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Mort de Normand L’Amour : les réactions sont nombreuses

Normand L’Amour aura réussi sa mission.

Le fantaisiste québécois reçoit une spectaculaire vague d’amour de la part du public québécois depuis l’annonce de son décès, au cours des dernières heures (3 novembre).

Mort à 85 ans, Normand L’Amour avait connu la gloire grâce à des apparitions télé hautement captivantes, notamment à l’émission La Fin du Monde est à 7H, et avec un album qui s’était écoulé par milliers d’exemplaires.

Porteur de « la nouvelle divine » et créateur de chansons humoristiques comme La poignée d’porte et Le petit pinson, Normand L’Amour aura touché le paysage québécois d’une manière qu’il est difficile d’exprimer.

Comique pour les uns, chanteur pour le principal intéressé, L’Amour se sera taillé une place de choix dans le coeur des Québécois.

Les réactions sont nombreuses, et les témoignages fusent de partout. Plusieurs partagent en ligne photographies et vidéos de leurs rencontres avec Normand L’Amour, qui prenait le temps dans les dernières années de sa vie de créer des chansons personnalisées pour son public, et de rencontrer chacun de ses fans.

Normand L’Amour aura laissé une trace évidente au Québec, d’une manière qu’il est encore difficile à expliquer, et assurément impossible à reproduire.

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Voici comment les parents devraient agir derrière le banc

Mauvais perdant, ambiance de compétition, adversité, stress, énergie électrisante sont tous des éléments qui peuvent transformer un parent encourageant en un fan désagréable et impoli.

Le site Parentingquad a émis quelques conseils pour éviter que le parent soit mal perçu dans les gradins et même, qu’il fasse honte à son jeune.

Bien que sur le jeu ils soient en compétition, les enfants ne sont pas des joueurs professionnels. Ils ont besoin de s’amuser, de développer leur esprit sportif et d’apprendre des leçons de vie.

Encourager et féliciter tout le monde, même les gens de l’équipe adverse est l’une des meilleures choses à faire pour un parent. Dans les estrades, votre enfant sera peut-être porté à vous regarder, gardez un visage impassible, ne démontrez pas votre colère ou négativité.

Dans le domaine sportif, l’adulte devrait éviter de critiquer. Transformer ses mauvais mots en pensée positive est la formule magique.

Qu’ils soient criés dans les estrades, chuchotés à l’oreille de votre jeune ou dictés en voiture, les reproches n’aideront pas votre enfant à jouer mieux une prochaine fois.

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Les réactions sévères aux aliments sont plus communes qu’on le pense

En fait, plus de 70 % des enfants d’âge préscolaire souffrant d’allergies alimentaires auraient eu des réactions significatives durant trois ans, et 70 % d’entre eux n’auraient pas reçu d’épinéphrine par l’adulte qui s’occupait d’eux lors de crises potentiellement mortelles.

Lors d’une étude effectuée auprès de 512 enfants, on a noté que 30 % des réactions sévères chez les enfants allergiques avaient été traitées avec ce produit.

Les adultes responsables n’ont pas administré l’épinéphrine aux autres pour différentes raisons. Par exemple, certains n’ont pas reconnu la gravité de la réaction, n’avaient pas d’épinéphrine avec eux ou craignaient d’administrer le médicament.

« C’est très important pour les adultes responsables d’enfants souffrant d’allergies alimentaires de toujours avoir l’EpiPen avec eux, de savoir comment reconnaître les réactions et comment utiliser l’EpiPen. […] Utiliser correctement l’EpiPen au bon moment peut sauver une vie », explique le coauteur de la recherche et professeur au National Jewish Health, Dan Atkins.

Rappelons que les enfants de la ville auraient plus d’allergies alimentaires que les enfants de la campagne, selon une étude de la Northern University Feinberg School of Medicine.

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Peu d’essais cliniques pour les médicaments pédiatriques

L’asthme, la migraine, la schizophrénie, la dépression, la maladie diarrhéique, les infections respiratoires inférieures, le paludisme, le trouble bipolaire et le sida touchent 60 % des enfants.

Seuls 12 % des essais cliniques qui ont été effectués entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour traiter ces infections « courantes » concernaient l’effet qu’ils pouvaient avoir sur les petits.

Pour la Dre Florence Bourgeois, professeure adjointe à la Harvard Medical School, les essais cliniques pour des médicaments chez les enfants sont importants, car les jeunes ont souvent une réaction différente de celle des adultes.

Dans la revue de l’American Academy of Pediatrics, l’auteure de l’étude dénonce « le montant de la recherche qui est consacré aux essais cliniques pour cette tranche de la population ».

En effet, 58,6 % des essais cliniques réalisés entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour enfants étaient subventionnés par des organisations à but non lucratif, alors que 64,7 % des essais des médicaments pour adultes ont reçu les fonds de l’industrie, affirme la spécialiste, dont les données doivent être encore considérées comme provisoires.

Selon Bourgeois, le manque de financement de l’industrie est l’une des raisons majeures de la carence de tests cliniques pour médicaments pédiatriques. La situation serait encore plus dramatique dans les pays à faible revenu et en voie de développement, là où les recherches sont trop souvent négligées, faute d’argent.