxie, qui définit une réaction allergique causée par l’alimentation. Elle peut aussi survenir à la suite d’une piqûre d’insecte ou encore à la prise d’un médicament.

12 000 cas d’anaphylaxie ont été analysés aux fins de l’étude, et 25 % de ceux-ci en étaient de sévères. On déplore le fait que très peu d’entre eux avaient déjà consulté leur médecin pour cette question, ou encore un spécialiste en allergie.

Pourtant, on rappelle que les praticiens et experts du domaine peuvent grandement aider ces patients, et surtout leur procurer de l’épinéphrine (EpiPen).

Cette dernière est un antidote qui sauve des milliers de vies chaque année et qui devrait être possédé par chaque personne souffrant d’une allergie, suggère l’étude.

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Jalousie entre frères et soeurs, réaction saine ou pas?

Il est normal que vos enfants s’aiment un jour et se détestent le lendemain. Cela fait partie, selon le psychologue Marcel Rufo, de la « maladie d’amour » que représente la jalousie et la rivalité entre ceux-ci.

Ils apprennent à tracer leurs propres limites, à régler seuls leurs différends et surtout, à s’affirmer et à argumenter. Ce type de dualité est donc très sain.

La jalousie devient malsaine lorsque l’un des enfants s’isole ou ressent tout à coup un besoin excessif d’attention et de reconnaissance. Il faut alors que les parents interviennent.

Psychoenfants.fr rapporte que selon la pédopsychiatre Régine Scelles, il faut encourager les différences entre chaque enfant. Cela leur permet de développer leur plein potentiel et augmente par le fait même la confiance en leurs capacités.

Donc, il est préférable, plutôt que d’inscrire vos enfants, par exemple, à la même activité, de demander à chacun quels sont ses intérêts. Vous éviterez justement les accès de jalousie excessive.

Quant à la croyance selon laquelle un certain nombre d’enfants dans une même famille peut accentuer ou diminuer la rivalité et les disputes, elle semble fondée. Même si, en psychologie, on a toujours affirmé le contraire, une nouvelle étude aux États-Unis tend vers les chiffres impairs pour diminuer les conflits entre enfants.

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Les édulcorants changent la réponse cérébrale au sucre

Une étude américaine révèle que la consommation régulière d’édulcorants diminue la prédiction du cerveau face à la valeur énergétique des aliments. En d’autres mots, on finit par croire que les aliments sont moins caloriques qu’ils ne le sont en réalité, rapporte CEDUS.

26 personnes ayant en moyenne entre 24 et 25 ans ont participé à la recherche.

Elles ont bu 1 ml de sirop de saccharose à des concentrations diverses. Ensuite, le jour suivant, elles devaient boire sept fois de suite 1 ml de la concentration qu’elles trouvaient la plus sucrée et 1 ml de celle qu’elles considéraient la moins concentrée, en plus de 1 ml de liquide sans goût.

Chaque participant a eu des imager ies par résonnance magnétique de son cerveau. On a noté deux pics d’activité dans le cerveau lors des contrastes les plus importants, soit avec le sirop à forte intensité et le liquide sans goût.

On conclut donc que les édulcorants, qui ont le même goût que celui du sucre, mais sans ses calories, finissent par modifier la réponse cérébrale face à ce goût.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Prenez garde à certains aliments qui interfèrent avec des médicaments courants

Nous le savons, mélanger l’alcool et les médicaments peut avoir des effets néfastes sur la santé. Cependant, saviez-vous qu’il existe d’autres aliments qui peuvent rendre vos médicaments inefficaces ou en augmenter la dose à un niveau dangereux?
 
Le Daily Mail rappelle par exemple que les multivitamines peuvent ne pas être compatibles avec plusieurs médicaments. Les jus de fruits posent problèmes également, surtout le jus de pamplemousse si vous prenez des antiarythmiques, antidépresseurs, antihistaminiques ou encore des médicaments contre l’hypertension, le cholestérol et des antiépileptiques.
 
Le calcium des produits laitiers, quant à lui, se lie à la tétracycline et la minocycline des antibiotiques pour les affections de la peau, formant une masse insoluble dans l’intestin qui ne peut être absorbée par l’organisme.
 
Si vous prenez des médicaments contre l’asthme, vous devriez éviter les viandes grillées. D’autre part, les légumes verts qui sont riches en vitamine K favorisent la coagulation du sang. Des médicaments fluidifiants du sang deviennent donc inutiles.
 
L’essentiel est de demander à votre médecin les interférences possibles de vos médicaments afin d’éviter les mauvaises surprises.
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Les bébés ne réagissent pas aux bâillements contagieux

Près de la moitié de la population ne peut résister au phénomène des bâillements contagieux. Lorsque l’on voit une personne bâiller, on bâille aussi. Selon le journal Child Development, les enfants de moins de 4 ans et les autistes y sont toutefois insensibles.
 
Des chercheurs de l’Université du Connecticut ont observé 120 enfants de 1 à 6 ans et 30 enfants de 6 à 15 ans souffrant d’autisme.
 
Même si les bébés bâillent spontanément avant même de naître, la majorité ne réagit pas aux bâillements d’une autre personne avant l’âge de 4 ans. On a observé également que les autistes y sont moins sensibles et cela est directement lié à leur niveau d’autisme. Plus l’enfant est autiste, moins il sera sensible aux bâillements contagieux.
 
« Étant donné que le bâillement contagieux peut être un signe d’empathie, cette étude suggère que l’empathie et l’imitation qui le sous-tendent se développent lentement dans les premières années de la vie et que les enfants atteints d’autisme ratent des indices subtils qui les relient émotionnellement aux autres », disent les auteurs de l’étude.
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Le lien mère-enfant prend son origine dans le cerveau

C’est connu, le lien entre une mère et son enfant est particulier. Des chercheurs ont découvert que la mère tenait une signification unique dans le cerveau de son enfant et elle y demeure même une fois que celui-ci est devenu adulte.
 
Les scientifiques ont utilisé l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) pour mesurer la réaction du cerveau de volontaires lorsqu’on leur montrait des images de visages de personnes. Lorsque c’était le visage de leur mère, il y avait une forte réaction dans la zone reliée à la reconnaissance et l’émotion. Une réaction plus forte et totalement différente que celle enregistrée avec les visages du père, de membres de la parenté, d’amis et d’étrangers.
 
Ceci apporte un éclairage nouveau sur ce genre « d’empreinte » que laisse la mère sur son enfant. Ce phénomène est remarqué également chez de nombreux oiseaux et animaux qui entretiennent un lien étroit avec celle qui les a mis au monde.
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Les personnes racistes ont peu de compassion face à la souffrance physique des autres

Le cerveau des personnes racistes ne démontre pas de réaction face à la douleur physique des autres races.
 
Selon une étude italienne publiée dans le Current Biology, le cerveau des personnes ayant des préjugés raciaux a du mal à voir spontanément la souffrance chez des individus appartenant à un groupe ethnique différent.
 
Les chercheurs de l’Université de Bologne ont longuement interrogé 40 étudiants universitaires. 20 étaient blancs et 20 étaient noirs.
 
On a mesuré l’activité des neurones lorsqu’on leur a présenté des images avec une aiguille enfoncée dans des mains de couleurs différentes. La main violette a obtenu le même niveau de compassion chez les deux groupes d’étudiants.
 
Les personnes qui avaient d’importants préjugés raciaux n’ont répondu que faiblement à la douleur de l’autre groupe, alors que ceux qui n’étaient pas racistes ont eu le même niveau de compassion pour les différentes couleurs de peau.
 
Cela démontre donc clairement que les préjugés liés à la couleur de la peau influencent notre jugement face à la douleur physique d’autrui.
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Les hommes et les femmes réagissent différemment au danger

Des chercheurs polonais ont étudié l’activité cérébrale des cerveaux d’hommes et de femmes face à des dangers potentiels.

Avec l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), ils ont évalué le cerveau de 21 hommes et 19 femmes. Ils ont d’abord montré des images négatives et ensuite des images positives.

Les scientifiques ont constaté que les hommes avaient plus d’activités dans l’insula gauche du cerveau lors de la présentation d’images négatives. C’est cette zone qui régit les fonctions involontaires comme la fréquence cardiaque ou la transpiration. C’est aussi là qu’il y a une réaction de combat ou de fuite face aux situations.

Devant les images négatives, les femmes avaient plutôt de l’activité dans le thalamus gauche, celui qui régit les informations sensorielles de la douleur.

On conclut donc que face au danger, les hommes sont plus aptes à réagir et passer à l’action, donc parfois amorcer le combat.

Les résultats de cette étude ont été présentés lors de la rencontre annuelle Radiological Society of North America qui s’est tenue à Chicago tout récemment.