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Mangez des noix, vivez plus longtemps

Une nouvelle étude vient cristalliser l’impact de la consommation de noix sur la santé, rapporte The National Library of Medicine, et affirme qu’il est maintenant possible de tracer un lien direct entre les noix et la longévité

En clair, mangez des noix et vous vivrez plus longtemps, voilà comment on pourrait résumer les conclusions de l’étude proposée par des spécialistes de l’Institut Dana-Farber de Boston.

Pour ces derniers, manger une once de noix par jour, peu importe le type, pourrait signifier un gain moyen en terme de longévité, mais surtout un risque moins grand de mortalité précoce sur une période de trente ans.

« Ceci est une étude observationnelle, alors ce n’est pas absolu en termes de preuves. Mais, des études précédentes suggèrent aussi des bénéfices pour la santé… », résume le Dr Charles Fuchs, de chez Dana-Farber.

Il est vrai que cette étude corrobore toutes les autres sur le sujet, comme quoi il n’existe plus d’excuses pour ne pas se tourner vers les noix dans le choix d’une collation.

Une once de noix, la portion quotidienne recommandée par l’étude, équivaut à une vingtaine d’amandes, entre 15 et 20 cachous, ou encore plus de 30 arachides.

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L’humain serait plus honnête le matin

Serait-on plus enclin à l’honnêteté le matin que le reste de la journée?

Ce qui semble difficile à croire et de prime abord dénué de logique est pourtant l’affirmation de chercheurs américains qui démontrent leur théorie par le biais d’une étude, maintenant rapportée par Top Santé.

Initialement publiée dans le magazine scientifique Psychological Science, l’étude des chercheurs de Harvard et de l’Utah trace un parallèle entre le mensonge et l’heure de la journée, affirmant que l’humain serait plus tenté de mentir une fois l’après-midi arrivé.

Les chercheurs ont analysé les réactions d’étudiants placés dans différentes mises en situation, le matin et l’après-midi. Les résultats sont étonnants, alors que les mêmes étudiants qui disaient la vérité au lever, par exemple dans le contexte d’un examen, d’un jeu d’argent ou d’une simple question, changent carrément de comportement et de réponse en après-midi!

Encore plus aberrant, un simple exercice visant à former un mot avec les suffixes « rale » et « que » démontre que les sujets de l’étude changent avec les heures qui passent. Le matin, les étudiants ont formé des mots tels qu’« éthique » et « morale », mais des mots complètement différents étaient formés plus tard dans la journée.

L’étude sympathique permet de constater que l’heure de la journée influence nos comportements et que, possiblement, le sommeil permet de retrouver ses bases en matière de morale et d’éthique.

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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

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Une étude met en doute les bienfaits du lait sur les os

S’il y a bien un fait que l’on croyait être une certitude en alimentation, et qu’on se fait répéter depuis notre tendre enfance, c’est bien que le lait est un allié précieux de la santé des dents et des os.

Or, selon Radio-Canada, une nouvelle étude en provenance de l’illustre Université Harvard vient d’être déposée, et sème un sérieux doute sur la véracité de cette affirmation, à savoir que le lait est bénéfique pour les os chez l’humain. 

Aux fins de la recherche, les chercheurs de Harvard ont analysé les cas de près de 100 000 personnes, sur une période de 22 ans. On ne pourra taxer l’étude de ne pas être exhaustive, malgré son résultat.

Les conclusions parlent d’une absence de preuve en ce qui a trait à la notion que la consommation de lait peut solidifier les os et ainsi prévenir les fractures.

Malgré tout, on ne conteste pas les organisations de la santé, comme celles du Canada, qui suggèrent la consommation d’au moins deux verres de lait par jour, ce dernier possédant tout de même sa part d’avantages et d’éléments nutritifs.

Les spécialistes appelés à commenter l’étude croient cependant qu’il est impératif d’allier ces apports en produits laitiers avec de l’exercice physique pour protéger le corps et les os de façon véritablement efficace.

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Ce que votre cerveau ne vous dit pas

Une nouvelle étude démystifie l’incroyable capacité du cerveau à « cacher » certaines informations pour ne filtrer que ce qui est nécessaire, rapporte Top Santé. Mais que vous cache donc votre organe le plus important?

Des ombres et des silhouettes, notamment, ainsi que des informations qu’il juge non pertinentes à la compréhension d’un tout ou d’une situation, selon ce que l’on comprend des informations présentées dans l’étude.

« Si le cerveau a choisi de priver le sujet de certaines informations, ce n’est pas une perte de ressources, bien au contraire. Comme le cerveau traite énormément d’informations, il a évolué et a appris à analyser les plus importantes. »

« Il ne renvoie que les messages essentiels à une prise de conscience de l’environnement visuel dans l’intérêt de notre survie, probablement. Cela nous permet de ne pas nous noyer sous une masse floue d’informations. »

« Par exemple, il serait difficile d’imaginer être capable de traverser la rue sans risque en percevant toutes les ombres chinoises existantes… », explique l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, par ailleurs basée en Arizona, aux États-Unis.

Si certains doutent maintenant la loyauté de leur cerveau, les autres seront plus en mesure de comprendre à quel point l’organe cérébral est une machine sophistiquée, alors que l’étude démontre sa capacité à prendre de véritables décisions.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Un sommeil régulier pour un poids santé

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus la corrélation entre les habitudes de sommeil et le maintien du poids, rapporte cette fois le ScienceWorldReport.

Menée par Bruce Bailey, un professeur de la Brigham Young University, l’étude parle d’une véritable cause à effet, et des bienfaits d’un sommeil régulier. Ne mentionnant ni ne suggérant d’heures particulièrement favorables pour le sommeil, le spécialiste parle plutôt de l’importance de la régularité des heures de sommeil.

En clair, se coucher et se lever aux mêmes heures, particulièrement pour les femmes, serait bénéfique et utile dans le maintien d’un poids santé.

Pour Bailey et son équipe, le constat est clair : les femmes qui s’astreignent à de telles habitudes de sommeil affichent un taux de gras moins important que les autres, et sont par définition plus minces. Il semble que la limite imposée pour que le sommeil soit considéré comme régulier soit une variation de 60 minutes maximum, d’une journée à l’autre.

Plusieurs autres études ont abondé dans le même sens récemment, affirmant qu’il existe un lien réel entre les habitudes de sommeil et la prise de poids.

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Une sauce tomate aux effets miraculeux pour le coeur

« Le secret est dans la sauce » est une expression qui semble prendre absolument tout son sens lorsqu’on lit l’article publié par le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude traitant d’une sauce miraculeuse pour le cœur.

Des chercheurs basés en Espagne ont en effet publié une recherche en nutrition qui parle des effets d’une sauce tomate bienveillante pour la santé cardiaque, sauce qui se compose de plusieurs ingrédients déjà fortement recommandés.

Déjà retrouvée amplement dans la fameuse diète méditerranéenne, les chercheurs espagnols croient même qu’elle pourrait expliquer à elle seule les effets du régime.

Confectionnée à base de tomates, d’oignons, d’huile d’olive, de farine de maïs et d’ail, cette sauce bienfaitrice permettrait d’améliorer la santé cardiovasculaire et de prévenir la détérioration du cœur grâce aux 40 antioxydants, et plus, qu’elle contient.

De plus, les chercheurs croient que cette unique combinaison permet de maximiser les bienfaits de chaque ingrédient, ce qui ne serait pas nécessairement le cas en les consommant séparément.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Food Chemistry.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Le Bacoflène prouve encore ses vertus dans le traitement de l’alcoolisme

On a beaucoup parlé depuis l’an dernier du Bacoflène, un traitement nouvellement mis au point qui serait capable de traiter la dépendance à l’alcool, selon plusieurs experts.

Voilà qu’une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus cette théorie, rapporte Top Santé, une recherche qui nous provient de Paris et est signée par Bernard Granger, un psychiatre aguerri.

Le Dr Granger a testé les effets du Bacoflène pendant six mois sur un groupe de 81 sujets volontaires, composé de 53 hommes et 28 femmes, et constate de véritables effets bénéfiques.

« … les résultats […] comparables à ceux déjà publiés par deux autres équipes françaises montrent à six mois une proportion de 68 % de patients abstinents ou ayant une consommation modérée. Le taux de succès s’élève à 83 % si l’on inclut ceux qui ont réduit au moins de moitié leur consommation d’alcool », écrit le Dr Granger dans son rapport.

En réponse aux détracteurs qui soulignent les effets secondaires possibles, le psychiatre rétorque, convaincu : « Beaucoup de patients supportent facilement tel ou tel effet secondaire au regard du bénéfice apporté par le traitement. Que sont quelques acouphènes ou des difficultés de sommeil face au calvaire enduré par certains alcoolodépendants? »

Le Bacoflène devrait être offert en prescription dans le cadre d’une période test de trois ans, en France, d’ici la fin 2014.