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Une année record de chaleur et de phénomènes météorologiques extrêmes

Les scientifiques et les décideurs politiques ne cessent de s’alarmer du réchauffement rapide de la Terre.

Malheureusement, les données deviennent de plus en plus frappantes au fil des mois…

Une série de conditions météorologiques extrêmes et inédites ont été ponctuées d’intenses records de chaleur un peu partout sur la planète en 2023. L’intensification rapide et soudaine de nombreux ouragans et typhons a particulièrement surpris la communauté scientifique.

Cela démontre une tendance inquiétante… selon laquelle les tempêtes gagnent en force plus rapidement en raison du changement climatique, visiblement.

Les incidents liés à la chaleur et à la sécheresse ne sont que quelques exemples démontrant la température inhabituellement élevée qu’a connue la planète en 2023.

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Dans les faits, l’été 2023 a été le plus chaud jamais enregistré sur Terre.

Le phénomène El Niño a fortement intensifié la tendance au réchauffement en 2023, s’ajoutant à une activité solaire particulièrement élevée en plus d’un réchauffement climatique.

Des records de température ont même été battus pendant cinq mois consécutifs.

La barre symbolique des 1,5°C fixée dans l’accord de Paris a été dépassée en septembre… et les températures terrestres ont augmenté de plus de 2°C par rapport à l’ère préindustrielle!

Le mois d’octobre n’a pas fait exception… ce fut le mois le plus chaud jamais enregistré.

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Des incendies incontrôlables ont fait rage dans plusieurs pays, notamment au Canada et en Grèce, aggravés par de longues périodes de chaleur intense et de sécheresse. La situation a été particulièrement dévastatrice au Canada où il est estimé que 5 % des forêts ont été détruites par des incendies de forêt, qui ont libéré d’énormes nuages de fumée dans l’atmosphère et qui se sont retrouvés aux États-Unis… et même en Europe.

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.

 

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Un virus vieux de 30 000 ans effectue son grand retour

C’est en Sibérie que des spécialistes ont fait une importante et étrange découverte, selon ce que rapporte Santé Log et Top Santé, soit celle d’un virus vieux de plusieurs dizaines de milliers d’années.

Il s’agit du Pithovirus, découvert dans le froid et le sol gelé sibérien, qui serait resté bien tranquille et à l’abri des regards et des dangers durant 30 000 ans, jusqu’à ce que des scientifiques français le retrouvent.

L’équipe de chercheurs et de scientifiques du CNRS de Marseille ne cache d’ailleurs pas son enthousiasme, mais aussi son inquiétude face à cette découverte aux allures historiques.

« La démonstration que des virus enfouis dans le sol il y a plus de 30 000 ans peuvent survivre et être encore infectieux suggère que la fonte du pergélisol due au réchauffement climatique et l’exploitation minière et industrielle des régions arctiques pourraient comporter des risques pour la santé publique », explique le spécialiste Jean-Michel Claverie, du CNRS.

En clair, les spécialistes s’inquiètent de voir quelques horreurs antiques revenir nous hanter à mesure que la température globale de la planète augmentera, ce qui n’indique rien de bon.

Les chercheurs du CNRS vont maintenant concentrer leurs travaux afin d’identifier de possibles menaces éventuelles, notamment celle de la variole, disparue depuis 1977.

Les conclusions et les détails de cette découverte par l’équipe marseillaise du CNRS ont été publiés dans les Actes de l’Académie nationale des sciences américaine (PNAS).

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Conseils pratiques pour bien s’échauffer avant l’exercice

Il est bien connu que l’échauffement tient un rôle important dans l’activité physique. Bien s’échauffer, c’est préparer son corps à ce qui l’attend, et ainsi éviter les chocs et les blessures.

Beaucoup de blessures pourraient être évitées simplement par de petits gestes, expliqués ici. D’abord, il est important de préparer son corps par des mouvements simples, qui demandent peu d’efforts, rapporte nlm.nih.gov.

L’American Council on Exercise propose d’inclure des mouvements d’aérobie qui vont aider à réchauffer les muscles que vous utiliserez plus tard lors du véritable exercice physique.

Ensuite, on suggère de pratiquer des exercices de flexibilité, des étirements, mais tout en douceur. Le but est d’étirer vos muscles doucement, pour que ceux-ci soient à leur plein potentiel lors de l’effort. Ainsi, priorisez les membres qui seront sollicités davantage.

Puis, essayez d’effectuer une version plus lente et plus facile de l’exercice que vous allez faire. Par exemple, si vous faites de la bicyclette, roulez très doucement pendant un moment, afin d’habituer votre corps. Il en va de même pour les sports et la course à pied.

Finalement, réchauffez-vous à un niveau qui ne vous fait transpirer que légèrement, sans ressentir de fatigue. Vous serez fin prêt pour la pratique de votre activité physique de prédilection.