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La dent sucrée, liée à l’abus d’alcool?

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui trace un lien étonnant – même tiré par les cheveux, diront certains.

Sauf que pour les chercheurs basés dans l’État de l’Indiana, aux États-Unis, il existe bel et bien un lien entre l’amour des friandises et du sucre, aussi appelé la « dent sucrée », et l’abus éventuel d’alcool au cours de la vie d’un individu.

« Précisément, la tendance était que ceux qui consommaient plus d’alcool que les autres […] avaient des réponses du lobe orbitofrontal gauche plus intenses face à une eau intensément sucrée », résume David Kareken, de l’Indiana University School of Medicine.

M. Kereken fait ici référence aux essais effectués sur des groupes tests, formés notamment de jeunes adultes, et qui ont révélé l’existence d’un lien entre l’attirance pour le sucre et celle pour l’alcool.

Ce genre d’étude et d’essai a pour but de tenter de prévenir les risques d’alcoolisme et de dépendance à l’alcool dès le plus jeune âge.

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Aide pour les poumons de bébés prématurés

La DBP est une affection parfois mortelle et fort commune chez les nourrissons prématurés. Les chercheurs de l’Université de Californie, à Los Angeles, se sont penchés sur le problème et ont levé le voile sur les propriétés médicinales de la curcumine de safran.

Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

a DBP est une affection parfois mortelle et fort commune chez les nourrissons prématurés. Les chercheurs de l’Université de Californie, à Los Angeles, se sont penchés sur le problème et ont levé le voile sur les propriétés médicinales de la curcumine de safran.

Selon les dires du Dr Virender K. Rehan, principal auteur de la recherche, ce sont deux bébés prématurés sur trois qui développeront la DBP.

En raison d’une insuffisance respiratoire, les bébés prématurés ont souvent besoin d’aide dès leur naissance, et les traitements actuels comportent des effets secondaires désagréables.

Publiés dans l’American Journal of Physiology, les résultats de leurs recherches décrivent comment le composé offrirait une grande protection pulmonaire durable, et ce, pour les trois premières semaines de vie, moment critique pour les prématurés.

Aussi appelée « diféruloylméthane », la curcumine de safran était déjà connue pour ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et antimicrobiens. Il s’agit en fait du pigment du safran qui sert communément à épicer les plats de curry.

Connaissant maintenant ses propriétés protectrices contre les lésions pulmonaires, nous pouvons avoir espoir en un éventuel traitement amélioré pour les bébés nécessitant l’oxygénothérapie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Vivez plus longtemps avec des fruits et légumes

Une étude suédoise publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition fait le point sur l’importance de consommer l’apport quotidien recommandé de fruits et légumes, soit 5 portions.

Y manquer pourrait vous faire souffrir de carence et écouter votre vie, selon les chercheurs. Les résultats sont basés sur des données recueillies auprès de plus de 71 000 participants âgés de 45 à 83, et ce, sur une période de 13 ans.

L’équipe d’Alicja Wolk, qui a travaillé sur la recherche à l’Institut Karolinska à Stockholm, a constaté que les personnes qui ont déclaré ne pas manger de fruits ou de légumes au début de l’étude étaient 53 % plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi que celles qui consommaient leurs cinq portions quotidiennes.

Aussi, les femmes auraient tendance à en consommer plus que les hommes.

Wolk a aussi souligné que les gens mangeant moins de fruits et légumes étaient plus susceptibles de fumer et avaient tendance à être moins instruits. Leur diète était plutôt constituée de viande rouge, de produits laitiers riches en matières grasses, de bonbons et de collations.

L’étude ne peut cependant pas prouver que les fruits et légumes allongent la durée de vie.

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Le sexe : Remède contre le vieillissement

Sur Le Figaro, un article fait état des résultats d’une recherche sur les bénéfices de la sexualité active effectuée par le Pr David Weeks, neuropsychologue à l’Hôpital Royal d’Édimbourg.

Ce sont 3500 hommes et femmes qui ont participé aux observations sur une durée de 10 ans. Une particularité qui réunissait chacun d’eux était qu’ils avaient tous l’air plus jeunes que leur âge.

Alors que l’étude tentait de déterminer ce qui pouvait en être la raison, les chercheurs ont été surpris d’apprendre que la sexualité régulière arrivait en deuxième place après l’activité physique.

Notons que par « régulière », il était question de 3 rapports par semaine.

Il a été déterminé que ces participants paraissaient être 7 à 12 ans de plus jeunes. Plus de trois rapports n’apportent pas de bénéfice supplémentaire. En réalité, les bienfaits de la sexualité vont bien au-delà de la seule apparence ou du plaisir physique et émotionnel.

Une autre étude datant de 2004, qui avait été publiée dans le Journal of The American Medical Association, avait déterminé que les hommes qui éjaculaient plus de vingt fois par mois avaient un risque de cancer de la prostate réduit d’un tiers par rapport à ceux qui le faisaient moins de huit fois par mois.

Alors, faites l’amour, c’est bon pour vous!

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L’activité physique après le cancer

Sur le site Le Parisien, il est entre autres question d’un article concernant le retour à la « normale » après un cancer.

Selon la Dre Laure Copel, médecin oncologue, « la gymnastique est un moyen efficace pour réduire considérablement les risques de récidives de cancer de sein ». Les activités semblant être en tête de liste sont le karaté, la plongée, le step ou encore le jogging.

Le but est d’y aller avec votre forme, votre âge et vos intérêts. Les patients ayant recours à l’activité pendant leur chimio ou après un cancer rapportent avoir une meilleure estime de soi, une meilleure qualité de vie et retrouver rapidement leur moral, alors que la maladie peut souvent avoir des effets dévastateurs.

« Les personnes qui pratiquent une activité physique dynamique régulière trois fois par semaine voient leur taux de rechute diminuer jusqu’à 50 %, en particulier quand c’est associé à une bonne alimentation », explique Dre Copel.

« L’activité physique est associée à une diminution du risque des cancers du côlon, du sein (après la ménopause) et de l’endomètre », écrit l’Institut national français du cancer (Inca) dans un document faisant le point sur l’activité physique et les cancers.

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La carence en vitamine D problématique selon l’ethnie

Le manque de la vitamine soleil, surnommée ainsi parce que nous la produisons lorsque nous sommes exposés au soleil, est étroitement liée à plusieurs maladies telles que des maladies cardiaques, certains cancers, l’ostéoporose, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie et des maladies auto-immunes.

Une récente recherche publiée dans le Journal of American Medical Association démontre cependant que ce lien n’est pas vrai pour toutes les ethnies.

En effet, la carence pourrait augmenter le risque de maladie cardiaque chez les personnes blanches ou chinoises, mais ne semble pas poser de danger cardiovasculaire pour les adultes noirs ou hispaniques.

« Ironiquement, les Hispaniques et les noirs sont reconnus pour avoir un taux de cette vitamine moins élevé que les autres nationalités », dit le Dr Keith Norris, professeur de médecine à la David Geffen School of Medicine de l’Université de Californie à Los Angeles.

Il poursuit en disant qu’alors qu’on croyait que les populations ayant un moins haut taux de vitamine D auraient de plus grands risques de souffrir de maladies cardiaques, c’est en fait tout le contraire.

Un autre expert a alors souligné que bien que ce soit très intéressant, ces résultats apportent plus de questions que de réponses, et que les études sur le sujet devront être approfondies.

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Nouveau traitement pour l’épilepsie

Eisai est heureuse que FYCOMPA (pérampanel), un médicament indiqué comme traitement d’appoint dans la gestion des crises partielles d’épilepsie chez les patients adultes, ait été autorisé par Santé Canada.

Il s’agit d’un médicament visant les gens atteints d’une épilepsie qui n’est pas maîtrisée de façon satisfaisante par un traitement conventionnel.

« FYCOMPA représente une approche novatrice dans le traitement de l’épilepsie et une option dont les patients et médecins canadiens avaient grand besoin », déclarait le Dr Jean-François Clément, spécialiste de l’épilepsie à l’Hôpital Charles-Lemoyne associé à l’Université de Sherbrooke.

« Lorsque FYCOMPA est ajouté à leur schéma thérapeutique actuel, une réduction significative des crises est observée chez les patients. »

Il s’agirait d’une grande victoire pour la communauté épileptique, alors qu’elle célèbre aujourd’hui l’autorisation de FYCOMPA.

« L’accès à de nouvelles options est la clé. Chaque patient répond différemment à un traitement, et notre but en tant que communauté est de nous assurer que les outils soient disponibles, afin que la vie des patients puisse être productive et gratifiante », a souligné Gail Dempsey, présidente de l’Alliance canadienne de l’épilepsie.

Pour plus d’informations : www.eisai.com.

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L’Alzheimer et le cancer ne font pas bon ménage

Le site nbcnews.com offre un article à propos d’une recherche italienne sur les deux maladies.

Le Dr Massimo Musicco, du Conseil national de recherche à l’Institut de technologie biomédicale de Milan, explique : « Le cancer et l’Alzheimer sont vus complètement séparément par les chercheurs. Certaines connaissances que nous avons concernant le cancer peuvent être utilisées pour mieux comprendre la maladie d’Alzheimer, et même chose dans l’autre sens ».

Souffrir d’une de ces maladies minimiserait la possibilité de souffrir de l’autre. « Il existe aussi des données convaincantes voulant que la maladie de Parkinson soit liée à un risque moindre de cancer », a déclaré la Dre Jane Driver, qui étudie le vieillissement à l’Hôpital Brigham and Women de Boston.

Récemment, des données très similaires ont été observées concernant la schizophrénie et l’Alzheimer. « L’étude ne prouve pas la protection d’une maladie par une autre ni que les patients de l’une devraient se juger à l’abri de l’autre. Mais j’espère que ceci convaincra tous les sceptiques qu’il y a une véritable association inverse entre la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et probablement d’autres maladies neurologiques et le cancer », a déclaré la Dre Driver.

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La pollution et la maladie

Plus l’environnement où vous vivez est pollué, plus grands sont vos risques de souffrir de certains troubles de santé. N’étant pas encore officiellement considérée comme un facteur de risque du cancer des poumons, certains spécialistes jugent que la pollution devrait y figurer.

C’est ce qu’on peut lire dans un article publié sur le site de NBC News. Suivant plusieurs récentes recherches, le Dr Ole Raaschou-Nielsen du Danish Cancer Society Research Center dit qu’ils ne sont pas arrivés à déterminer un niveau de pollution relativement sain. Plus c’est pollué, plus c’est risqué pour votre santé.

Nicholas Mills de l’Université d’Édimbourg en Grande-Bretagne et ses collègues ont combiné les données provenant de 35 études qui ont évalué le monoxyde de carbone, le dioxyde de soufre, le dioxyde d’azote et la pollution à l’ozone, ainsi que les matières particulaires (suie).

« Bien que le rôle de la pollution de l’air est bien reconnu comme un facteur de risque pour les crises cardiaques, il était moins clair que l’exposition augmentait le risque d’événements indésirables chez les patients atteints d’autres affections cardiovasculaires comme l’insuffisance cardiaque », a déclaré Mills dans un communiqué.

« Depuis que toute la population est exposée à la pollution de l’air, même de modestes réductions de la pollution atmosphérique pourraient avoir des bienfaits pour la santé cardiovasculaire ainsi que des économies substantielles sur le plan de la santé », conclut-il.

 

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L’anesthésie et la perte de mémoire

Sur le site britannique du Daily Mail, un article cite nombre de recherches de différentes institutions sur le sujet.

Alors qu’il était déjà connu que l’utilisation des drogues de Morphée avait un impact négatif sur le système immunitaire, de plus en plus de dommages sont répertoriés.

Non seulement le fait de subir une anesthésie générale pourrait être responsable de pertes de mémoire temporaires, mais il est démontré que les patients âgés ont un plus grand risque de souffrir de troubles permanents, de démence et d’Alzheimer.

De plus, un lien a été découvert entre des troubles de la parole et d’apprentissage chez les enfants ayant été sous ce type d’anesthésie.

Voilà qui explique certaines des raisons pour lesquelles plusieurs professionnels de partout dans le monde se montreraient plus favorables à l’utilisation de l’anesthésie locale. Une technique moins dangereuse est notamment l’épidurale, un processus qui implique l’injection de drogues autour des nerfs afin de bloquer le signal de douleur se rendant au cerveau.

L’abandon systématique de l’anesthésie générale est déjà en cours dans plusieurs pays, mais certains se montreraient plus conservateurs malgré l’évidence des risques.

Il s’agit là d’un important rappel de l’importance de bien se renseigner avant une opération afin de connaître toutes les options ainsi que leurs effets potentiels sur votre santé.