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La prise d’aspirine permettrait la réduction de certaines tumeurs

Plusieurs spécialistes ont déjà suggéré les bienfaits d’une prise régulière d’aspirine dans la lutte contre le cancer, mais voilà qu’une nouvelle étude vient étayer la théorie.

Selon The National Library of Medicine, une étude suédoise vient en effet de confirmer l’impact de la prise d’aspirine sur la réduction de certaines tumeurs, notamment celles observables dans des cas de cancer du côlon et des poumons.

« Nous avons fait la preuve qu’elle [l’aspirine] est aussi efficace contre le cancer du poumon et qu’elle a des effets préventifs autant aux stades précoces qu’avancés », lance l’auteur en chef de l’étude, Yudi Pawitan.

L’équipe de Pawitan a en effet remarqué, après avoir analysé les dossiers de plus de 80 000 patients, une incidence entre la grosseur des tumeurs et la prise d’aspirine de façon régulière, mais à petites doses.

Les chercheurs se demandent également pourquoi l’aspirine semble efficace dans la lutte à ces deux formes de cancer, et non contre d’autres, comme le cancer du sein, par exemple.

De plus, ces conclusions demeurent au stade de la théorie, puisque de futures recherches doivent analyser d’autres aspects de la question avant de pouvoir officiellement conseiller aux gens de se tourner vers l’aspirine.

« Le mécanisme n’est pas entièrement compris », lance Pawitan en conclusion.

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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

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Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La fréquence des relations sexuelles pourrait influencer le salaire

Un chercheur de l’Université Anglia Ruskin et son équipe se sont amusés à analyser les courbes de salaire et celles… des fréquences des rapports sexuels.

Fait étonnant, le Dr Nick Drydakis et ses collègues sont parvenus à démontrer une certaine cause à effet entre le nombre de relations sexuelles recensées hebdomadairement et le salaire moyen de sujets, rapporte le Daily Mail (UK).

Ainsi, après avoir analysé près de 8 000 dossiers de sujets âgés de 26 à 50 ans, les chercheurs ont conclu que ceux qui 4 relations sexuelles et plus par semaine gagnent en moyenne 5 % de plus que les autres.

De plus, ceux qui n’ont aucune vie sexuelle gagneraient en moyenne 3 % de moins que ceux qui ont des activités intimes, même sporadiques.

Attention, cependant, il existe deux lignes de pensée découlant de ces conclusions.

Soit les personnes plus épanouies sexuellement atteignent plus facilement le succès, soit les personnes qui ont plus de succès réussissent davantage à charmer!

Une chose est sûre, l’absence de rapports sexuels peut mener à des troubles de l’humeur comme l’anxiété ou la dépression, selon le Dr Drydakis, qui résume :

« Les gens ont besoin d’aimer et d’être aimés. L’absence de ces éléments peut mener à vivre de l’anxiété ou à la dépression, ce qui peut affecter leur vie professionnelle. »

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En route vers une régénération du coeur?

La médecine et la science font souvent de véritables petits miracles en cette ère moderne, et il existe encore plusieurs domaines dans lesquels on peut s’attendre à voir d’incroyables percées au cours des prochaines années.

C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

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C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Percée majeure dans la compréhension du cancer et de son développement

Plusieurs spécialistes croient qu’il est possible d’améliorer les statistiques de guérison et de rémission de cancer grâce à des méthodes de traitements personnalisées et adaptées à chaque cas.

Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

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Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le prof Warwick récidive : vivre seulement avec son cerveau

Le Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

e Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

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L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Ordre et désordre : l’effet sur votre cerveau

Dis-moi comment est ton bureau et je te dirai qui tu es! C’est un peu ce que nous dit cette nouvelle étude menée par l’Université du Minnesota.

L’étude, publiée dans la revue médicale Psychology Science, a démontré que les gens gardant un bureau en ordre sont plutôt généreux, traditionnels et feraient des choix alimentaires plus sains pour la santé. Les gens étant plus désordonnés sont pour leur part plutôt créatifs et à l’esprit d’entreprise.

Pour arriver à ces résultats, Kathleen Vohs et ses collègues de l’université ont passé un questionnaire à plusieurs participants qui étaient placés dans un bureau propre et rangé ou dans un bureau en désordre où tout traînait.

On leur a ensuite demandé de faire un don à une œuvre de charité, avant d’avoir la permission de manger une barre chocolatée ou une pomme. La compilation de leurs choix a permis de conclure les énoncés ci-haut.

L’auteure explique aussi que le désordre favorise l’imagination, tandis que l’ordre favorise plutôt la sécurité, et ce, peu importe l’endroit où se trouvent les gens.

Finalement, les résultats ont aussi démontré qu’on pouvait être tout à fait fonctionnel dans un milieu désordonné, ce qui est contraire à la croyance populaire.

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Le lait n’est pas nécessaire pour la santé

Voilà une déclaration qui fait du bruit. Alors que la consommation de lait est fortement encouragée depuis belle lurette, deux spécialistes en nutrition hautement reconnus viennent remettre en question son utilité.

C’est ce que dévoilent David Ludwig, professeur de pédiatrie et de nutrition à l’École de médecine de Harvard et à l’Hôpital pour enfants de Boston, ainsi que Walter Willett, professeur d’épidémiologie et de nutrition et président du département de nutrition de l’École de santé publique de Harvard.

Ils ont publié les résultats de leur récente étude dans le journal médical JAMA Pediatrics.

On peut y lire qu’il n’existerait non seulement pas de preuves des bénéfices du lait sur la santé, mais que les recommandations officielles pousseraient les enfants à consommer une trop grande quantité de sucre, alors que les produits lactés pour jeunes en sont souvent bourrés.

Aussi, ils soulignent que l’homme n’a absolument pas besoin de consommer du lait de vache. La majeure partie de la population globale n’en consomme pas, ou très peu, et jouit tout de même d’une excellente santé.

Ils réfutent également la fausse idée, popularisée entre autres par l’industrie agroalimentaire, disant que les produits laitiers seraient nécessaires, notamment pour solidifier les os.

Ils déclarent : « À travers le monde, les taux de fractures sont moins élevés dans les pays qui ne consomment pas de lait, par rapport aux pays où on consomme des laitages. En plus, la consommation de lait ne protège pas des fractures chez l’adulte, selon une méta-analyse récente ».

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Tous les goûts sont dans la nature… et dans l’âge!

Si vous remarquez certains changements dans vos habitudes alimentaires, vos désirs et vos goûts, il semble que cela soit tout à fait normal.

Il appert que les goûts et les préférences alimentaires se bonifient et varient à mesure que l’on prend de l’âge, selon une recherche rapportée par Top Santé.

Ce sont des chercheurs japonais qui proposent cette étude faisant état d’expériences et d’observations effectuées sur des rongeurs, des rats, et leurs préférences au fil de leur vie.

L’équipe de l’Université d’Osaka remarque que les rats plus âgés préfèrent un goût amer au goût sucré, contrairement aux jeunes rats qui démontrent l’inverse.

« Les jeunes rats préfèrent les aliments sucrés et montrent une forte aversion pour les aliments amers, contrairement aux rats plus âgés. Ces travaux ont montré que le vieillissement ne provoque aucun changement dans la transmission des informations du goût de la langue au système nerveux central », explique l’équipe de chercheurs, Chizuko Inui-Yamamoto en tête.

Ces derniers souhaitent donc effectuer des recherches plus poussées afin de déterminer pourquoi les goûts changent lors du vieillissement, un fait maintenant établi clairement.