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Une relation réussie et une bonne image de soi vont de pair

The National Library of Medicine rapporte une étude psychosociale sur le lien existant entre l’estime de soi et les relations amoureuses, s’attardant principalement sur le cas des femmes et de la vision qu’elles ont d’elles-mêmes.

Ainsi, s’il n’est pas étonnant de voir l’étude confirmer que l’estime de soi est primordiale au bonheur et à une relation amoureuse épanouie, il l’est davantage de constater que l’inverse est aussi vrai.

En effet, selon les chercheurs de l’Université Tallinn menés par Sabina Vatter, qui signe l’étude elle-même, une relation saine et heureuse permet d’augmenter grandement l’estime de soi.

C’est après avoir sondé et analysé près de 300 femmes que Vatter a pu constater que le lien présumé entre les deux facteurs fonctionnait des deux côtés.

« Quand une femme est satisfaite par sa relation, elle l’est aussi par son poids, et vice versa », résume clairement la chercheuse.

On peut donc conclure que même s’il est important de veiller à sa santé et d’avoir une bonne estime de soi à la base, le choix du partenaire représente un facteur important de l’accession ultime au bonheur et à l’épanouissement personnel.

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Un dollar cinquante de plus par jour pour mieux manger

Alors que les campagnes et études pour nous inciter à mieux manger et à veiller sur notre santé abondent, les consommateurs motivés à changer leurs habitudes alimentaires semblent arriver massivement au même constat, si l’on se fie aux commentaires recueillis.

Ce constat, rapporte Top Santé, est celui d’un coût moyen plus élevé pour la nourriture, ce qui semble bloquer certains individus dans leur démarche, à tort ou à raison.

Afin de vérifier cette théorie populaire, des chercheurs américains de l’Université Harvard ont décidé de comparer les prix de différents produits, et ce, dans sept des pays les plus riches du monde. Après avoir comparé les comportements et les coûts retrouvés en Angleterre, en France, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède, en Nouvelle-Zélande et au Canada, les chercheurs en arrivent à un coût moyen supérieur d’environ d’un dollar cinquante, quotidiennement.

« Alors que l’on a tendance à affirmer que le coût d’une alimentation saine est un obstacle, et que c’est en partie à cause de ça qu’un Américain sur trois est obèse, personne n’a systématiquement évalué ni quantifié cette différence de prix entre une alimentation saine et des aliments moins bons pour la santé. »

« Sur une année, cela peut représenter un vrai fardeau pour certaines familles, et il est certain que c’est un frein pour promouvoir une alimentation saine et équilibrée », concluent les chercheurs de Harvard, malgré un résultat moins dramatique que celui auquel on aurait pu s’attendre.

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De meilleures performances cognitives chez les aînés d’aujourd’hui

Les aînés d’aujourd’hui sont-ils plus « performants » que leurs ancêtres des décennies précédentes?

C’est le constat auquel semble arriver des chercheurs européens, qui publient une étude sur le sujet, rapporte The National Library of Medicine.

Les spécialistes en cause dans cette recherche constatent que les personnes présentement âgées de 80 ans et plus possèdent de plus grandes aptitudes cognitives, en moyenne, qu’il y a dix ans.

Ces mêmes personnes afficheraient par ailleurs le même genre de résultats qu’à l’âge de 70 ans, ce qui semble signifier que d’atteindre ce palier vénérable d’âge pourrait devenir une norme, le tout en bonne santé.

« Les gens sont en fait mieux éduqués qu’ils ne l’étaient, et leur situation économique pourrait aussi être meilleure, comparativement aux groupes précédents. Tous ces facteurs combinés travaillent de concert pour une situation améliorée », analyse Dallas Anderson, qui étudie la démence dans le Maryland, mais qui n’a pas pris part à l’étude.

Plusieurs autres facteurs sont cependant à prendre en considération avant de parler d’une tendance mondiale, croient d’autres observateurs en santé, à commencer par exemple par l’accès aux soins de santé offerts dans certains pays.

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Les fruits et légumes rendraient aussi plus beau

Les fruits et légumes n’ont plus besoin de présentation en santé et nutrition, et leur importance n’est plus à démontrer. Mais voilà qu’une nouvelle étude vient ajouter un avantage de taille à la consommation de fruits et légumes, qui pourrait bien en convaincre certains de s’y mettre illico.

Selon ce que rapporte Top Santé, une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Cambridge, en Angleterre, trace un lien entre la consommation de fruits et légumes et la beauté physique, affirmant que ceux qui en mangent le plus peuvent améliorer leur aspect.

Plus particulièrement, c’est le visage qui gagnerait davantage en luminosité, et le teint et la texture de la peau seraient grandement améliorés à la suite d’une consommation fréquente de fruits et légumes. Comme le démontrent les chercheurs britanniques à l’aide d’un test d’opinion, les gens aux visages plus éclatants et à la peau plus claire et saine sont davantage courtisés et appréciés que les autres.

« Ces résultats suggèrent que nous utilisons la couleur de peau comme un moyen rapide d’identifier la bonne santé des autres. De la même manière, les gens bronzés paraissent toujours en meilleure forme que les autres. En général, les gens ne sont pas attirés par des personnes qui ont l’air malade. Il est préférable et meilleur pour la santé de manger des fruits et des légumes que de s’exposer trop longuement au soleil », explique Carmen Lefèvre, de l’Université York.

La consommation minimale de fruits et légumes proposée pour obtenir un résultat beauté optimal se situerait à deux portions par jour.

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La vitamine D est-elle indispensable pour le cerveau?

Alors que plusieurs débats et polémiques fusent concernant la vitamine D et son réel effet sur le corps humain, mais surtout en ce qui concerne les impacts d’une carence sur l’organisme, une nouvelle étude américaine affirme cette fois qu’une telle condition peut s’avérer dangereuse pour la santé cérébrale.

Ainsi, selon une équipe de chercheurs basée à l’Université du Kentucky, des carences en vitamine D pourraient paver la voie aux maladies dégénératives et à la démence, en provoquant certains dommages au cerveau.

Top Santé, qui rapporte ces plus récentes conclusions, rappelle une étude précédente sur le sujet, qui vantait les mérites d’une supplémentation en vitamine D pour éviter de tels dégâts. Or, la promotion des suppléments de vitamine D est précisément au cœur du débat opposant les observateurs et spécialistes du domaine de la santé.

Les chercheurs américains en tête de cette récente étude, par ailleurs étayée par de multiples essais sur des souris, ne vantent pas les mérites des compléments alimentaires, mais prônent plutôt des apports de vitamine D par une alimentation équilibrée, tout simplement.

Ils confirment cependant qu’un manque de cette vitamine peut effectivement mener à une hausse des risques de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui ne sera pas pour rassurer les plus craintifs, qui risquent de bondir vers une boîte… de suppléments.

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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

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Des notions de regrets bien différents chez les hommes que chez les femmes

Une équipe californienne a cherché à analyser les différentes réactions observables chez les hommes et les femmes en matière de comportement sexuel, rapporte Top Santé, et leurs premières conclusions se penchent davantage sur la notion de regrets.

Une notion amplement variable selon le sexe de la personne étudiée, constatent les chercheurs, alors que les hommes semblent regretter beaucoup plus de ne pas être passés à l’acte suite à une opportunité de relation sexuelle, et que les femmes regrettent plutôt d’avoir succombé à une situation similaire.

« Du point de vue de l’histoire de l’évolution, chaque occasion manquée de relations sexuelles avec une nouvelle partenaire est pour les hommes une chance perdue de se reproduire. Pour les femmes, la reproduction représente un investissement considérable, dont la grossesse, l’allaitement et l’éducation des enfants. Les conséquences d’un rapport sexuel occasionnel sont donc bien plus impliquantes pour les femmes que pour les hommes. »

« Cela entraîne naturellement une réaction émotionnelle beaucoup plus forte, chez la femme, au rapport sexuel. Ces réactions semblent toujours répondre, malgré les progrès sociaux, aux contraintes de reproduction du passé », peut-on lire en conclusion de l’étude proposée par les chercheurs de l’Université de Californie.

Plusieurs milliers sujets masculins et féminins ont pris part à cette étude, qui trace encore une fois une ligne marquée entre la psychologie féminine et masculine.

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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.