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L’anxiété de la première grossesse

Alors que la dépression post-partum est bien connue, l’anxiété à la suite de la naissance d’un premier enfant serait encore plus propagée.

C’est ce que révèle une récente étude australienne publiée dans le Journal of Affective Disorders.

En évaluant 172 couples ayant différents historiques et vivant tant en ville qu’en régions, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que ce n’est pas moins du tiers des nouvelles mamans qui souffriraient de symptômes d’anxiété après la naissance de leur premier enfant. Les nouveaux pères n’en sont pas non plus à l’abri, alors que plus de 17 % d’entre eux en souffriraient aussi.

La Dre Karen Wynter de l’unité de recherche à la Monash University explique que le taux d’anxiété découvert était beaucoup plus haut que précédemment supposé.

« La plupart des gens croient que la dépression post-partum est le mal le plus répandu pour les nouveaux parents, mais nous savons maintenant qu’elle n’est pas même près d’être aussi commune que l’anxiété », dit-elle.

Elle fait aussi la lumière sur le besoin réel pour les nouveaux parents d’être ouverts l’un envers l’autre sur leur état d’esprit afin de déceler les signes d’anxiété, ainsi que d’avoir accès à des professionnels de la santé pour les aider à mieux se préparer à l’arrivée de bébé, particulièrement s’il s’agit du premier. 

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.

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Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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Une farine qui permettrait de réduire les risques de démence

Des chercheurs sont à mettre au point un nouveau type de farine, rapporte MedicalNewsToday, qui pourrait permettre de réduire les risques de démence.

C’est à tout le moins le souhait exprimé par l’équipe de chercheurs des universités de Loughborough, Bogor et d’Indonésie, qui concoctent une farine à base de tempe, un ingrédient largement répandu dans la cuisine asiatique.

Il s’agit donc d’une farine à base de soja, qui comprend un nombre considérable de vitamine B et de phyto-estrogènes, des éléments qui stimuleraient les fonctions cognitives et de la mémoire, selon plusieurs études précédentes.

Maintenant que les essais cliniques et les études sur les peuples asiatiques ont démontré la véracité de leur théorie, les chercheurs en tête du projet souhaitent maintenant commercialiser leur nouvelle farine.

« La prochaine étape est de voir si on peut répéter nos découvertes initiales sur la population occidentale. Si ça fonctionne, ce sera une étape majeure de franchie en prévention du déclin de la mémoire dû au vieillissement », résume Eef Hogervorst, l’un des directeurs du projet et chercheur à l’Université de Loughborough

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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.