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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Le beurre d’arachides ferait baisser les risques de développer un cancer du sein

Stupéfiante étude que celle rapportée par MedicalNewsToday, qui fait état d’une baisse significative des risques de développement du cancer du sein grâce… au beurre d’arachides.

L’étude américaine constate en effet que les filles et adolescentes qui consomment du beurre d’arachides entre l’âge de 9 et 15 ans voient les risques de cancer du sein diminuer de près de 40 %! Une statistique éloquente, qui ne peut être expliquée que par le facteur chance ou diminuée par un pourcentage d’erreur.

« Ces résultats suggèrent que le beurre d’arachides peut contribuer à abaisser les risques de cancer du sein chez la femme », confirme le Dr Graham Colditz, de la Washington University School Medicine basée à St. Louis.

Dr Colditz et son équipe croient par ailleurs que les données ne s’arrêtent pas là et prétendent que la consommation de protéines végétales, de noix et de beurre d’arachides pourrait aussi aider les femmes de tous âges.

Ce n’est pas la première étude qui vante les mérites des noix en prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, mais c’est la première du genre à établir un lien direct de prévention du cancer du sein chez la femme, à tout le moins grâce au beurre d’arachides de façon spécifique.

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Le rat-taupe nu continue d’émerveiller la communauté scientifique

On rapportait récemment une étude fascinante effectuée sur le compte du rat-taupe nu et de son incroyable invulnérabilité au cancer, une recherche qui avait fait le tour du monde.

Voilà que le dossier se poursuit, explique Top Santé, alors qu’une nouvelle étude se penche maintenant sur la longévité stupéfiante de l’animal, qui peut vivre jusqu’à 35 ans!

Incroyable, si l’on considère que les animaux de la même famille vivent en moyenne deux petites années…

Une équipe de chercheurs menée par le professeur en biologie Andrei Seluanov a donc effectué des recherches plus poussées sur le rat-taupe nu, pour découvrir un système cellulaire et de création de protéines qui frisent la perfection.

« C’est important, car des protéines sans altération permettent au corps de fonctionner plus efficacement… Bien qu’il s’agisse de recherches fondamentales, nous espérons que notre découverte encouragera d’autres travaux sur des moyens d’améliorer la synthèse des protéines », explique Seluanov, visiblement enthousiaste. 

En clair, les recherches sur le rongeur africain pourraient un jour permettre de contrer certains effets retour du vieillissement, prévenir certaines maladies et peut-être protéger du cancer, comme on le mentionnait dans cette précédente étude publiée dans le magazine Nature récemment.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Le taux de survie au cancer directement lié au PIB?

C’est une constatation aussi horrible que triste à laquelle arrive une équipe de chercheurs belges, alors que le PIB d’un pays aurait une incidence directe sur les chances de survie à un cancer de ses citoyens.

Une inégalité scandaleuse, mais qui s’avère malheureusement vérifiable, selon le Dr Ades qui commente l’étude dans un communiqué. Il s’agirait d’une réalité encore plus grave en ce qui a trait au cancer du sein.

« Le cancer du sein est le meilleur exemple des avantages du dépistage du cancer. Ainsi, il a été prouvé que le dépistage réduit la mortalité. Nous avons vu que le lien entre le niveau de vie et les dépenses de santé avec le taux de mortalité du cancer du sein était bien plus élevé que pour les autres cancers (…) Par ailleurs le ratio décès sur cas diagnostiqués de cancers du sein reste plus faible dans les pays d’Europe de l’Ouest que dans les pays d’Europe de l’Est », résume le Dr Ades.

Top Santé dévoile d’autres chiffres qui reflètent cette triste cause à effet partout dans le monde, et on constate l’impact direct de l’argent investi en santé par habitant sur les chances de survie de celui-ci, à la suite d’un diagnostic de cancer.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente parution du Annals of Oncology.

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?

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Sept portions de fruits et légumes par jour pourraient vous faire gagner une année

Pourquoi manger cinq portions de fruits et légumes quand vous pouvez en manger sept? C’est un peu la logique qui se cache derrière cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui propose des conclusions étonnantes.

Plus qu’une simple théorie basée sur la quantité, la constatation présentée par les chercheurs espagnols en tête de l’étude parle plutôt d’impacts vérifiables sur la santé et la longévité chez ceux qui passent de cinq portions de fruits et légumes par jour (déjà recommandées) à sept.

L’équipe de l’Andalusian School of Public Health s’est penchée sur les données de plusieurs milliers de personnes et constate que les gens qui consomment plus de 570 grammes de fruits et légumes quotidiennement, soit sept portions par jour, gagnent en longévité.

Jusqu’à une année de plus même, sans parler de la réduction évidente du risque de cancer, des effets préventifs sur la santé cardiaque et d’une hausse d’énergie notable, croient les chercheurs.

« Il y a maintenant assez de preuves qui démontrent l’effet bénéfique des fruits et légumes en prévention du cancer et des maladies chroniques. Pour cette raison, l’une des meilleures techniques de prévention est de simplement promouvoir sa consommation auprès de la population », lance en conclusion Maria José Sanchez Perez, auteure de l’étude.

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Découverte d’un arbre antidouleur en Afrique

Découverte intéressante que celle rapportée par Top Santé, alors que des chercheurs auraient trouvé un arbre aux puissantes propriétés analgésiques.

La trouvaille s’est effectuée en Afrique, alors qu’une équipe de chercheurs menée par Michel de Waard a remarqué qu’un petit arbuste avait la capacité de produire des quantités stupéfiantes d’une molécule antidouleur, notamment au niveau de ses racines.

La molécule en question s’apparente au tramadol, concluent les chercheurs à la suite de leurs analyses, et agirait un peu comme le fait la morphine.

« Le plus surprenant pour nous a été de constater que cette molécule ne nous était pas inconnue. Elle était identique au tramadol, un médicament de synthèse mis au point dans les années 1970 et utilisé couramment dans le traitement de la douleur », résume De Waard, de l’INSERM.

Outre le caractère scientifique de la nouvelle, les chercheurs se réjouissent à l’idée de voir l’arbuste produire des quantités suffisantes du médicament antidouleur pour les populations africaines qui présentent une lacune à ce niveau.

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Le cerveau d’un psychopathe démystifié

Des chercheurs ont tenté de définir pourquoi une personne qualifiée comme psychopathe ne ressent pas d’empathie comme le commun de ses homologues humains.

The National Library of Medicine rapporte les résultats de cette recherche, qui s’est effectuée en milieu carcéral auprès de 121 détenus volontaires.

Se déroulant dans une prison à sécurité modérée des États-Unis, les analyses ont été effectuées sous forme de tests par résonnance magnétique, qui cherchaient à définir le type de réponse observable au cerveau des sujets, lorsque ceux-ci étaient placés devant diverses situations imaginaires.

En plaçant des photographies dures et décrivant de la douleur humaine physique devant les sujets, les chercheurs pouvaient ensuite définir quelles zones du cerveau s’activaient, selon les circonstances.

Il est troublant de constater, dans le rapport publié dans le Frontiers in Human Neuroscience, que les détenus diagnostiqués comme psychopathes ne réagissent pas de la même façon qu’un humain considéré comme « normal », mais plutôt de la même façon que lorsqu’ils sont placés en situation positive ou de récompense!

Ces résultats démontrent non seulement la véracité des théories précédemment avancées, mais pourraient également permettre la création de traitements pour aider ces bien tristes patients.

On estime à 1 % le nombre de psychopathes présents dans la population, un chiffre qui grimperait à 23 % en milieu carcéral.

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30 minutes d’activité physique par jour suffisent

30 minutes d’activité physique par jour suffisent, affirment des chercheurs de l’Université de Copenhague qui déposent les résultats de leur recherche sur le sujet, rapporte Santé Log.

Quelques publications précédentes abondaient en ce sens, mais cette plus récente étude vient confirmer cette théorie. Publiée dans le Scandinavian Journal of Public Health, l’étude parle même de l’inutilité d’en faire trop, c’est-à-dire plus de 30 minutes d’activité par jour.

Ce seuil serait optimal pour conserver une bonne forme physique et pour éviter une perte de temps, croient les chercheurs qui observent des gains identiques chez les personnes qui passent 30 minutes par jour à bouger que chez celles qui s’y consacrent 60 minutes.

Outre le gain de temps et de résultats remarquables, le fait d’opter pour 30 minutes d’activité physique quotidienne au lieu de 60 permettrait également de garder une belle motivation, et d’ainsi étirer la bonne habitude à long terme!