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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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Le Viagra peut changer une vie, mais pas sa qualité

Il semble que l’impact du Viagra sur la vie des hommes ne se limite qu’à sa fonction première, rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une équipe de chercheurs constate que le désormais célèbre traitement n’aide en rien la qualité de vie.

Ni n’améliorera vos relations personnelles ou la qualité de votre relation de couple, constatent les chercheurs américains en tête de ces recherches, et qui compilaient les résultats de 40 essais cliniques de traitements contre la dysfonction érectile.

Si les hommes participants à l’étude ont massivement affirmé ressentir une plus grande satisfaction et une meilleure estime de soi, ils répondent également majoritairement par la négative lorsqu’on leur demande si leur qualité de vie en général a aussi été augmentée.

« Ce serait simpliste de penser que de régler un problème de dysfonction érectile règlera vos problèmes de couple. Le bonheur est très complexe, et la fonction érectile n’en est qu’une petite partie… plusieurs couples auront tout de même besoin de plus de thérapie », analyse le Dr Andrew Kramer, de l’Université du Maryland.

Cela dit, les traitements contre ce genre de problème continuent d’être largement populaires et permettent véritablement d’aider plusieurs hommes à retrouver une vie sexuelle plus normale, ce que ne contredisent pas les chercheurs de l’étude proposée.

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L’effet de la température sur le poids démontré

Une équipe de chercheurs menée par le Dr Michael Daly a cherché à démontrer les effets et impacts de différents degrés de température sur le poids corporel, et ainsi valider ou infirmer certaines théories qui circulent sur le sujet, rapporte Top Santé.

« Nous avons décidé d’enquêter sur les allégations scientifiques selon lesquelles les températures intérieures plus fraîches nous aident à maintenir un poids santé en poussant notre corps à dépenser plus d’énergie par des frissons et générer de la chaleur à travers les tissus », lance d’abord Daly.

Mais au fil des recherches, qui impliquaient l’analyse de 100 000 personnes placées dans différents « climats », l’équipe de spécialistes s’est rendu compte que ce sont plutôt les températures élevées qui favorisent la perte de poids.

Ainsi, les gens qui utilisent davantage le chauffage à la maison auraient une plus grande facilité à maigrir.

« Nous avons trouvé des niveaux de poids plus bas chez les personnes vivant dans les maisons chauffées à plus 23 degrés, le cas de 15 000 des ménages étudiés », explique ensuite le Dr Daly, qui croit maintenant que des températures ambiantes trop basses pourraient s’avérer un facteur qui contribue au surpoids.

« À des températures supérieures, nous dépensons plus d’énergie, et notre appétit étant diminué, nous mangeons moins. Comme nous avons pris en compte d’autres facteurs tels que la consommation excessive de calories et les faibles niveaux d’activité physique, notre étude suggère bien que le surpoids peut être lié à des températures trop basses, et que le niveau d’obésité pourrait augmenter si la population continue à vivre dans des environnements sous-chauffés », conclut l’équipe de chercheurs.

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Des chercheurs québécois démontrent l’importance de l’asparagine pour le cerveau

Des chercheurs québécois proposent les conclusions d’une recherche qui contredit plusieurs spécialistes et qui démontre l’importance du rôle de l’asparagine sur le cerveau humain, rapporte MedicalNewsToday

C’est que l’asparagine, que l’on retrouve dans l’alimentation au sein des œufs, des viandes et des produits laitiers, n’était pas suggérée par les experts jusqu’à maintenant. Ces derniers affirment plutôt que le corps en produit de lui-même, ce qui ne rend pas nécessaire la consommation d’œuf ou de viande, ou encore de suppléments, pour en assurer les apports.

Mais pour les chercheurs de l’Université de Montréal et de Sainte-Justine, cela n’est vrai que dans le cas des cellules du corps, mais beaucoup moins lorsqu’il est question du cerveau et de son développement.

Ainsi, l’équipe de spécialistes du Québec croit que le rôle de l’asparagine pourrait mener à un traitement de certaines maladies cérébrales et du développement.

« … l’asparagine n’est pas bien transportée au cerveau via la barrière sang-cerveau. Nous ne sommes pas sur le point de trouver des remèdes miracles, mais au moins, nous savons où regarder », lance le Dr Jacques Michaud, directeur de cette recherche.

Il s’agit d’une étude qui pourrait changer la donne dans la compréhension du cerveau, de son développement et de ses besoins.

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Les femmes attirantes créent de meilleurs mariages

Voilà une étude qui en fera bondir plus d’un et plus d’une, alors que la psychologue Andrea Meltzer publie ses conclusions en matière de mariage, et croit que les femmes les plus attirantes créent des mariages plus heureux.

L’étude de Meltzer, rapportée par TheLoop.ca, se base sur les analyses effectuées auprès de 450 nouveaux couples mariés, sur une période de quatre ans.

La psychologue constate que les mariages impliquant de très belles femmes sont largement plus heureux, et que cette corrélation découle en fait du bonheur masculin. En effet, les femmes ne seraient pour leur part pas influencées par la beauté de leur époux en termes de « taux de bonheur » au sein du mariage, mais le seraient plutôt par celui de l’homme.

En clair, quand un homme est heureux, sa femme a beaucoup plus de chances de l’être, et pour qu’un homme soit heureux, il doit compter sur une belle épouse.

Ces résultats confirment donc une étude précédente sur le sujet, parue en 2008, qui affirmait que les hommes ayant épousé une jolie femme se voyaient plus enclins à être fidèles et à s’engager véritablement dans leur relation.

Ces deux études ne tracent donc pas un portrait très profond de l’homme moyen, qui semble prisonnier de sa passion pour la beauté féminine, un facteur essentiel à son bonheur, semble-t-il.

L’étude de la Dre Andrea Meltzer a été publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology.

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Faire du sport… en le regardant?

Super nouvelle pour les sportifs de salon et les gérants d’estrade par excellence, alors que Top Santé rapporte une étude qui semble affirmer que le simple fait de regarder un match de sport à la télévision serait considéré comme une activité physique en soi.

Impensable? Supercherie?

Selon le professeur Vaughan Macefield, il n’en est rien. En fait, le spécialiste basé à Sydney, en Australie, publie une recherche dans le magazine Frontiers in Autonomic Neuroscience qui stipule que « d’observer des images de sportifs en activité augmente l’activité musculaire, le rythme cardiaque, la respiration, la circulation sanguine, l’activité du système nerveux central et même la transpiration, des paramètres physiques normalement constatés sur des personnes en train de faire du sport ».

Le professeur a pu en arriver à de telles conclusions en installant une dizaine de sujets confortablement, puis en leur proposant tour à tour des images calmes, puis celles d’un match de sport enlevant.

En mesurant les réactions biométriques et électriques des sujets de l’étude, Macefield conclut que « les changements enregistrés étaient faibles, mais ils correspondaient aux réponses physiologiques à la pratique d’un exercice physique. Nous savons que le système nerveux sympathique, responsable du rythme cardiaque, des glandes salivaires ou encore des vaisseaux sanguins, accroit son activité lors de l’activité physique. Nous avons montré que son activité augmente également lorsque vous regardez une scène d’activité physique, comme si vous courriez vous-même ».

Incroyable, non? Cela dit, cette démonstration ne vous fera en rien perdre les calories ingérées en vous goinfrant devant un match de votre équipe préférée ni ne vous fera des abdos d’enfer, mais s’avère un baume sur le coeur des amateurs de sports professionnels télévisés. 

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L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

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Transplantation cardiaque : Des coeurs créés en laboratoire d’ici dix ans?

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos d’un spécialiste, le Dr Stuart Williams, qui croit qu’il sera possible de créer de véritables cœurs humains capables d’être transplantés chez des patients en attente de greffe, et ce, d’ici les dix prochaines années.

Le Dr Williams, de l’Université de Louisville, affirme que ses collègues et lui sont déjà bien avancés dans le processus, étant parvenus jusqu’ici à créer une artère coronarienne et des vaisseaux sanguins.

« L’Amérique a mis un homme sur le Lune en moins d’une décennie. J’ai dit une décennie pour nous donner une marge de manœuvre », persiste et signe Williams, visiblement convaincu.

Fonctionnant avec une technologie digne des films de science-fiction basée sur une empreinte du cœur en trois dimensions, Stuart Williams et son équipe pourraient bien révolutionner le monde de la cardiologie.

Inutile de dire que s’ils gagnent leur pari, c’est un nombre incalculable de vies qui pourront désormais être sauvées…

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La modération a bien meilleur goût, même dans le sport

Le professeur et pédiatre Richard Bélanger souhaite sensibiliser les amateurs de sport au phénomène de surentraînement, rapporte Radio-Canada, notamment chez les jeunes.

Le Dr Bélanger indique que même s’il est fantastique et hautement bénéfique de s’intéresser au sport et de pratiquer des activités physiques, il est tout aussi important de savoir tracer une ligne et d’éviter d’en faire trop.

Pour étayer ses propos, le spécialiste s’est allié à des chercheurs de l’Université de Genève et de l’Université de Suisse pour mener à bien une étude sur le sujet. L’équipe a donc analysé les cas de 1245 jeunes individus, âgés de 16 à 20 ans.

En observant différents facteurs et différentes réactions chez les sujets de l’étude, Bélanger et ses collègues ont déduit que la « norme » de temps accordé aux activités physiques devrait s’établir à 7 heures par semaine.

En dépassant ce nombre, il semble que plusieurs problèmes puissent survenir, à savoir du surmenage, des troubles de l’humeur, des symptômes dépressifs et du stress.

Comme quoi la modération a bien meilleur goût, même dans le sport!