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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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Près de 60% des cas de cancer de l’utérus pourraient être évités

Ce sont des statistiques spectaculaires et étonnantes que dévoile ici MedicalXpress, alors qu’un nouveau rapport prétend que 60 % des cas de cancer de l’utérus seraient en fait évitables grâce à l’adoption de nouvelles habitudes de vie.

On connaît bien les bienfaits et vertus sur la santé de l’exercice physique et d’une saine alimentation, mais la démonstration d’une possible prévention de plus de la moitié des cas de ce type de cancer est étonnante.

59 %, pour être précis, des diagnostics de cancer de l’utérus pourraient être évités chez si les femmes susceptibles de le développer faisaient attention à ce qu’elles mangent et pratiquaient 30 minutes d’activité physique par jour, en moyenne.

C’est le constat que propose un rapport déposé par l’American Institute for Cancer Research (AICR), en collaboration avec le World Cancer Research Fund International, le 10 septembre dernier.

« Le gras corporel peut produire des hormones qui favorisent le développement du cancer. On sait aussi que le taux de gras est relié aux inflammations chroniques, qui produit un environnement qui encourage le développement du cancer », résume Alice Bender de l’AICR.

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Des professionnels de la santé qui mentent à leurs patients

Il ne faut pas être le plus rusé des limiers pour se rendre compte que certains membres des corps médicaux et des travailleurs de la santé décident parfois de nous mentir, souvent pour notre propre bien.

Ce qui est moins familier, c’est d’entendre ces mêmes professionnels nous l’avouer! C’est pourtant exactement ce que dévoile le Telegraph (UK), alors qu’une étude britannique confirme ce dont plusieurs se doutaient déjà.

L’étude, en provenance de l’Université Newcastle, parle même d’une moyenne de plus de 70 % des intervenants en centre hospitalier ou en clinique qui avouent mentir à leurs patients!

Certains des mensonges impliquent de ne pas révéler un décès sur-le-champ, d’acquiescer à une personne aux prises avec des problèmes de démence ou encore de minimiser un état de santé jugé pourtant assez grave.

Il semble que malgré les taux alarmants de mensonge reconnus, il appert que ceux-ci sont le plus souvent du temps inscrits dans une stratégie psychologique visant soit à ménager un patient, soit à lui procurer un état d’esprit jugé pertinent par le spécialiste ou le médecin lors d’un moment précis.

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L’amour par l’odeur, une nouvelle étude le confirme

L’amour au premier… reniflement? Voilà ce que titre judicieusement le Daily Mail (UK) en rapportant une nouvelle étude qui confirme l’impact de l’odeur sur l’attirance entre hommes et femmes.

Attention, on ne parle pas nécessairement ici d’odeur corporelle ou d’hygiène, bien que plus qu’appréciée, mais plutôt « d’odeur génétique ».

On entend par là, et ceci concerne surtout la femme si l’on se fie aux données rapportées, que les futurs partenaires sont capables de détecter l’odeur subliminale du bagage génétique l’un de l’autre et ainsi de déterminer de façon subconsciente si celui-ci fera un bon géniteur.

C’est ce qu’avance le professeur Daniel Davis dans son plus récent livre, The Compability Gene, qui accorde aux femmes un sixième sens très développé pour ce genre de choses.

Le membre de l’Université de Manchester se base également sur une expérience menée en Suisse, une recherche baptisée « expérience du t-shirt ».

On demandait à des hommes de porter le même t-shirt pendant deux jours, en évitant tout contact avec quoi que ce soit qui pourrait altérer leurs odeurs naturelles. Puis, on plaçait les chandails dans des boîtes et on demandait à un groupe-test composé de femmes de les « renifler » et de choisir un partenaire en se basant sur cette seule facette.

Résultat? Les femmes volontaires ont presque systématiquement choisi les hommes avec lesquels elles pourraient concevoir des enfants possédant un avantage génétique évident!

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Les niveaux d’arsenic retrouvés dans le riz ne seraient pas alarmants

La FDA américaine revient sur le dossier de l’arsenic et du riz, rapporte The National Library of Medicine, calmant le jeu après une série de dossiers qui avaient de quoi inquiéter la population.

Plusieurs rapports récents faisaient remarquer des taux anormaux d’arsenic contenus dans plusieurs types de riz, un aliment qui connaît un gain de popularité remarquable même en Amérique du Nord, notamment avec plusieurs mets asiatiques devenus de véritables phénomènes sociaux.

La FDA publie maintenant une nouvelle étude sur le sujet et fait remarquer que les taux d’arsenic dans le riz, lorsque présents, ne sont pas assez inquiétants pour que les citoyens s’en préoccupent, du moins à court terme.

Un constat rassurant, qui découle d’une analyse de plus d’un millier d’échantillons de riz et de produits renfermant l’ingrédient.

« Ces données de la FDA sont rassurantes. Bien qu’il y ait présence d’arsenic non organique dans le riz et ses produits dérivés, ça se situe à un niveau qui devrait être sécuritaire pour la consommation à travers la population », analyse le Dr Stephen Daniels, visiblement satisfait de ces résultats.

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Le buzz du menteur

Avez-vous déjà fait la connaissance d’un menteur compulsif? Peut-être avez-vous en ce moment dans votre entourage un personnage du genre, qui semble apprécier le moindre petit mensonge, tel un passe-temps tordu…

Selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK), ce type de personnalité pourrait bien trouver un réel plaisir physique dans le mensonge, un peu comme les personnes dépendantes à différentes substances.

On parle donc d’un véritable « buzz du menteur » dans cette étude publiée par des chercheurs de l’Université de Washington dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Ainsi, chaque petit mensonge serait accompagné d’une « récompense » au niveau cérébral, ce qui pousserait l’individu à recommencer… encore et encore!

Cependant, chez la plupart des cas recensés et démontrés, ce plaisir coupable ne serait efficace que si le mensonge n’a pas de réelles conséquences et qu’il ne fait pas de véritable tort à la personne qui le reçoit.

Tricher à un examen ou à un jeu, par exemple, a semblé éveiller la plus grande émotion positive chez ces menteurs, remarquent les chercheurs après avoir analysé plus de 1000 sujets.

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La moitié des gens souffrant d’hypertension l’ignorent complètement

The National Library of Medicine rapporte une étude qui trace un portrait assez sombre en matière de diagnostics d’hypertension.

Le problème ne réside pourtant pas dans les capacités à traiter le phénomène, mais plutôt à conscientiser les gens qu’ils en sont peut-être victimes.

Ainsi, toujours selon l’étude, près de la moitié des gens souffrant d’hypertension ignorent complètement leur condition, une ignorance qui peut mener à des problèmes de santé beaucoup plus sérieux, rappellent les experts.

L’étude internationale, proposée par le Population Health Research Institute (PHRI) of McMaster University and Hamilton Health Sciences, examine les données de près de 160 000 adultes de plus de 35 ans, et constate que non seulement la moitié des sujets ignorent qu’ils souffrent d’hypertension, mais que l’autre moitié ne semble pas pressée de recourir à des traitements!

« Les traitements visant à faire baisser la pression sanguine sont généralement peu coûteux et facilement disponibles. Malgré tout, un tiers seulement des patients commencent un traitement adéquat… », explique le Dr Salim Yusuf, qui participe à la recherche.

L’hypertension, si elle est traitable, peut néanmoins mener à de sérieux problèmes de santé cardiaques si elle n’est pas contrôlée médicalement.

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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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Une super-étude confirme de nouveau les bienfaits des oeufs

La mauvaise presse que subissent les pauvres œufs semble de plus en plus s’effriter, à mesure que les rapports de spécialistes vantant leurs mérites s’empilent.

C’est précisément le cas d’une nouvelle super-étude rapportée par Top Santé, qui conclut que plusieurs mythes en matière d’œufs restent à prouver, et que les bienfaits d’une consommation d’œufs dépassent en réalité les effets néfastes potentiels.

Publiée dans le British Medical Journal par une équipe de l’Université Huazhong, en Chine, l’étude analyse les données de plus de 20 autres recherches sur le sujet, précédemment déposées.

On conclut ici que, malgré sa forte teneur en cholestérol, « consommer un œuf par jour n’est aucunement lié à une augmentation du risque d’infarctus ». On cite en exemple la population japonaise, friande d’œufs, mais affichant des taux de maladies cardiovasculaires plus bas que plusieurs autres pays.

Les œufs renferment plusieurs vitamines et protéines. Ils s’avèrent très utiles en prévention de nombreuses maladies, notamment celles liées au cerveau, rappellent également les chercheurs.

Encore un bon coup pour l’œuf, qui mériterait donc de retrouver une place de choix dans nos assiettes, selon ces chercheurs chinois.

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.