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Manger des fraises peut contribuer à contrôler le cholestérol

ScienceDaily rapporte une étude intéressante en nutrition qui accorde un bénéfice important aux fraises en matière de contrôle des taux de cholestérol dans le sang.

Selon les informations dévoilées, des chercheurs italiens et espagnols ont demandé à une équipe de volontaires de consommer un demi-kilo de fraises quotidiennement, afin de vérifier les effets et impacts de ces petits fruits sur le sang.

L’équipe a ainsi pu confirmer les conclusions de plusieurs autres études sur les bienfaits et apports des antioxydants retrouvés dans la fraise. Mais les chercheurs européens ont également remarqué des changements dans les taux de cholestérol dans le sang affichés par les patients volontaires.

Les niveaux de mauvais cholestérol et de triglycérides des sujets ayant mangé la quantité de fraises proposée au cours du mois d’essai auraient descendu de façon « significative ».

En ajoutant cette fonction aux précédentes accordées à la fraise, on peut donc conclure que le petit fruit est un précieux allié du sang et de la santé, et qu’il serait donc bénéfique de l’inclure à notre alimentation de façon répétée.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Winnipeg inaugure son nouveau centre de recherche en infectiologie

La ville de Winnipeg devient un véritable chef de file en matière de recherches en microbiologie et en infectiologie, rapporte Radio-Canada, avec l’ouverture d’un deuxième centre scientifique dans la capitale manitobaine.

Le nouveau centre inauguré à Winnipeg par l’Agence de la santé publique du Canada permettra d’effectuer des tests lors de situations jugées urgentes ou dangereuses, en plus de permettre des travaux avancés dans la recherche d’un traitement contre le sida, notamment.

Créé à la fine pointe des technologies actuelles et baptisé en hommage au Dr John Charles Wilt, le nouveau centre de recherche permet au Canada de concrétiser sa position dans le domaine des sciences et des recherches en infectiologie.

Les travaux s’étaient entamés au printemps 2011 et auront finalement duré près de trois ans.

Plusieurs spécialistes se réjouissent de la mise en place de ce deuxième important centre à Winnipeg, qui viendra appuyer le Laboratoire national en microbiologie, et qui pourrait permettre d’attirer d’éminents scientifiques et spécialistes au pays.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.

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Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.

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La vitamine C peut-elle prévenir des AVC?

Une nouvelle étude en provenance de la France dévoile un présumé risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes présentant une carence en vitamine C, rapporte The National Library of Medicine.

Mais alors, la vitamine C pourrait-elle prévenir des AVC? Bien que les chercheurs français en tête de l’étude soient loin de pouvoir confirmer une telle cause à effet, ils affirment cependant avoir observé une plus grande incidence d’AVC chez des personnes affichant des carences en vitamine C.

« L’étude suggère en effet qu’un faible niveau de vitamine C est un risque pour des hémorragies cérébrales spontanées », lance le Dr Stéphane Vannier, de l’Hôpital Universitaire de Rennes.

Les chercheurs de l’étude croient que ces statistiques seraient explicables par le rôle joué par la vitamine C dans le maintien et le contrôle de la pression sanguine et des vaisseaux sanguins.

On retrouve de la vitamine C dans les fruits et légumes, notamment les oranges, les fraises, les poivrons et le brocoli, pour ne nommer que ceux-là.

Par ailleurs, l’équipe française ne recommande pas la prise de suppléments de vitamine C pour abaisser les risques d’AVC. On suggère plutôt les apports par l’alimentation.

Les résultats de cette étude seront présentés lors de l’assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra du côté de Philadelphie.

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Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.